Note de la fic : Non notée
Publié le 19/08/2013 à 01:15:43 par Pseudo supprimé
Au delà des vagues éternelles de l'océan s'étendait les terres d'Osea. La province était située au centre de l'empire Feodorien, elle était séparée en deux parties distinctes : la partie sud était un désert vaste, chaud et aride et la partie nord qui était une fôret luxuriante mais ô combien fragile. Au centre se tenait la capitale : Osrea. Une ville lumineuse dont des bâtiments issus du mélange des cultures s'étendaient à perte de vue; des aeronefs aux formes aussi loufoques les unes que les autres balayaient le ciel de la cité. Femmes, paysans, prêtres et marchants s'affairaient à leurs tâches, conscient du danger qui se formait dans le désert.
Certaines légendes anciennes parlent d'une force ténèbreuse qui surgit tout les milles ans et sèment la mort et la destructions. Ces textes antiques parlent d'abominations et de revenants, mais ils citent aussi un guerrier-magicien qui descendrair des cieux, plongeant dans les ténèbres de la défaite et de la destructions pour en faire surgir les lueurs de l'espoir et de la renaissance.
Et les ténèbres surgirent. Une immense armée nacquit des flammes de l'enfer et se mit en marche, piétinant toutes formes de vie et semant le chaos. Elles se rapprochèrent de la capitale, mirent en déroute l'armée osréene et corrompurent les survivants. Les créatures étaient aux portes de la ville, les prêtres priaient avec ferveur le retour du guerrier des légendes. Les abominations déferlèrent sur la ville. La partie sud du pays était perdue.
Le héros n'est jamais venu.
Note : écrit via portable, je m'excuse pour les diverses fautes.
Certaines légendes anciennes parlent d'une force ténèbreuse qui surgit tout les milles ans et sèment la mort et la destructions. Ces textes antiques parlent d'abominations et de revenants, mais ils citent aussi un guerrier-magicien qui descendrair des cieux, plongeant dans les ténèbres de la défaite et de la destructions pour en faire surgir les lueurs de l'espoir et de la renaissance.
Et les ténèbres surgirent. Une immense armée nacquit des flammes de l'enfer et se mit en marche, piétinant toutes formes de vie et semant le chaos. Elles se rapprochèrent de la capitale, mirent en déroute l'armée osréene et corrompurent les survivants. Les créatures étaient aux portes de la ville, les prêtres priaient avec ferveur le retour du guerrier des légendes. Les abominations déferlèrent sur la ville. La partie sud du pays était perdue.
Le héros n'est jamais venu.
Note : écrit via portable, je m'excuse pour les diverses fautes.