Note de la fic :
Yes-Life Time !
Par : [AceNewWeed]
Genre : Sentimental
Statut : Terminée
Chapitre 38 : Souffrance et sérénité.
Publié le 27/03/2014 à 20:33:42 par [AceNewWeed]
&feature=youtu.be&t=2m38s
Je sais plus où regarder, j'essaie de me débattre mais impossible avec l'autre connard de Kévin, 7 ans de rugby qui me plaque contre le mur d'un côté et Hakim de l'autre. J'en prends plein la gueule, j'arrive même à me demander si je m'en sortirai vivant.
Romain : Tiens prends ça enfoiré de mes couilles va !
Dit-il en m'envoyant une nouvelle fois son poing, suivi d'un coup de genou dans les couilles. Je le supplie du regard avec insistance, du moins pour qu'il ait pitié de moi mais sa haine envers moi est trop importante pour l'arrêter.
Hakim décide de me jeter par terre, de toute façon je suis tellement défoncé que je pourrai même plus bouger un membre. Je me fais enchainé de coups de pieds et dès que j'essaie de me relever on m'éclate la tronche par terre, cette fois ils s'y mettent tous contre moi. Puis soudain je sens quelque chose de très froid qui coule de mon nez et tombe sur le sol, du sang..
Nathan : Putain mais ça VOUS SUFFIT PAS de m'emmerder bande d'attardés ?!
Kévin : Mais ferme ta gueule petite merde tu veux pas qu'on s'énerve encore plus, non ?
Romain : Non.. Laisse-le parler tiens.
Il m'attrape par les épaules comme si j'étais un sac à patate puis me balance contre un mur en gueulant de toutes ses forces
Romain : BAH VAS-Y PARLE SALE PÉDÉ ! Hein maintenant tu parles plus hein ?
Je le regarde sans prononcer un seul mot, la tête gonflée comme une pastèque puis je lui crache à la figure, ce qui ne manqua pas de l'énerver encore plus. Il tendit son poing comme signe de provocation, je continue de le fixer d'un regard vide, il comprend que je rentrerai pas dans son jeu d'abruti.
Je regarde la porte de sortie comme si on me coupait de ma liberté. J'aurai pas du aller ''boire'' et j'aurai encore moins du essayer de me ''rebeller'' cette année..
Romain : Ah c'est ça que tu veux ? La sortie ? Bah casse-toi du con !
Il me prend pour une énième fois et me jette contre le sol de plein fouet. Exténué je bouge plus d'un pouce, je ferme les yeux et me sens autre part, puis 30 secondes après je les rouvre et aperçoit une lumière blanche qui m'attend à la sortie, je crois que c'est un poney qui jaillit de nul part..
Non en fait c'est pas un poney, je reconnais cette voix féminine qui gueule pour un tout et pour un rien. Attend c'est Candice qui vient à ma rescousse ?
Candice : Oh cassez-vous bande de batards ! De toute façon y'a les pions qui vous ont entendu vous allez vous faire niquer pauv'tarrés !
Romain : Putain on se casse les mecs ! Et toi ferme ta gueule si tu veux pas qu'il t'arrive la même chose.
Candice : Ouais ouais c'est ça, même ta mère elle a plus de couilles que toi. *Enfoiré* Dit-elle en soupirant et se jetant sur moi, je cligne des yeux à nouveau et perd connaissance.
Je me passe la main à la figure puis je me rends compte que je suis à l'infirmerie, entouré de Jules et Nicolas. J'ai envie de parler mais je crois que j'y arriverai pas..
Nathan : Candice..
Jules : Quoi tu keaf ma meuf ?
Nathan : Nah.. Putain..
Nicolas : Euh je crois qu'il veut savoir où elle est. C'est quand même elle qui l'a sortit de ce merdier.
Nathan : Hm..
Jules : Bah elle est dans la cours avec ses copines, elle est en pleurs la pauvre..
Nathan : Va la voir elle a besoin d'toi..
Jules : Mais t'as vu dans quel état on t'a mit ?
Nathan : Y'a Nicolas alors ça va..
