Note de la fic : Non notée
Une_seule_vie,_des_choix_infinis...
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 3 : Les adieux bouleversants.
Publié le 19/08/2013 à 01:15:50 par Pseudo supprimé
J'ai trop honte pour me repointer à la boulangerie, en plus avec des pièces incrustées de vomi... Tant pis j'envoie un sms à ma mère...
"L'autre boulangerie est fermée aussi..."
...
"Put1 t tp nul... tu rentre et espère pas mangé !!"
Ok cette fois ça me saoule.
"Écoute vieille peau, si tu crois que c'est une mijaurée comme toi qui vas m'empêcher de manger tu te mets le doigt dans l’œil jusqu'au coude !"
...
"Ta valise est devant la maison adieu."
Wut ?! Elle a pas fait une seule faute d'orthographe, c'est sérieux cette fois.
Je rentre chez moi...
Comment elle peut me virer, pour une baguette en plus. Sérieusement elle a un grain, je vais rentrer et agir comme un homme, je vais lui péter la gueule, m'asseoir devant la télé et lui gueuler de m'apporter une bière et un sandwich non mais on la fait pas à moi !
[Passage de description pour faire plaisir à Gregor ]
Je tournais à l'intersection de la rue Pierre Bruglard et la rue Jacques Franchois, ma rue, j'avançais dans l'allée, de chaque côté on y avait planté des platanes il y a une trentaine d'années, à une époque surement moins compliquée que maintenant, ils avaient bien poussées depuis si bien qu'au printemps, ils cachaient le ciel qui aujourd'hui est gris,maussade, à l'image de mon humeur. Je marchais sur le trottoir, un espace gris me croise, il y a toute une famille dedans, ils ont l'air heureux, je me demande où peuvent-ils bien aller, surement pique-niquer, où faire une autre de ces activités que l'ont fait quand on a réussi à fondé une famille. Je continue ma route, j'arrive devant chez moi, un petit pavillon où logent les familles trop riches pour habiter dans un HLM mais néanmoins trop pauvres pour habiter dans une maison digne de ce nom, même pas un jardin derrière où on aurait pu y installer une piscine histoire de s'y détendre les longues et chaudes journées d'été, tiens, il se met à pleuvoir. J'espère que maman a rentrer le linge...
Comme indiqué la valise est posée devant la maison, je passe à coté en faisant mine de l'ignorer histoire qu'elle comprenne bien que mon statut d'homme est supérieur a son minable statut de valise. J'ouvre la porte avec force et m'élance.
La porte était fermée à clé, je m'éclate contre la porte en fait et je remarque que je laisse une trace sanglante dessus, je pisse le sang du nez, je toque, pas de réponse... Je regarde par terre pour voir si elle aurait pas acheter un paillasson pour y glisser la clé dessous, pas de paillasson mais un papier, qui avait du se détacher comme semble l'indiqué le bout de scotch accroché, il y a quelque chose d'écrit dessus.
"On est parti chez Mamie pendant 3 semaines, le pain était un prétexte pour qu'on puisse partir sans toi, j'ai pris les clés et fermé les volets pour que tu ne puisses pas rentrer, comme tu l'as compris tu as 18 ans et il est temps pour toi de dégager de chez moi, d'arrêter de polluer mon air de cette odeur de sperme séché qui recouvre ta chambre, nous sommes tous au courant, ton frère avait installé un câble qui partait de ton écran à la TV et on a vu tout ce que tu regardait, les mangas de petites filles violées, les sites zoophiles, ceux gores, et surtout, les musiques que tu télécharge ILLÉGALEMENT, tu me fais vomir.
Adieu."
Cette journée est décidément bizarre. J'aimerais pleurer mais je suis plutôt dégouté de ce coup de pute que m'a fait mon frère...
Bon ok vous le voyez pas mais je me roule par terre, je hurle, je me tape la terre contre le sol, je mange l'herbe du gazon, je crois même que j'ai lâché un petit congolais dans mon caleçon, en gros... Je pète un câble.
