Note de la fic :
Recueil d'apprentis
Par : BaliBalo, MicroTab, SuperTramp
Genre : Nawak
Statut : C'est compliqué
Chapitre 43 : Poème N°41 SuperTramp
Publié le 02/03/2013 à 19:37:51 par SuperTramp
Les violentes mélancolies de mon coeur,
Me font encore subir,
La violente vue d'une lueur,
Qui mes yeux perdus fait rougir.
Le regret m'habitera toujours,
Le regret de ne pas etre parfait,
Le regret d'un poids lourd,
Un lourd poids qui est abstrait.
Le sentiment d'etre isolé,
Au fond de soit, se replié
Est-il une solution ?
Le monde ne tourne vraiment pas rond.
Un moment de liberté,
Et voila que le destin est exagéré,
Comme les actes commis durant cette sensation,
Qui ne tournent vraiment pas rond.
Quel sentiment ainsi soit il,
Reprendra le dessus,
Sur une tristesse assez habile,
Pour se camoufler a mon insu.
Esperer et ne rien lacher,
Le discours d'un battant,
Qui se repete sa dans une matinale rosée,
Et qui ne marche qu'en esperant.
C'est la profondeur d'une âme cinglante,
Qui, affamée par un our(s),
Vogue sur la plaine ruisselante,
De l'amour déchu d'un funeste parcours.
Lorsque l'esprit et l'ame,
Capturés par un coeur,
Ne peuvent etre que libérés,
Que par un leurre,
Un semblant d'amour,
Une pincée de contrariété,
Une cuillérée d'un lourd,
D'un très lourd, chagrin caché.
Plongé dans une paisible ville,
Arborée de lumières rouge,
Dans une nuit seul et triste,
L'esprit s'échappe au gré,
De funeste pensées,
D'un abandon de toutes les charges,
Bien que sommeille une quelconque hargne,
Elle ne peut rien y faire,
Elle est impuissante et espere,
Que son maitre s'en apercevera,
Pour qu'elle puisse enfin sortir,
Montrer aux autres, s'ouvrir,
Commettre son penchant pour l'éternel,
Et se délecter de sang au miel.
Le rouge s'empare alors de l'esprit du pâtient,
Son coma est iminent,
Il va bientot plonger,
Pour une vision sans fin,
Tel est le destin.
C'est fait, ses pensées ne se controlent plus,
Ce n'est même pas inquiétant,
Il nage sans fin, il continu,
Il explore enfin son potentiel luisant,
Il rencontre de bleus dauphins,
Il nage avec, et se souvient enfin,
Ce sont des pensées oubliées,
Il se mouille toujours avec plaisir,
Il a enfin exploré ses confints,
et peut se reveiller avec le sourire.
Rien n'est plus fou dans ce monde,
Que la pensée des gens,
Car qu'elle soit cachée, splendide ou immonde,
C'est elle qui règle le temps
Me font encore subir,
La violente vue d'une lueur,
Qui mes yeux perdus fait rougir.
Le regret m'habitera toujours,
Le regret de ne pas etre parfait,
Le regret d'un poids lourd,
Un lourd poids qui est abstrait.
Le sentiment d'etre isolé,
Au fond de soit, se replié
Est-il une solution ?
Le monde ne tourne vraiment pas rond.
Un moment de liberté,
Et voila que le destin est exagéré,
Comme les actes commis durant cette sensation,
Qui ne tournent vraiment pas rond.
Quel sentiment ainsi soit il,
Reprendra le dessus,
Sur une tristesse assez habile,
Pour se camoufler a mon insu.
Esperer et ne rien lacher,
Le discours d'un battant,
Qui se repete sa dans une matinale rosée,
Et qui ne marche qu'en esperant.
C'est la profondeur d'une âme cinglante,
Qui, affamée par un our(s),
Vogue sur la plaine ruisselante,
De l'amour déchu d'un funeste parcours.
Lorsque l'esprit et l'ame,
Capturés par un coeur,
Ne peuvent etre que libérés,
Que par un leurre,
Un semblant d'amour,
Une pincée de contrariété,
Une cuillérée d'un lourd,
D'un très lourd, chagrin caché.
Plongé dans une paisible ville,
Arborée de lumières rouge,
Dans une nuit seul et triste,
L'esprit s'échappe au gré,
De funeste pensées,
D'un abandon de toutes les charges,
Bien que sommeille une quelconque hargne,
Elle ne peut rien y faire,
Elle est impuissante et espere,
Que son maitre s'en apercevera,
Pour qu'elle puisse enfin sortir,
Montrer aux autres, s'ouvrir,
Commettre son penchant pour l'éternel,
Et se délecter de sang au miel.
Le rouge s'empare alors de l'esprit du pâtient,
Son coma est iminent,
Il va bientot plonger,
Pour une vision sans fin,
Tel est le destin.
C'est fait, ses pensées ne se controlent plus,
Ce n'est même pas inquiétant,
Il nage sans fin, il continu,
Il explore enfin son potentiel luisant,
Il rencontre de bleus dauphins,
Il nage avec, et se souvient enfin,
Ce sont des pensées oubliées,
Il se mouille toujours avec plaisir,
Il a enfin exploré ses confints,
et peut se reveiller avec le sourire.
Rien n'est plus fou dans ce monde,
Que la pensée des gens,
Car qu'elle soit cachée, splendide ou immonde,
C'est elle qui règle le temps