Note de la fic :
Les prisonniers de l'île
Par : Camion2LaGalayr
Genre : Action, Science-Fiction
Statut : Abandonnée
Chapitre 50
Publié le 12/04/2014 à 16:21:14 par Camion2LaGalayr
Je me souviens que ce matin là les premiers rayons de soleil qui ont caressés mon visage m'ont tout de suite réveillé. J'avais extrêmement bien dormi et cette nuit n'a pas éteint ma détermination !
Quelques étirements et je me levais. Je pris une bonne gorgée d'eau de ma gourde puis je mis mon sac sur mon dos. J'étais prêt à partir et alors que j'ai commencé à faire mon premier pas en dehors de la forêt, je me suis rendu compte que quelque chose manquait. J'ai remarqué que Gelly n'étais plus là !
Rapidement, je retournais dans la forêt et autour du camp, mon regard inquiet balayais les alentours.
Aucune trace d'elle. Je pris mon sac et le posa par terre. Je l'ouvra et rien. Elle n'étais pas à l'intérieur
Je commençais à l'appeler, mon courage était retombé au niveau zéro.
« Merde ! Elle avait dit qu'elle me protégerais, comment je vais faire moi maintenant , songeais-je.
Gelly ! Criais-je. T'es où ?! Hé ho !
_ Pas la peine de crier si fort. Je suis là , dit une voix somnolente. »
Je levais les yeux et je la vis, affalée sur une branche, les yeux fermés.
« T'étais pas censée surveiller pendant que je dormais ? Me dis pas que tu dormais cette nuit !
_ Je me suis endormie quand le soleil s'est levé. Je suis resté debout toute la nuit.
_ Et bien c'est l'heure d'y aller
_ Ça fait plusieurs jours que je ne dors pas beaucoup, laisses-moi dormir ce matin.
_ Bienvenu dans mon monde Bon dépêche toi te lever, on dois partir le plus vite possible.
_ Alors tu me porte, comme ça je pourrais dormir.
_ Euh... … bon d'accord. »
Elle descendis de son arbre tandis que je lui montrais mon dos. Avec l'aide de mes mains, elle grimpa sur mon sac. Alors que je m'attendais à devoir tenir son corps, elle se colla au sac.
Elle n'étais pas lourde, son poids me déséquilibrait que légèrement. Je pris donc la route avec un sac et un slime sur mon dos.
Devant moi, une plaine baignée de soleil. La température était agréable, je marchais sans trop de difficulté. Depuis que j'ai atterris ici, mes jambes et mes bras ont pris du muscle. Si je postais une photo de moi sur le 15-18, on ne me dirais plus «go muscu»
Je marchais longtemps, faisant quelques pauses pour me reposer. Je devais parcourir le plus de chemin possible, je devais rattraper les autres. À cause d'Alice, j'estime que je vais bien plus vite qu'eux. Cependant, je ne sais pas depuis combien de temps ils sont sortis de la forêt. Si ils en sont sortis.
Vers la fin de l'après-midi, je suis tombé sur une vieille maison abandonnée. Elle avais pour elle seule des barricades mais d'après leur état, elles n'ont pu suffir. Cependant, cet emplacement un minimum fortifié est un bon endroit pour passer la nuit.
L'épée à la main, je pénètre à l'intérieur de la bâtisse. À l'intérieur, il fait totalement noir, une partie du plafond s'est effondré et bloque la lumière qui est censée passer par la fenêtre.
Doucement, je me rapproche du tas de décombres, faisant face au fond le pièce qui est dans l'obscurité. Une fois atteint, je pose lentement mon sac et de se fait Gelly par terre et tout aussi lentement, je prends une des pierres du reste du plafond tout en gardant mon épée pointée vers l'obscurité. Je m'apprête à jeter la pierre vers le fond de la pièce mais une main verte me pris le poignet.
Quelques étirements et je me levais. Je pris une bonne gorgée d'eau de ma gourde puis je mis mon sac sur mon dos. J'étais prêt à partir et alors que j'ai commencé à faire mon premier pas en dehors de la forêt, je me suis rendu compte que quelque chose manquait. J'ai remarqué que Gelly n'étais plus là !
Rapidement, je retournais dans la forêt et autour du camp, mon regard inquiet balayais les alentours.
Aucune trace d'elle. Je pris mon sac et le posa par terre. Je l'ouvra et rien. Elle n'étais pas à l'intérieur
Je commençais à l'appeler, mon courage était retombé au niveau zéro.
« Merde ! Elle avait dit qu'elle me protégerais, comment je vais faire moi maintenant , songeais-je.
Gelly ! Criais-je. T'es où ?! Hé ho !
_ Pas la peine de crier si fort. Je suis là , dit une voix somnolente. »
Je levais les yeux et je la vis, affalée sur une branche, les yeux fermés.
« T'étais pas censée surveiller pendant que je dormais ? Me dis pas que tu dormais cette nuit !
_ Je me suis endormie quand le soleil s'est levé. Je suis resté debout toute la nuit.
_ Et bien c'est l'heure d'y aller
_ Ça fait plusieurs jours que je ne dors pas beaucoup, laisses-moi dormir ce matin.
_ Bienvenu dans mon monde Bon dépêche toi te lever, on dois partir le plus vite possible.
_ Alors tu me porte, comme ça je pourrais dormir.
_ Euh... … bon d'accord. »
Elle descendis de son arbre tandis que je lui montrais mon dos. Avec l'aide de mes mains, elle grimpa sur mon sac. Alors que je m'attendais à devoir tenir son corps, elle se colla au sac.
Elle n'étais pas lourde, son poids me déséquilibrait que légèrement. Je pris donc la route avec un sac et un slime sur mon dos.
Devant moi, une plaine baignée de soleil. La température était agréable, je marchais sans trop de difficulté. Depuis que j'ai atterris ici, mes jambes et mes bras ont pris du muscle. Si je postais une photo de moi sur le 15-18, on ne me dirais plus «go muscu»
Je marchais longtemps, faisant quelques pauses pour me reposer. Je devais parcourir le plus de chemin possible, je devais rattraper les autres. À cause d'Alice, j'estime que je vais bien plus vite qu'eux. Cependant, je ne sais pas depuis combien de temps ils sont sortis de la forêt. Si ils en sont sortis.
Vers la fin de l'après-midi, je suis tombé sur une vieille maison abandonnée. Elle avais pour elle seule des barricades mais d'après leur état, elles n'ont pu suffir. Cependant, cet emplacement un minimum fortifié est un bon endroit pour passer la nuit.
L'épée à la main, je pénètre à l'intérieur de la bâtisse. À l'intérieur, il fait totalement noir, une partie du plafond s'est effondré et bloque la lumière qui est censée passer par la fenêtre.
Doucement, je me rapproche du tas de décombres, faisant face au fond le pièce qui est dans l'obscurité. Une fois atteint, je pose lentement mon sac et de se fait Gelly par terre et tout aussi lentement, je prends une des pierres du reste du plafond tout en gardant mon épée pointée vers l'obscurité. Je m'apprête à jeter la pierre vers le fond de la pièce mais une main verte me pris le poignet.