Note de la fic :
Les prisonniers de l'île
Par : Camion2LaGalayr
Genre : Action, Science-Fiction
Statut : Abandonnée
Chapitre 45
Publié le 05/04/2014 à 11:35:39 par Camion2LaGalayr
Pendant une semaine, j'ai le droit à un sommeil normal. Ma nouvelle alliée veillait sur moi la nuit.
Pendant cette semaine, je n'ai pas réussi à retrouver Marie, Guillaume et Alice. Gelly m'a dit qu'elle connaissait parfaitement la forêt mais malgré cette aide supplémentaire, il n'y eu aucun résultats.
« Vas-t-on les cherchés encore longtemps ? Demanda Gelly.
_ Ils doivent bien être quelque part.
_ Nous avons fouillé la forêt. Il n'y a que deux solutions à ce stade : soit ils sont morts, soit ils sont partit de la forêt.
_ Ils ne sont pas morts...
_ Alors ils sont partit.
_ Je ne suis pas sûr !
_ Eh bien allons demander.
_ À qui ?
_ Suis-moi. »
Je la suivie pendant une journée. La nuit tombée, je me suis endormi dans un arbre. Elle m'a vivement conseillé d'éviter de faire un feu.
Le lendemain, elle me réveilla tôt. Elle m'a amenée au abords d'un fossé énorme. À l'intérieur, un petit étang, des maisons en bois, des barricades...
« Ces sont tes congénères, va leur demander, me dit-elle.
_ Euh... je suis pas sûr là , ce sont peut-être des tueurs.
_ Ils le sont mais ne t'inquiète pas, je ne serais pas loin.
_ ...D'accord. »
Je n'étais pas très confiant quand je descendis la pente. L'épée accrochée à la ceinture, j'essayais de paraître le moins menaçant possible alors que les habitants du fossé m'avaient déjà repérés.
Au fur et à mesure que j'approchais, de plus en plus venais. Je m'arrêta, les brigands se rassemblèrent autour de moi, je fus complètement encerclé.
J'entendais des ricanement, je voyais de lames sortir des habits, je sentais que ça allait mal finir.
Au bout d'un moment, un homme grand, barbu, chauve, gros, les défoncées, avec une hache à la main poussa les autres pour se faire un passage jusqu'à moi.
Je mis la main sur mon arme...
« Voyez vous ça, dit-il en ricanant, c'est la première fois que je vois un lapin entrer dans la tanière du renard.
_ Je veux pas me battre, je suis venu ici pour avoir des informations.
_ Héhéhé, un gamin venu demander quelque chose. Et qu'à tu en échange de ces informations ? Héhéhé.
_ J'ai rien.
_ Pas d'échange, pas d'information, c'est dommage, hein ? »
J'étais effrayé. J'essayais de ne pas le montrer mais je l'étais. Rester plus de temps ici me faisait peur.
« Oui c'est dommage, je vais vous laisser alors
_ Ohoho, tu compte vraiment repartir comme ça ? Héhéhé !
_ S'il vous plaît monsieur »
La trentaine d'homme qui m'entourait resserra l'étau dans lequel je me suis fourré.
Je voyais les lames s'approcher de moi. Dans un mouvement de panique, je sortis mon épée et je frappa dans le vide autour de moi pour faire reculer mes ennemis. Cela marcha quelques secondes mais de nouveau, ils approchèrent.
« Bordayl Gelly ! Viens powned ces sâles racl' !! »
Suite à mon appel peu virile, une main sortie de la forêt et attrapa la tête d'un des hommes qui m'entourait et l'attira dans la forêt.
Pris de stupeur, les autres se sont retournés. D'abord sous le choc, je repris rapidement mes esprits. Ayant d'avantage confiance en moi, j’enfonçai mon épée dans le dos d'un des brigands, avant qu'il ne se retourne, j'en tue un deuxième. Je fonce ensuite dans le tas et j'arrive à briser la masse d'homme qui tombe par terre et je courre vers la forêt.
Derrière moi, j'entendais les hommes crier, je me sentais poursuivis par une armée, des flèches furent décochées dans ma direction mais heureusement aucune ne me touche. Je cours aussi vite que le peuvent mes jambes, sans me retourner. Je remonte la pente, d'autre flèches manquent de me blesser.
