OMG J'ai tué ta grand-mère !!!

Chapitre XXIV)


J'étais lâché dans l'hôpital, sapé en gardien et armé jusqu'aux dents
Je devais déjà savoir où mon fidèle majordome était retenu, le libérer était une nécessité absolue pour la suite des opérations.
Alors que je faisais mon Solid Snake (boiteux ) dans les couloir, je croisais 2 autres gardiens :

-Marc, qu'est ce que tu fous là ?
-Suis nous, on doit fouiller l'étage pour trouver ce p'tit branleur d'Allender, il s'est échappé de l'infirmerie après avoir violé Erika !
-OMAGA... Euh, oh mon Dieu, c'est vraiment une raclure celui là, 'faut l'coincer (fou rire intérieur )
-Ouais, tu faisais quoi ?
-Je voulais aller voir le p'tit Merilahti, il doit avoir des renseignements sur lui, vous savez où il est ?
-Non, va voir dans le local, ya la fiche avec les salles où dorment chacun des patients, elle a été mise à jour hier
-Ok, merci !

Alors que je montai les escaliers...

-Marc ? Tu vas où ?
-Bah au local... ( )
- T'es trop con, c'est au 3ème
-Bah on est au second là (tentative de rattrape foireuse spotted )
-Non, au 5ème
-Ah ouais, merci
-Pas d'quoi, aller on bouge nous, à plus
-Bye

C'est ça, bon vent ducon
Je me rendais donc au local des
gardiens, j'arrivai au 3ème étage, je traversai le couloir et trouvait la salle en question ; j'entrai... enfin, j'essayai c'était fermé à clé, FUUUUUUUU ("> !!!
J'allais devoir ruser pour y rentrer...
Je remontai jusqu'au 6ème étage, direction le bureau du docteur Philibide
Je montai les escaliers le plus rapidement possible, (c'était pas super facile avec un plâtre faut dire ), quand, dans un couloir du 3ème étage, j'aperçus un gardien, accompagné...d'Erika
La pute qui m'avait foutue encore plus dans la merde et l'enfoiré qui m'avait laissé crever de faim, ils allaient payer
Je m'approchai discrètement en fufu (non les meuporgs ne me sont pas montés au cerveau ) juste derrière eux, sortant un scalpel à l'aide duquel je lacérai avec une facilité déconcertante la gorge dudit gardien...
Il s'écroula au sol, dans une marre de sang...
Erika, choquée, tenta de hurler, mais je lui couvris la bouche avec ma main, lui attrapant la langue et la tranchant, toujours avec le même scalpel.

-Humpphfff of cour...
-Tu fais moins la maligne là hein, SALOPE !
-Piphftié ne meuf tuef paahf
-Hein quoi ?
J'entends mal, tu peux répéter
-Pfauuul
-Bon, on va commencer à jouer

Je lui mis un coup de latte dans laggle, elle tentait de crier, mais sans langue, ça marchait pas
Toujours à l'aide de mon scalpel, je lui coupai le bout des doigts, un par un, lui lacérai les genoux, les coudes, les épaules, les chevilles, les hanches, les poignets... Je lui ai même agrandi les lèvres, un peu comme le Joker dans The Dark Knight m'voyez

-Dis une phrase, et je te laisse partir (fake of course )
-Huuumpfhfh ??
-"Why so serious ? " ( )
-Ouaïe fo feriouuff...
-Nan, c'est nul, recommence
-Ouaïeuh fso ferioufsh...
-Sorry, you failed

Je décidai de l'achever, lui plantant le scalpel dans le crâne, désolé chérie, j'aime pas trop qu'on essaie de m'enculer, à plus forte raison quand cette une femme avec qui j'ai fait l'amour
Après avoir ramasser les armes du gardien, je reparti donc en direction du 6ème étage, bien décidé à m'occuper du docteur Philibide
Enfin, c'était pas pour tout de suite, à peine arrivé au 4ème étage, un groupe de 6 gardiens m'accosta :

-Marc, viens avec nous, c'est affreux, Allender traîne toujours dans les couloirs, et il a massacré Erika et Jean-Yves !!! On doit rester grouper, c'est les ordres !

Merde, la tuile, ils étaient 6, impossible de faire quelque chose...

-Vous permettez quand même que j'aille aux chiottes ?
-Bien sûr...
-Merci
-... on t'accompagne !

...

-Merci, mais ça va aller
-Les ordres sont les ordres Marc !
-Ouais t'as raison, imagines que ce malade me saute dessus dans les chiottes... (Dire que je parlais de moi... )
-Tu vois, aller, suis nous

Nous nous dirigeâmes donc vers les chiottes du 4ème étage, les couloirs n'en finissaient pas dans ce merdier

-Voilà, on t'attend devant, à tout de suite, magne toi !
-Je vais pas juste pissé, si tu vois c'que j'veux dire...
-T'es chiant... Ok, Christelle, Farid & Thierry vous continuez à patrouiller, Jean-Luc, François et moi, on attend Marc !

Voilà, tu vois quand tu veux...

-Non, on reste tous ensemble, c'est trop risqué !
-Christelle a raison !
-D'accord, bon Marc, on t'attend hein !
-Ok, merci le mecs

Putain, qu'ils sont collants
Je rentrai donc dans les chiottes du personnel du 4ème étage par la toute petite porte, je devais trouver un plan pour me débarrasser de ces sangsues !
La pièce était TOTALEMENT hermétique (ah ok les chiottes... ) assez grande pour de simples chiottes, ça devait faire facile 18m² (matheux spotted ), yavait une fenêtre, 5 pissotières, 3 portes qu'on pouvait fermé à clés, des chiottes pour handicapés ( ), des lavabos...
Des lavabos !
J'entrai dans une des "cabines de chiottes" ( ), pris la masse de papier toilette (en fait, j'ai carrément vidé le rouleau ) et ai bouché tous les lavabos de la pièce, ouvrant tous les robinets à fond, j'avais eu une supère idée.
Au bout de 20 minutes, l'eau m'arrivait à peu près aux épaules, mais moi, je l'avais déjà quitté depuis un moment, j'étais sur le rebord de la fenêtre du troisième étage à attendre

-Putain, il fout quoi Marc, ça fait déjà 40 minutes qu'il est entré là dedans...
-Ouais, il a peut-être eu un problème, je vais aller voir..
-Non, on y va tous ensemble !
-Bon, j'ouvre la porte, préparez vous, 1, 2....*BAM*

Le groupe de 6 autistes venaient de rentrer dans la salle inondée dont la porte se referma tout de suite (pas à clé hein, j'ai pas non plus des supers pouvoirs )

-Putain, c'est quoi ce merdier, on a de l'eau jusqu'aux épaules, rouvrez la porte !

Alors que Jean-Luc venait d'ouvrir la porte, j'ouvris la fenêtre, accroupi sur le rebord :

-Et 6 cochon grillay pour la table 69, 6 !

Aussitôt, j'enclenchais mon taser et le balançait dans la salle, devenue une piscine d'intérieur.
C'était magnifique, ça dura environ 30 secondes, les voir tous se tordre de douleur comme ça, on aurait dit des tecktogays épileptiques...
Une fois la salle entièrement vidée de son eau, je sautai à l'intérieur, ramassait deux matraques, je pouvais pas en trimbaler cinquante non plus, et les taser étaient hors d'usage (forcément) ...
Ca sentait le cochon grillay dans tout la pièce, je ne m'y attardai donc pas trop, filant vers le 6ème étage.

J'avais un majordome à sauver, et pas de temps à perdre !