Note de la fic : Non notée
E.V.N.I_(etres_vivants_non-identifies)
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 10
Publié le 19/08/2013 à 01:14:18 par Pseudo supprimé
Nous étions dans la merde, c’est tout ce que je peux dire. Il est actuellement 22h59 soit 23h donc, dans une heure notre sort sera joué. La mort ou la vie. La chose qui me « rassurait » c’est qu’apparemment l’homme ne voulait pas nous tuer. Mais si ces documents sont si importants, alors il n’hésitera pas à nous tuer. Jusqu’ou cet assassin serait prêt à aller ? Je devais réfléchir très vite pour savoir que faire. Si nous ne ramenons pas les documents, il nous pourchassera c’est sûr. Si nous lui ramenons, il nous tuera avec c’est sûr. Je ne mourrais pas sans me battre. Jamais je ne lui donnerait ces documents, ce n’était même plus une question de survie, cet enfoiré joue avec nous depuis le début, je ne veux pas qu’il ait la satisfaction d’avoir ces foutus documents dans ces mains ! Non, je ne mourrais pas. Pas encore.
-On fait quoi putain ! dit Thibault, complètement affolé.
-On lui ramène, c’est tout. Dit Aitor
-Non dis-je
-Quoi non ?
-Je ne suis donnerais jamais ces documents.
J’étais déterminé, malgré la peur qui se lisait en moi comme dans un livre.
-Mais on va mourir, t’es fou, j’veux pas mourir moi.
-Cet assassin sanguinaire nous tuera quoi qu’il arrive, cet enfoiré s’amuse avec nous, c’est pas question de le laisser faire. Vous préférez mourir en vous battant ou mourir comme des lâches avec une promesse qu’on aura pas tenu en plus.
Un silence s’imposa, il réfléchissait, j’espérait qu’il tomberait d’accord avec moi. Je sentais une drôle de sensation en moi, un mélange d’excitation, de peur, d’angoisse.
Ils me regardèrent puis hochèrent la tête doucement. J’étais content, d’avoir réussi à les « amadouer » même Louis, qui déconne toujours tout sur tout était d’accord avec moi.
Chris dit :
-On fait quoi là ?
Bonne question, la meilleur solution serait de ne pas rester dans nos tentes, il fallait se barrer vers la ville, qui est à 5 minutes à pieds d’ici. Mais une idée fleurit en moi, une idée qui nous passerait un peu pour des cons, mais qui nous aiderait à nous défendre.
-Je vais chercher mes guns.
-Ah oui c’est vrai, putain j’y avais pas pensé, dit Aitor, mais t’as assez de guns ?
-Sig Sauer X-Five, Jericho et MP5, on en aura pas assez, merde.
-C’est toujours mieux que rien.
-On y va tous ? Mais on fous quoi des document ?
-J’y vais seul avec Aitor et vous gardez les documents.
-
Ils n’ont rien dit. J’étais plus rassuré avec Aitor plutôt qu’avec les autres car il était plus mature et savait me rassuré quand il le fallait.
Nous sortions de la tente, non pas sans vigilance, et nous nous dirigions vers ma maison. Nous entrâmes à l’intérieur. Je montais à l’étage, les planches des escaliers grinçaient à chaque pas. Arrivé en haut, je sortis les guns de mon tiroir et une voix se fit entendre.
-Mauvais choix très mauvais choix, très mauvais choix.
Je lâchais un gros « merde » et le cherchais du regard. Il était à l’entrebâillement de la porte et me regardant en souriant.
-ENFOIRE !
Il sortit un flingue, de sa poche et le pointa sur moi. Que pouvais-je faire, que pouvions-nous faire…
Je regardais Aitor et l’arme en même temps. Aitor compris.
Une idée simple.
-Aurevoir enfoiré, dis-je.
Sans attendre Aitor et moi pétons la vitre. De ma fenêtre et nous sautions, du premier étage.
-On fait quoi putain ! dit Thibault, complètement affolé.
-On lui ramène, c’est tout. Dit Aitor
-Non dis-je
-Quoi non ?
-Je ne suis donnerais jamais ces documents.
J’étais déterminé, malgré la peur qui se lisait en moi comme dans un livre.
-Mais on va mourir, t’es fou, j’veux pas mourir moi.
-Cet assassin sanguinaire nous tuera quoi qu’il arrive, cet enfoiré s’amuse avec nous, c’est pas question de le laisser faire. Vous préférez mourir en vous battant ou mourir comme des lâches avec une promesse qu’on aura pas tenu en plus.
Un silence s’imposa, il réfléchissait, j’espérait qu’il tomberait d’accord avec moi. Je sentais une drôle de sensation en moi, un mélange d’excitation, de peur, d’angoisse.
Ils me regardèrent puis hochèrent la tête doucement. J’étais content, d’avoir réussi à les « amadouer » même Louis, qui déconne toujours tout sur tout était d’accord avec moi.
Chris dit :
-On fait quoi là ?
Bonne question, la meilleur solution serait de ne pas rester dans nos tentes, il fallait se barrer vers la ville, qui est à 5 minutes à pieds d’ici. Mais une idée fleurit en moi, une idée qui nous passerait un peu pour des cons, mais qui nous aiderait à nous défendre.
-Je vais chercher mes guns.
-Ah oui c’est vrai, putain j’y avais pas pensé, dit Aitor, mais t’as assez de guns ?
-Sig Sauer X-Five, Jericho et MP5, on en aura pas assez, merde.
-C’est toujours mieux que rien.
-On y va tous ? Mais on fous quoi des document ?
-J’y vais seul avec Aitor et vous gardez les documents.
-
Ils n’ont rien dit. J’étais plus rassuré avec Aitor plutôt qu’avec les autres car il était plus mature et savait me rassuré quand il le fallait.
Nous sortions de la tente, non pas sans vigilance, et nous nous dirigions vers ma maison. Nous entrâmes à l’intérieur. Je montais à l’étage, les planches des escaliers grinçaient à chaque pas. Arrivé en haut, je sortis les guns de mon tiroir et une voix se fit entendre.
-Mauvais choix très mauvais choix, très mauvais choix.
Je lâchais un gros « merde » et le cherchais du regard. Il était à l’entrebâillement de la porte et me regardant en souriant.
-ENFOIRE !
Il sortit un flingue, de sa poche et le pointa sur moi. Que pouvais-je faire, que pouvions-nous faire…
Je regardais Aitor et l’arme en même temps. Aitor compris.
Une idée simple.
-Aurevoir enfoiré, dis-je.
Sans attendre Aitor et moi pétons la vitre. De ma fenêtre et nous sautions, du premier étage.