Note de la fic : Non notée
Les_coleres_de_la_Terre
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 5 : La vision d'horreur
Publié le 19/08/2013 à 01:16:48 par Pseudo supprimé
4 juillet 2011, 8H25.
Elle agonisait devant mes yeux...je venais de trouver une solution, mais un nouvel obstacle s'opposait entre moi et l'accomplissement de cette solution : le doute.
Oui, parfaitement, le doute, le doute de faire une erreur, le doute de faire mal ce que je ne sais pas faire. Il me semblais que, comme j'avais moins de mal à respirer qu'elle, je pourrai lui...donner mon air. Non, je n'essayerais pas de me sacrifier ou faire quelque chose d'autre avec mes poumons de gore... Au fond de moi, je le sentais, je sentais que j'étais en train de tomber amoureux de cette fille, et je voulais en profiter, profiter de la moindre occasion pour l'embrasser... La sauver et...la charmer en même temps, voilà une formule qui me plaisait. Je lui pris donc la main, la regardant tendrement dans les yeux, de ce regard qu'elle aime tellement, je lâcha simplement :
« Moi : Résiste... »
Puis je rapprochais mes lèvres des siennes pour l'embrasser et par la même occasion lui donner le peu d'air respirable qui me restais. Elle avait sûrement compris ce que j'avais en tête, et elle était partagée entre le fait qu'elle puisse respirer à peu prés correctement, ou du moins, assez pour survivre, et par le fait qu'elle m'aimait et qu'elle m?embrassait actuellement.
Je me retirais, constatant qu'elle avais assez d'air pour tenir encore quelques minutes avant que ses forces ne la lâche, et je retirais la bloc de pierre qui bouchait l'entrée de notre refuge, je luis pris fermement la main, et nous nous élancions dans l'eau, poussés par les battements de nos jambes, jusqu'à attendre la surface et avoir rejoins la terre ferme. L'air pur, rien de mieux après avoir vécu ça...sauf que ce qui manquais justement, c'était bien l'air pur, celui que nous pouvions respirer était saturé de poussière, mais surtout, surtout, il faisait extrêmement sombre dans cette ville, aussi noire qu'une nuit sans lune, pourtant, je regardais mon portable qui indiquait que l'heure locale était 8H56...ce nuage avais complètement engloutis la ville, plus aucune lumière, les poteaux électrique avait étés arrachés par le vent dans des bruits atroces, mêlés à ceux des victimes maintenant transformés en vulgaires cadavres, certains écrasés par les pneu des voitures leur ayant roulé dessus. Mais maintenant, plus personne, le calme complet, plus rien, dans l'effroyable obscurité avec pour seul compagnie des immeubles éventrés et des vitrines brisées. Une seule lumière brillaient encore au loin...je m'approchais et constatais avec joie que c'était une lampe torche, je m'en emparais, l'arrachant des mains d'un défunt et continuais ma route en compagnie de Sandra, maintenant faiblement éclairée par cette source de lumière...espérons que ça tienne assez longtemps.
Voilà quelques minutes que nous marchions dans l'obscurité permanente, que nous entendons un bruit étrange, une sorte de borborygme typique de l'humain qui agonise.
Cela venait de derrière une poubelle éventrée. Je m'approchais prudemment de la source bruyante, espérant découvrir quelqu'un qui pourrait nous sauver...
--
Chapitre assez court, mais qui sert de transition.
Pas de chapitre jusqu'à dimanche prochain, j'aurais ni Paycay ni internet.
Elle agonisait devant mes yeux...je venais de trouver une solution, mais un nouvel obstacle s'opposait entre moi et l'accomplissement de cette solution : le doute.
Oui, parfaitement, le doute, le doute de faire une erreur, le doute de faire mal ce que je ne sais pas faire. Il me semblais que, comme j'avais moins de mal à respirer qu'elle, je pourrai lui...donner mon air. Non, je n'essayerais pas de me sacrifier ou faire quelque chose d'autre avec mes poumons de gore... Au fond de moi, je le sentais, je sentais que j'étais en train de tomber amoureux de cette fille, et je voulais en profiter, profiter de la moindre occasion pour l'embrasser... La sauver et...la charmer en même temps, voilà une formule qui me plaisait. Je lui pris donc la main, la regardant tendrement dans les yeux, de ce regard qu'elle aime tellement, je lâcha simplement :
« Moi : Résiste... »
Puis je rapprochais mes lèvres des siennes pour l'embrasser et par la même occasion lui donner le peu d'air respirable qui me restais. Elle avait sûrement compris ce que j'avais en tête, et elle était partagée entre le fait qu'elle puisse respirer à peu prés correctement, ou du moins, assez pour survivre, et par le fait qu'elle m'aimait et qu'elle m?embrassait actuellement.
Je me retirais, constatant qu'elle avais assez d'air pour tenir encore quelques minutes avant que ses forces ne la lâche, et je retirais la bloc de pierre qui bouchait l'entrée de notre refuge, je luis pris fermement la main, et nous nous élancions dans l'eau, poussés par les battements de nos jambes, jusqu'à attendre la surface et avoir rejoins la terre ferme. L'air pur, rien de mieux après avoir vécu ça...sauf que ce qui manquais justement, c'était bien l'air pur, celui que nous pouvions respirer était saturé de poussière, mais surtout, surtout, il faisait extrêmement sombre dans cette ville, aussi noire qu'une nuit sans lune, pourtant, je regardais mon portable qui indiquait que l'heure locale était 8H56...ce nuage avais complètement engloutis la ville, plus aucune lumière, les poteaux électrique avait étés arrachés par le vent dans des bruits atroces, mêlés à ceux des victimes maintenant transformés en vulgaires cadavres, certains écrasés par les pneu des voitures leur ayant roulé dessus. Mais maintenant, plus personne, le calme complet, plus rien, dans l'effroyable obscurité avec pour seul compagnie des immeubles éventrés et des vitrines brisées. Une seule lumière brillaient encore au loin...je m'approchais et constatais avec joie que c'était une lampe torche, je m'en emparais, l'arrachant des mains d'un défunt et continuais ma route en compagnie de Sandra, maintenant faiblement éclairée par cette source de lumière...espérons que ça tienne assez longtemps.
Voilà quelques minutes que nous marchions dans l'obscurité permanente, que nous entendons un bruit étrange, une sorte de borborygme typique de l'humain qui agonise.
Cela venait de derrière une poubelle éventrée. Je m'approchais prudemment de la source bruyante, espérant découvrir quelqu'un qui pourrait nous sauver...
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Chapitre assez court, mais qui sert de transition.
Pas de chapitre jusqu'à dimanche prochain, j'aurais ni Paycay ni internet.