Note de la fic :
Moi, Yoann, Invisible Man...
Par : LePatriarche
Genre : Réaliste, Sentimental
Statut : Abandonnée
Chapitre 40
Publié le 17/10/2013 à 23:15:15 par LePatriarche
Sans poser plus de question, nous nous dirigeâmes chez moi. En marchant, je sentais un sentiment d'excitation m'envahir : Nous serons seul, tous les deux, chez moi. Impensable il y a quelques temps, mais j'ai bien pris note des conseils de mes parents, la prudence avant tout, rien de précipiter, meme si je lui fais confiance et que je l'aime.
Une fois chez moi, je l'invitai à s'asseoir sur le canapé. Elle enlève sa veste, son écharpe pour me les confier, comme si j'etais un gentleman, afin de les poser à l'entrée. Je lui fis visiter une partie de mon habitat, le salon, ma chambre, la salle de bain, et le cœur de la maison, la cuisine
Helène : Installes toi dans le salon, j'ai un peu soif, pour nous chercher à boire...
Moi : Ah oui je comprends... Tu te sens bien ? Tout à l'heure au cirque Marius ( ) t'avais pas l'air en forme.
Helène : Ah la fatigue...
Je lui caressai doucement l'épaule pour la reconforter avant de lui embrasser les cheveux délicatement. Elle revenu 2 minutes après toujours en gardant sa démarche sensuelle et envoutante :
Helène : J'ai un peu farfouillé dans la cuisine, et tu manges encore des chocapics ? ( )
Moi : Au fond de moi, je suis encore un enfant, lui dis-je en ricanant.
Son soupir moqueur et complice me fit rougir. Elle me tend le verre d'eau que je bus d'une traite, avant qu'elle ne vienne s'asseoir près de moi.
Helène : Racontes moi des trucs sur toi, je sais pas des anecdotes, comme ça...
Moi : Bah ok... Comme ça, on pourra mieux se connaitre, ça tombe bien, répondis-je avec soulagement. J'aimerais bien en savoir plus sur toi après ))">
Je commencai à narrer plusieurs histoires, arrivé à certains de mes camarades de collèges, et toujours, à la fin, elle riais. On passait vraiment un bon moment ensemble :
Moi : Ce mec... Il s'appelait Tony. Je t'assure, il était rouge de honte quand son jean s'est baissé à cause de sa ceinture Depuis, on l'apelle RougeTony quand on le croise.
Helène : Pas mal... Moi j'ai mieux ! Me répondit-elle avec assurance, avant de lancer une tout autre histoire, en s'accrochant très fort à ma main.
Elle me racontais l'histoire d'un de ses cousins, qui a voulue faire le mur pour une fete, et qui a débarquer en escaladant le grillage de la salle de reception, sous les yeux ébahis des personnes présente, qui croyait avoir affaire à un voleur, avant que celui-ci ne rétorque :" Je suis venue discrètement, parce que je fais partie de ceux qui ne se déplacent qu'en silence ! " avant que l'assemblée ne s'écroule de rire.
Après une bonne heure a discuté comme ça, l'épuisement me gagnait à grands pas. Je n'avais qu'une seule envie, celle de dormir !
Moi : Waouh, je suis crevé...
Helène : Tu te sens pas bien toi aussi ? C'est normal, c'est la fatigue. Allonges toi sur le canapé.
Sur ces mots, je m'éxécutai. Son visage s'approchait du mien, avant de me lancer :" Fais de beaux reves alors !"
Sur le coup, je pensais à une blague, mais son expression changea subitement, elle se rapprochai toujours plus près de moi, déchirant ma chemise au passage, me laissant presque endormie et torse nu devant elle. Je respirais de plus en plus fort, mais je pus glisser quelques mots :
Moi : Qu'est-ce qui t'arrives ? Me dis pas que...
Helène : Les somnifères commencent enfin à agir, je n'y croyais plus...
J'etais désorienté... Qu'est-ce qu'elle voulait me faire ? Quelque soit la raison, la situation parassait délicate pour moi.
Une fois chez moi, je l'invitai à s'asseoir sur le canapé. Elle enlève sa veste, son écharpe pour me les confier, comme si j'etais un gentleman, afin de les poser à l'entrée. Je lui fis visiter une partie de mon habitat, le salon, ma chambre, la salle de bain, et le cœur de la maison, la cuisine
Helène : Installes toi dans le salon, j'ai un peu soif, pour nous chercher à boire...
Moi : Ah oui je comprends... Tu te sens bien ? Tout à l'heure au cirque Marius ( ) t'avais pas l'air en forme.
Helène : Ah la fatigue...
Je lui caressai doucement l'épaule pour la reconforter avant de lui embrasser les cheveux délicatement. Elle revenu 2 minutes après toujours en gardant sa démarche sensuelle et envoutante :
Helène : J'ai un peu farfouillé dans la cuisine, et tu manges encore des chocapics ? ( )
Moi : Au fond de moi, je suis encore un enfant, lui dis-je en ricanant.
Son soupir moqueur et complice me fit rougir. Elle me tend le verre d'eau que je bus d'une traite, avant qu'elle ne vienne s'asseoir près de moi.
Helène : Racontes moi des trucs sur toi, je sais pas des anecdotes, comme ça...
Moi : Bah ok... Comme ça, on pourra mieux se connaitre, ça tombe bien, répondis-je avec soulagement. J'aimerais bien en savoir plus sur toi après ))">
Je commencai à narrer plusieurs histoires, arrivé à certains de mes camarades de collèges, et toujours, à la fin, elle riais. On passait vraiment un bon moment ensemble :
Moi : Ce mec... Il s'appelait Tony. Je t'assure, il était rouge de honte quand son jean s'est baissé à cause de sa ceinture Depuis, on l'apelle RougeTony quand on le croise.
Helène : Pas mal... Moi j'ai mieux ! Me répondit-elle avec assurance, avant de lancer une tout autre histoire, en s'accrochant très fort à ma main.
Elle me racontais l'histoire d'un de ses cousins, qui a voulue faire le mur pour une fete, et qui a débarquer en escaladant le grillage de la salle de reception, sous les yeux ébahis des personnes présente, qui croyait avoir affaire à un voleur, avant que celui-ci ne rétorque :" Je suis venue discrètement, parce que je fais partie de ceux qui ne se déplacent qu'en silence ! " avant que l'assemblée ne s'écroule de rire.
Après une bonne heure a discuté comme ça, l'épuisement me gagnait à grands pas. Je n'avais qu'une seule envie, celle de dormir !
Moi : Waouh, je suis crevé...
Helène : Tu te sens pas bien toi aussi ? C'est normal, c'est la fatigue. Allonges toi sur le canapé.
Sur ces mots, je m'éxécutai. Son visage s'approchait du mien, avant de me lancer :" Fais de beaux reves alors !"
Sur le coup, je pensais à une blague, mais son expression changea subitement, elle se rapprochai toujours plus près de moi, déchirant ma chemise au passage, me laissant presque endormie et torse nu devant elle. Je respirais de plus en plus fort, mais je pus glisser quelques mots :
Moi : Qu'est-ce qui t'arrives ? Me dis pas que...
Helène : Les somnifères commencent enfin à agir, je n'y croyais plus...
J'etais désorienté... Qu'est-ce qu'elle voulait me faire ? Quelque soit la raison, la situation parassait délicate pour moi.