Après cette interlude de 2H, je me fais embarqué par la police après que les voisins l'ai appelée pour atteinte aux bonnes mœurs...
"L'autre boulangerie est fermée aussi..."
...
"Put1 t tp nul... tu rentre et espère pas mangé !!"
Ok cette fois ça me saoule.
"Écoute vieille peau, si tu crois que c'est une mijaurée comme toi qui vas m'empêcher de manger tu te mets le doigt dans l’œil jusqu'au coude !"
...
"Ta valise est devant la maison adieu."
Wut ?! Elle a pas fait une seule faute d'orthographe, c'est sérieux cette fois.
Je rentre chez moi...
Comment elle peut me virer, pour une baguette en plus. Sérieusement elle a un grain, je vais rentrer et agir comme un homme, je vais lui péter la gueule, m'asseoir devant la télé et lui gueuler de m'apporter une bière et un sandwich non mais on la fait pas à moi !
[Passage de description pour faire plaisir à Gregor ]
Je tournais à l'intersection de la rue Pierre Bruglard et la rue Jacques Franchois, ma rue, j'avançais dans l'allée, de chaque côté on y avait planté des platanes il y a une trentaine d'années, à une époque surement moins compliquée que maintenant, ils avaient bien poussées depuis si bien qu'au printemps, ils cachaient le ciel qui aujourd'hui est gris,maussade, à l'image de mon humeur. Je marchais sur le trottoir, un espace gris me croise, il y a toute une famille dedans, ils ont l'air heureux, je me demande où peuvent-ils bien aller, surement pique-niquer, où faire une autre de ces activités que l'ont fait quand on a réussi à fondé une famille. Je continue ma route, j'arrive devant chez moi, un petit pavillon où logent les familles trop riches pour habiter dans un HLM mais néanmoins trop pauvres pour habiter dans une maison digne de ce nom, même pas un jardin derrière où on aurait pu y installer une piscine histoire de s'y détendre les longues et chaudes journées d'été, tiens, il se met à pleuvoir. J'espère que maman a rentrer le linge...
Comme indiqué la valise est posée devant la maison, je passe à coté en faisant mine de l'ignorer histoire qu'elle comprenne bien que mon statut d'homme est supérieur a son minable statut de valise. J'ouvre la porte avec force et m'élance.
La porte était fermée à clé, je m'éclate contre la porte en fait et je remarque que je laisse une trace sanglante dessus, je pisse le sang du nez, je toque, pas de réponse... Je regarde par terre pour voir si elle aurait pas acheter un paillasson pour y glisser la clé dessous, pas de paillasson mais un papier, qui avait du se détacher comme semble l'indiqué le bout de scotch accroché, il y a quelque chose d'écrit dessus.
"On est parti chez Mamie pendant 3 semaines, le pain était un prétexte pour qu'on puisse partir sans toi, j'ai pris les clés et fermé les volets pour que tu ne puisses pas rentrer, comme tu l'as compris tu as 18 ans et il est temps pour toi de dégager de chez moi, d'arrêter de polluer mon air de cette odeur de sperme séché qui recouvre ta chambre, nous sommes tous au courant, ton frère avait installé un câble qui partait de ton écran à la TV et on a vu tout ce que tu regardait, les mangas de petites filles violées, les sites zoophiles, ceux gores, et surtout, les musiques que tu télécharge ILLÉGALEMENT, tu me fais vomir.
Adieu."
Cette journée est décidément bizarre. J'aimerais pleurer mais je suis plutôt dégouté de ce coup de pute que m'a fait mon frère...
Bon ok vous le voyez pas mais je me roule par terre, je hurle, je me tape la terre contre le sol, je mange l'herbe du gazon, je crois même que j'ai lâché un petit congolais dans mon caleçon, en gros... Je pète un câble.
Après cette interlude de 2H, je me fais embarqué par la police après que les voisins l'ai appelée pour atteinte aux bonnes mœurs...