Note de la fic :
Recueil d'apprentis
Par : BaliBalo, MicroTab, SuperTramp
Genre : Nawak
Statut : C'est compliqué
Chapitre 44 : Poème N°42 SuperTramp
Publié le 17/03/2013 à 19:27:05 par SuperTramp
Heureuse Mélancolie
Bercée par des violons charmeurs,
J'espere voir cette lueur,
La lumière que l'on voit,
Lorsqu'on ressent la joie.
Ils me bercent avec une mélodie constante
Mon coeur vibre au son de leur cordes,
Mon émotion attend que je la morde,
Que je la réveille, cela la hante.
Elle est prisonnière au fond de moi-même,
Je me verrais bien la faire sortir,
Mais on récolte ce que l'on sème
Je ne la laisserait pas partir.
Les conséquences sont trop grandes,
Je me vois actuellement dans une chambre,
Assez vieillote de couleur ambre,
Tout comme la cordillère des andes,
Emplie de secret.
D'inutiles livres et instruments de mesure
Se mariaient avec des antiquités charmantes,
Et moi j'étais assis au profond de mon fauteuil,
Je regardais doucement ce tilleul,
Se courber lorsque je l'observait
Et lorsque je la regardais, l'eau se troublait.
A ce moment les chants des violons,
Résonnèrent dans ma tête,
Et mon coeur à l'unisson,
Se hissa sur une arête.
Je touchais enfin cette cordillère,
Autour de l'arbre j'était le lière.
Je marchais sur l'eau au gré de ma volonté,
Les oiseaux venais encore me clairroner,
Cet air Melancoliquement Heureux,
Dérangeant et chaleureux,
Qui nous accompagne lorsqu'on la ressent,
Lorsqu'on ressent enfin sa présence,
Comme une antiquité d'antan.
J'ai vraiment de la chance.
Le feu m'enroule le long de son corps,
Je suis calciné par tout cet or,
IL me traverse et me soutien,
Je n'attend plus rien.
Je suis alors bercé,
Je m'envole paisiblement,
Je sais ce qu'est la liberté,
Et me hisse lentement.
Soudain, plus rien ne bougeait,
Tout semblait si petit
Ce fut le moment de prononcer un souhait,
Celui de revenir à la vie.
Bercée par des violons charmeurs,
J'espere voir cette lueur,
La lumière que l'on voit,
Lorsqu'on ressent la joie.
Ils me bercent avec une mélodie constante
Mon coeur vibre au son de leur cordes,
Mon émotion attend que je la morde,
Que je la réveille, cela la hante.
Elle est prisonnière au fond de moi-même,
Je me verrais bien la faire sortir,
Mais on récolte ce que l'on sème
Je ne la laisserait pas partir.
Les conséquences sont trop grandes,
Je me vois actuellement dans une chambre,
Assez vieillote de couleur ambre,
Tout comme la cordillère des andes,
Emplie de secret.
D'inutiles livres et instruments de mesure
Se mariaient avec des antiquités charmantes,
Et moi j'étais assis au profond de mon fauteuil,
Je regardais doucement ce tilleul,
Se courber lorsque je l'observait
Et lorsque je la regardais, l'eau se troublait.
A ce moment les chants des violons,
Résonnèrent dans ma tête,
Et mon coeur à l'unisson,
Se hissa sur une arête.
Je touchais enfin cette cordillère,
Autour de l'arbre j'était le lière.
Je marchais sur l'eau au gré de ma volonté,
Les oiseaux venais encore me clairroner,
Cet air Melancoliquement Heureux,
Dérangeant et chaleureux,
Qui nous accompagne lorsqu'on la ressent,
Lorsqu'on ressent enfin sa présence,
Comme une antiquité d'antan.
J'ai vraiment de la chance.
Le feu m'enroule le long de son corps,
Je suis calciné par tout cet or,
IL me traverse et me soutien,
Je n'attend plus rien.
Je suis alors bercé,
Je m'envole paisiblement,
Je sais ce qu'est la liberté,
Et me hisse lentement.
Soudain, plus rien ne bougeait,
Tout semblait si petit
Ce fut le moment de prononcer un souhait,
Celui de revenir à la vie.