Note de la fic :
Publié le 07/09/2013 à 22:14:04 par Magikz
Mathias arriva enfin sur Biarritz. Le soleil se couchait sur la ville du sud ouest. Les cinq heures de route qu'il venait de boucler l'avait épuisé. Il faisait encore très chaud. Il avait besoin de se reposer avant de commencer son enquête. Mathias loua une petite chambre dans un motel situé à proximité de la ville.
Arrivé dans sa chambre, il posa sa valise, avant de s'écrouler sur son lit de fatigue. Le matelas émit un sinistre grincement au contact de son corps. Mathias n'avait pas payé cette chambre bien cher. De toute façon, il était habitué à vivre à la dure. A ses yeux, le confort était superficiel.
Après quelques minutes de repos, Mathias se dirigea vers sa valise, et en sortit une petite mallette noire. Il l'ouvrit avec précaution.
Mathias attrapa le revolver et le mania avec une impressionnante dextérité. Le contact du métal froid contre la paume de sa main lui arracha un frisson de plaisir. Il connaissait la plupart des armes à feu sur le bout des doigts. Ce domaine n'avait plus de secret pour lui.
Il sortit un silencieux, et le vissa minutieusement sur le canon de l'arme. Il savait pertinemment qu'à un moment ou à un autre, il allait devoir s'en servir. Mathias avait déjà tué. Et contrairement à beaucoup de gens, il n'éprouvait pas ce sentiment de culpabilité que certains ressentaient après avoir agit de la sorte. Il tuait quand c'était nécessaire. C'était son boulot.
Mathias n'avait jamais eut de mal à s'endormir le soir et à vivre avec. Il se rendait compte qu'au fond, il n'était pas comme les autres... Parfois, il se faisait même peur. Mais bon, il était comme ça. Il ne changerait pas.
Il était arrivé depuis seulement quelques minutes, et déjà, son esprit se concentrait sur l'enquête. Il avait déjà quelques soupçons sur l'identité du ravisseur de Valentin, une désagréable impression de savoir ce qu'il se passait, sans parvenir à mettre des mots dessus. Mais il préférait ne pas se prononcer trop rapidement et attendre des preuves concrètes.
Mathias rangea avec précaution le revolver dans la mallette.
Un sandwich et une canette de bière lui firent office de repas. Mathias y songea et ne put réprimer un sourire. Il se savait capable d'abattre de sang froid les ravisseurs de son neveu, mais tout à fait incapable de se préparer un plat de pâtes...
Il était particulier. Vraiment particulier...
Le lendemain matin, Mathias se leva de bonne heure. Évidemment, il avait laissé de côté son uniforme. Il voulait être tranquille, mais surtout, se faire passer pour un individu lambda et ne pas effrayer les témoins potentiels.
Et puis, en civil, Mathias pouvait se fondre dans la masse. Éviter de se faire prendre pour cible. Les ravisseurs de Valentin traînaient encore sûrement dans le coin. Son obsession à être constamment prudent, lui avait d'ailleurs sauvé la vie à de multiples reprises.
Mathias s'affubla d'un jean et d'un polo, prit son portable, et glissa le revolver dans sa ceinture. L'oncle de Valentin se jura de retrouver son neveu et de faire payer les enfoirés qui s'en étaient pris à sa famille. Son visage changea d'expression. On pouvait y lire de la concentration et de la détermination. Mathias sortit de la chambre d'un pas décidé.
Finis de jouer maintenant.
Arrivé dans sa chambre, il posa sa valise, avant de s'écrouler sur son lit de fatigue. Le matelas émit un sinistre grincement au contact de son corps. Mathias n'avait pas payé cette chambre bien cher. De toute façon, il était habitué à vivre à la dure. A ses yeux, le confort était superficiel.
Après quelques minutes de repos, Mathias se dirigea vers sa valise, et en sortit une petite mallette noire. Il l'ouvrit avec précaution.
Mathias attrapa le revolver et le mania avec une impressionnante dextérité. Le contact du métal froid contre la paume de sa main lui arracha un frisson de plaisir. Il connaissait la plupart des armes à feu sur le bout des doigts. Ce domaine n'avait plus de secret pour lui.
Il sortit un silencieux, et le vissa minutieusement sur le canon de l'arme. Il savait pertinemment qu'à un moment ou à un autre, il allait devoir s'en servir. Mathias avait déjà tué. Et contrairement à beaucoup de gens, il n'éprouvait pas ce sentiment de culpabilité que certains ressentaient après avoir agit de la sorte. Il tuait quand c'était nécessaire. C'était son boulot.
Mathias n'avait jamais eut de mal à s'endormir le soir et à vivre avec. Il se rendait compte qu'au fond, il n'était pas comme les autres... Parfois, il se faisait même peur. Mais bon, il était comme ça. Il ne changerait pas.
Il était arrivé depuis seulement quelques minutes, et déjà, son esprit se concentrait sur l'enquête. Il avait déjà quelques soupçons sur l'identité du ravisseur de Valentin, une désagréable impression de savoir ce qu'il se passait, sans parvenir à mettre des mots dessus. Mais il préférait ne pas se prononcer trop rapidement et attendre des preuves concrètes.
Mathias rangea avec précaution le revolver dans la mallette.
Un sandwich et une canette de bière lui firent office de repas. Mathias y songea et ne put réprimer un sourire. Il se savait capable d'abattre de sang froid les ravisseurs de son neveu, mais tout à fait incapable de se préparer un plat de pâtes...
Il était particulier. Vraiment particulier...
Le lendemain matin, Mathias se leva de bonne heure. Évidemment, il avait laissé de côté son uniforme. Il voulait être tranquille, mais surtout, se faire passer pour un individu lambda et ne pas effrayer les témoins potentiels.
Et puis, en civil, Mathias pouvait se fondre dans la masse. Éviter de se faire prendre pour cible. Les ravisseurs de Valentin traînaient encore sûrement dans le coin. Son obsession à être constamment prudent, lui avait d'ailleurs sauvé la vie à de multiples reprises.
Mathias s'affubla d'un jean et d'un polo, prit son portable, et glissa le revolver dans sa ceinture. L'oncle de Valentin se jura de retrouver son neveu et de faire payer les enfoirés qui s'en étaient pris à sa famille. Son visage changea d'expression. On pouvait y lire de la concentration et de la détermination. Mathias sortit de la chambre d'un pas décidé.
Finis de jouer maintenant.
Commentaires
- iSoulz
08/09/2013 à 12:13:32
Sweet plox