Je reste 5 minutes sans rien dire, je me tiens les côtes qui me lancent comme pas possible puis je relève mon polo deux secondes, j'ai des bleu de partout putain.. Je pense pas avoir de côte cassée, du moins ça m'étonnerait et je serai sûrement pas là. Puis d'un seul coup, je m'assois sur le lit, titubant comme un ivrogne et je me mets sur mes deux jambes, soutenu par Nicolas.
Infirmière : Tu devrai rester allongé le temps que tes parents viennent te chercher.
Nathan : Hm.. Ok.
A force de rester avec moi Nicolas va rater son cours et va se faire engueuler par le prof' du coup je l'ai forcé à rentrer en cours. Puis après voir attendu un quart d'heure mes parents sont venus me chercher, apparemment j'ai une gueule de babouin à cause des bleus vue comment ma mère a réagit. Je rentre dans la voiture exténué et je regarde le paysage ne serais-ce même que 10 minutes, le temps du trajet quoi. J'adore regarder ce qui se trouve autour de moi, ça me permet de plus penser à mes problèmes pendant quelques instants. Malheureusement je suis déjà arrivé au bercail !
Et puis fuck hein, je me jette sur mon lit et, encore habillé de ma journée éreintante, je dors comme un gros bébé dans mon lit. Quelques heures plus tard je suis réveillé pour aller souper, génial des pâtes.. ! Du coup ça m'a permit de regarder mes messages :
Candice : Tu vas mieux ?
Nicolas : Putain j'espère que tu vas mieux que tout à l'heure, je regrette de pas avoir été là pour toi sérieux..
Tu sais Nico' fluet comme t'es tu m'aurai pas servi à grand chose
Jules : Yo Nathan, remets-toi vite, on pense tous à toi. Faut qu'on le trouve et qu'on lui nique sa race à cet enfoiré.
Enola : Tu t'es disputé avec quelqu'un ? Je comprends rien y'a des rumeurs qui circulent de partout et Nicolas me répond pas.. Ca te dérange si je passe chez toi ce soir ?
Alexandre, Maxime et Matthieu : Chaud ce qu'on a apprit, repose-toi bien on pense à toi .
Ca fait plaisir de voir ces messages. Je crois qu'il y a rien de mieux au monde que de comprendre qu'il n'y a pas que du mal autour de nous et que chaque situation a son positif. Ouais je sais c'est difficile à croire mais chaque évènement nous rend plus fort et chaque bonheur passé nous donne la joie de vivre. D'ailleurs là j'attends Enola qui devrait arriver sous peu, on va enfin passer une soirée rien qu'à nous deux, comme avant. Oh bah tiens, ça sonne.
Enola : Mon dieu qu'est-ce qu'il t'est arrivé ?
Euh.. Je pense qu'il est temps de lui faire comprendre qui est VRAIMENT Romain. Après des explications assez concises puisque j'ai du mal à parler, elle acquiesce de la tête en me regardant avec ses gros yeux, franchement j'avais carrément oublié à quel point elle était mignonne. Et puis là je suis en train d'oublier que si je me magne pas le cul dans quelques mois elle le sera moins.. Je la sers dans mes bras, sûrement qu'elle doit pas comprendre pourquoi mais il faut savoir profiter de ses proches pendant qu'ils sont encore là.
Enola : Qu'est-ce qu'il t'a fait bon sang.. T'es sûr que c'est lui ?
Nathan : Bah ouais je suis pas fou quand même n'amour..
Enola : Sûr sûr sûr sûr ?
Nathan : Oui !
Enola : D'accord.. C'est étrange je le pensais vraiment pas comme ça ce garçon. Mais tu sais quoi ? Je te trouve encore plus mignon comme ça, tu fais bad boy !
Nathan : Ouais bah un bad boy very very bad alors !
Elle me donne une petite tape sur le bras puis se cache derrière ses mains pensant que j'allais répliquer sauf que tout ce que j'ai fait c'est me tenir le bras comme un forcené en gémissant : ''Mon bras !'' Je relève mon haut de pyjama et lui montre la chose, devenue carrément violette sous la pression de mes ''adversaires''. Elle me lance un regard à la fois triste et surpris puis on éclate de rire ensembles ! Ca me fait plaisir de te retrouver ma petite Enola. Maintenant il faut que je réfléchisse à comment trouver ce foutu argent et surtout à remercier Candice de m'avoir sauver !