Quand enfin j'arrive en haut, je recule le plus vite possible vers les arbres. Je me retourne un instant et je vois plusieurs ennemis qui à leur tour atteignent le rebord du fossé. En réponse, je pars me réfugier plus profondément dans la forêt.
Pendant cette semaine, je n'ai pas réussi à retrouver Marie, Guillaume et Alice. Gelly m'a dit qu'elle connaissait parfaitement la forêt mais malgré cette aide supplémentaire, il n'y eu aucun résultats.
« Vas-t-on les cherchés encore longtemps ? Demanda Gelly.
_ Ils doivent bien être quelque part.
_ Nous avons fouillé la forêt. Il n'y a que deux solutions à ce stade : soit ils sont morts, soit ils sont partit de la forêt.
_ Ils ne sont pas morts...
_ Alors ils sont partit.
_ Je ne suis pas sûr !
_ Eh bien allons demander.
_ À qui ?
_ Suis-moi. »
Je la suivie pendant une journée. La nuit tombée, je me suis endormi dans un arbre. Elle m'a vivement conseillé d'éviter de faire un feu.
Le lendemain, elle me réveilla tôt. Elle m'a amenée au abords d'un fossé énorme. À l'intérieur, un petit étang, des maisons en bois, des barricades...
« Ces sont tes congénères, va leur demander, me dit-elle.
_ Euh... je suis pas sûr là , ce sont peut-être des tueurs.
_ Ils le sont mais ne t'inquiète pas, je ne serais pas loin.
_ ...D'accord. »
Je n'étais pas très confiant quand je descendis la pente. L'épée accrochée à la ceinture, j'essayais de paraître le moins menaçant possible alors que les habitants du fossé m'avaient déjà repérés.
Au fur et à mesure que j'approchais, de plus en plus venais. Je m'arrêta, les brigands se rassemblèrent autour de moi, je fus complètement encerclé.
J'entendais des ricanement, je voyais de lames sortir des habits, je sentais que ça allait mal finir.
Au bout d'un moment, un homme grand, barbu, chauve, gros, les défoncées, avec une hache à la main poussa les autres pour se faire un passage jusqu'à moi.
Je mis la main sur mon arme...
« Voyez vous ça, dit-il en ricanant, c'est la première fois que je vois un lapin entrer dans la tanière du renard.
_ Je veux pas me battre, je suis venu ici pour avoir des informations.
_ Héhéhé, un gamin venu demander quelque chose. Et qu'à tu en échange de ces informations ? Héhéhé.
_ J'ai rien.
_ Pas d'échange, pas d'information, c'est dommage, hein ? »
J'étais effrayé. J'essayais de ne pas le montrer mais je l'étais. Rester plus de temps ici me faisait peur.
« Oui c'est dommage, je vais vous laisser alors
_ Ohoho, tu compte vraiment repartir comme ça ? Héhéhé !
_ S'il vous plaît monsieur »
La trentaine d'homme qui m'entourait resserra l'étau dans lequel je me suis fourré.
Je voyais les lames s'approcher de moi. Dans un mouvement de panique, je sortis mon épée et je frappa dans le vide autour de moi pour faire reculer mes ennemis. Cela marcha quelques secondes mais de nouveau, ils approchèrent.
« Bordayl Gelly ! Viens powned ces sâles racl' !! »
Suite à mon appel peu virile, une main sortie de la forêt et attrapa la tête d'un des hommes qui m'entourait et l'attira dans la forêt.
Pris de stupeur, les autres se sont retournés. D'abord sous le choc, je repris rapidement mes esprits. Ayant d'avantage confiance en moi, j’enfonçai mon épée dans le dos d'un des brigands, avant qu'il ne se retourne, j'en tue un deuxième. Je fonce ensuite dans le tas et j'arrive à briser la masse d'homme qui tombe par terre et je courre vers la forêt.
Derrière moi, j'entendais les hommes crier, je me sentais poursuivis par une armée, des flèches furent décochées dans ma direction mais heureusement aucune ne me touche. Je cours aussi vite que le peuvent mes jambes, sans me retourner. Je remonte la pente, d'autre flèches manquent de me blesser.
Quand enfin j'arrive en haut, je recule le plus vite possible vers les arbres. Je me retourne un instant et je vois plusieurs ennemis qui à leur tour atteignent le rebord du fossé. En réponse, je pars me réfugier plus profondément dans la forêt.