Je sais plus où regarder, j'essaie de me débattre mais impossible avec l'autre connard de Kévin, 7 ans de rugby qui me plaque contre le mur d'un côté et Hakim de l'autre. J'en prends plein la gueule, j'arrive même à me demander si je m'en sortirai vivant.
Romain : Tiens prends ça enfoiré de mes couilles va !
Dit-il en m'envoyant une nouvelle fois son poing, suivi d'un coup de genou dans les couilles. Je le supplie du regard avec insistance, du moins pour qu'il ait pitié de moi mais sa haine envers moi est trop importante pour l'arrêter.
Hakim décide de me jeter par terre, de toute façon je suis tellement défoncé que je pourrai même plus bouger un membre. Je me fais enchainé de coups de pieds et dès que j'essaie de me relever on m'éclate la tronche par terre, cette fois ils s'y mettent tous contre moi. Puis soudain je sens quelque chose de très froid qui coule de mon nez et tombe sur le sol, du sang..
Nathan : Putain mais ça VOUS SUFFIT PAS de m'emmerder bande d'attardés ?!
Kévin : Mais ferme ta gueule petite merde tu veux pas qu'on s'énerve encore plus, non ?
Romain : Non.. Laisse-le parler tiens.
Il m'attrape par les épaules comme si j'étais un sac à patate puis me balance contre un mur en gueulant de toutes ses forces
Romain : BAH VAS-Y PARLE SALE PÉDÉ ! Hein maintenant tu parles plus hein ?
Je le regarde sans prononcer un seul mot, la tête gonflée comme une pastèque puis je lui crache à la figure, ce qui ne manqua pas de l'énerver encore plus. Il tendit son poing comme signe de provocation, je continue de le fixer d'un regard vide, il comprend que je rentrerai pas dans son jeu d'abruti.
Je regarde la porte de sortie comme si on me coupait de ma liberté. J'aurai pas du aller ''boire'' et j'aurai encore moins du essayer de me ''rebeller'' cette année..
Romain : Ah c'est ça que tu veux ? La sortie ? Bah casse-toi du con !
Il me prend pour une énième fois et me jette contre le sol de plein fouet. Exténué je bouge plus d'un pouce, je ferme les yeux et me sens autre part, puis 30 secondes après je les rouvre et aperçoit une lumière blanche qui m'attend à la sortie, je crois que c'est un poney qui jaillit de nul part..
Non en fait c'est pas un poney, je reconnais cette voix féminine qui gueule pour un tout et pour un rien. Attend c'est Candice qui vient à ma rescousse ?
Candice : Oh cassez-vous bande de batards ! De toute façon y'a les pions qui vous ont entendu vous allez vous faire niquer pauv'tarrés !
Romain : Putain on se casse les mecs ! Et toi ferme ta gueule si tu veux pas qu'il t'arrive la même chose.
Candice : Ouais ouais c'est ça, même ta mère elle a plus de couilles que toi. *Enfoiré* Dit-elle en soupirant et se jetant sur moi, je cligne des yeux à nouveau et perd connaissance.
Je me passe la main à la figure puis je me rends compte que je suis à l'infirmerie, entouré de Jules et Nicolas. J'ai envie de parler mais je crois que j'y arriverai pas..
Nathan : Candice..
Jules : Quoi tu keaf ma meuf ?
Nathan : Nah.. Putain..
Nicolas : Euh je crois qu'il veut savoir où elle est. C'est quand même elle qui l'a sortit de ce merdier.
Nathan : Hm..
Jules : Bah elle est dans la cours avec ses copines, elle est en pleurs la pauvre..
Nathan : Va la voir elle a besoin d'toi..
Jules : Mais t'as vu dans quel état on t'a mit ?
Nathan : Y'a Nicolas alors ça va..
Je reste 5 minutes sans rien dire, je me tiens les côtes qui me lancent comme pas possible puis je relève mon polo deux secondes, j'ai des bleu de partout putain.. Je pense pas avoir de côte cassée, du moins ça m'étonnerait et je serai sûrement pas là. Puis d'un seul coup, je m'assois sur le lit, titubant comme un ivrogne et je me mets sur mes deux jambes, soutenu par Nicolas.
Infirmière : Tu devrai rester allongé le temps que tes parents viennent te chercher.
Nathan : Hm.. Ok.
A force de rester avec moi Nicolas va rater son cours et va se faire engueuler par le prof' du coup je l'ai forcé à rentrer en cours. Puis après voir attendu un quart d'heure mes parents sont venus me chercher, apparemment j'ai une gueule de babouin à cause des bleus vue comment ma mère a réagit. Je rentre dans la voiture exténué et je regarde le paysage ne serais-ce même que 10 minutes, le temps du trajet quoi. J'adore regarder ce qui se trouve autour de moi, ça me permet de plus penser à mes problèmes pendant quelques instants. Malheureusement je suis déjà arrivé au bercail !
Et puis fuck hein, je me jette sur mon lit et, encore habillé de ma journée éreintante, je dors comme un gros bébé dans mon lit. Quelques heures plus tard je suis réveillé pour aller souper, génial des pâtes.. ! Du coup ça m'a permit de regarder mes messages :
Candice : Tu vas mieux ?
Nicolas : Putain j'espère que tu vas mieux que tout à l'heure, je regrette de pas avoir été là pour toi sérieux..
Tu sais Nico' fluet comme t'es tu m'aurai pas servi à grand chose
Jules : Yo Nathan, remets-toi vite, on pense tous à toi. Faut qu'on le trouve et qu'on lui nique sa race à cet enfoiré.
Enola : Tu t'es disputé avec quelqu'un ? Je comprends rien y'a des rumeurs qui circulent de partout et Nicolas me répond pas.. Ca te dérange si je passe chez toi ce soir ?
Alexandre, Maxime et Matthieu : Chaud ce qu'on a apprit, repose-toi bien on pense à toi .
Ca fait plaisir de voir ces messages. Je crois qu'il y a rien de mieux au monde que de comprendre qu'il n'y a pas que du mal autour de nous et que chaque situation a son positif. Ouais je sais c'est difficile à croire mais chaque évènement nous rend plus fort et chaque bonheur passé nous donne la joie de vivre. D'ailleurs là j'attends Enola qui devrait arriver sous peu, on va enfin passer une soirée rien qu'à nous deux, comme avant. Oh bah tiens, ça sonne.
Enola : Mon dieu qu'est-ce qu'il t'est arrivé ?
Euh.. Je pense qu'il est temps de lui faire comprendre qui est VRAIMENT Romain. Après des explications assez concises puisque j'ai du mal à parler, elle acquiesce de la tête en me regardant avec ses gros yeux, franchement j'avais carrément oublié à quel point elle était mignonne. Et puis là je suis en train d'oublier que si je me magne pas le cul dans quelques mois elle le sera moins.. Je la sers dans mes bras, sûrement qu'elle doit pas comprendre pourquoi mais il faut savoir profiter de ses proches pendant qu'ils sont encore là.
Enola : Qu'est-ce qu'il t'a fait bon sang.. T'es sûr que c'est lui ?
Nathan : Bah ouais je suis pas fou quand même n'amour..
Enola : Sûr sûr sûr sûr ?
Nathan : Oui !
Enola : D'accord.. C'est étrange je le pensais vraiment pas comme ça ce garçon. Mais tu sais quoi ? Je te trouve encore plus mignon comme ça, tu fais bad boy !
Nathan : Ouais bah un bad boy very very bad alors !
Elle me donne une petite tape sur le bras puis se cache derrière ses mains pensant que j'allais répliquer sauf que tout ce que j'ai fait c'est me tenir le bras comme un forcené en gémissant : ''Mon bras !'' Je relève mon haut de pyjama et lui montre la chose, devenue carrément violette sous la pression de mes ''adversaires''. Elle me lance un regard à la fois triste et surpris puis on éclate de rire ensembles ! Ca me fait plaisir de te retrouver ma petite Enola. Maintenant il faut que je réfléchisse à comment trouver ce foutu argent et surtout à remercier Candice de m'avoir sauver !