Note de la fic : Non notée
La_course_a_la_mort.
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 3 : Une perche tendue par la vie.
Publié le 19/08/2013 à 01:14:12 par Pseudo supprimé
- "Les voilà! Ouvrez !"
Le bruit des deux gigantesques portes métalliques était aussi strident qu'un coup de griffes aiguisées sur un tableau scolaire.
- "Mais... j'en crois pas mes yeux..."
Gary répétait qu'il n'en croyait pas ses yeux, pourtant cela était bien réel. Les portes du bus s'ouvrirent et trois hommes armés entrèrent dans le bus.
- "Ouvrez la grille, nous nous occupons du reste madame."
- "Bien, je vais directement dans la salle de contrôle."
- "D'accord madame."
Alors que l'un des trois gardes ouvrait la grille, un autre tenait en joue les quinze condamnés. Il leur fit signe d'approcher alors qu'un des trois tenait la porte du bus.
- "Allez, avancez!"
C'est un à un que les prisonniers avançaient vers l'air libre. Celui-ci était malheureusement de courte durée.
- "Entrez... Entrez."
Tous les condamnés s'exécutaient sans broncher. C'est vrai que si ils osaient faire un pas de travers, une balle bien appliquée risquait de leur éclater le crâne à tout moment.
Le complexe était simplement énorme. Recouvrant une parcelle forestière gargantuesque. Un épais brouillard venait troubler la vue des prisonniers qui étaient tous emmenés dans une salle, des explications allaient leur être données.
Tous assis sur de simples chaises en bois, certains étaient en transpiration d'autres ne laissaient transparaître aucune émotion.
Une télé s'alluma et la dame du bus s'adressa aux prisonniers.
- "Alors, comme je vous l'ai dit dans le car vous allez ici vous livrer à une course qui ira surement pour la plupart d'entre vous jusqu'à la mort. Cette course, n'est pas comme vous l'entendez, j'appelle cela course car c'est au premier qui trouvera, qui aura une grosse avance pour remporter sa liberté. Voici les règles qui sont, selon moi, très simples.
Premièrement sachez que vous serez lâchés dans une forêt, vous serez seuls pour commencer. A présent regardez bien les gens autour de vous... Allez-y regardez les. Oui, voilà regardez les personnes qui seront bientôt vos pires ennemis. Effectivement, vous allez devoir trouver ce qui s'avérera être votre "Saint Graal". Mais ce ne sera pas tout. Si vous parvenez a trouver ce qu'il vous sera demandé de trouver, vous devrez être le seul survivant de tout le groupe. Vous allez, bien évidemment devoir exterminer les autres personnes qui seront à la recherche de la même chose que vous. En résumé : Un but commun, et une envie partagée, mais un seul sera capable de survivre. Pour finir, une zone sera délimitée, au moment ou je terminerais ma phrase, vous allez être endormis, si en vous réveillant la ou vous êtes, vous tentez de vous échapper, au bout de 5 secondes ou de 50 mètres d'éloignement votre tête éclatera dans un très lourd fracas. Enfin, vous devriez être fiers, et heureux d'avoir une nouvelle chance de vie. Bonne chance."
Certains prisonniers restaient stoïques, ils devaient se dire que la vie leurs tendait une nouvelle perche et ils essayeraient de la saisir a pleine main. D'autres, comme Gary n'étaient pas confiants du tout et étaient limites en pleures. Gary frappait contre une vitre blindée et teinturée en signe de désespoir. Un autre prisonnier plutôt maigrelet le rejoignit et lui prit l'épaule en signe de réconfort lui murmurant ces quelques mots :
- "Bonne chance, l'ami."
Gary répondit immédiatement.
- "Comment peut-on parler de chance dans ce truc totalement inhum..."
Un gaz incolore et inodore se dégageait a présent dans la pièce, les prisonniers étaient dans une sorte de semi-présence, certains tombaient au sol d'autres tentaient de se tenir a leurs chaises. Ensuite, plus rien.
- "Nous pouvons passer à la phase 2 a présent madame?"
- "Oui Carl... Oui allez-y."
Le bruit des deux gigantesques portes métalliques était aussi strident qu'un coup de griffes aiguisées sur un tableau scolaire.
- "Mais... j'en crois pas mes yeux..."
Gary répétait qu'il n'en croyait pas ses yeux, pourtant cela était bien réel. Les portes du bus s'ouvrirent et trois hommes armés entrèrent dans le bus.
- "Ouvrez la grille, nous nous occupons du reste madame."
- "Bien, je vais directement dans la salle de contrôle."
- "D'accord madame."
Alors que l'un des trois gardes ouvrait la grille, un autre tenait en joue les quinze condamnés. Il leur fit signe d'approcher alors qu'un des trois tenait la porte du bus.
- "Allez, avancez!"
C'est un à un que les prisonniers avançaient vers l'air libre. Celui-ci était malheureusement de courte durée.
- "Entrez... Entrez."
Tous les condamnés s'exécutaient sans broncher. C'est vrai que si ils osaient faire un pas de travers, une balle bien appliquée risquait de leur éclater le crâne à tout moment.
Le complexe était simplement énorme. Recouvrant une parcelle forestière gargantuesque. Un épais brouillard venait troubler la vue des prisonniers qui étaient tous emmenés dans une salle, des explications allaient leur être données.
Tous assis sur de simples chaises en bois, certains étaient en transpiration d'autres ne laissaient transparaître aucune émotion.
Une télé s'alluma et la dame du bus s'adressa aux prisonniers.
- "Alors, comme je vous l'ai dit dans le car vous allez ici vous livrer à une course qui ira surement pour la plupart d'entre vous jusqu'à la mort. Cette course, n'est pas comme vous l'entendez, j'appelle cela course car c'est au premier qui trouvera, qui aura une grosse avance pour remporter sa liberté. Voici les règles qui sont, selon moi, très simples.
Premièrement sachez que vous serez lâchés dans une forêt, vous serez seuls pour commencer. A présent regardez bien les gens autour de vous... Allez-y regardez les. Oui, voilà regardez les personnes qui seront bientôt vos pires ennemis. Effectivement, vous allez devoir trouver ce qui s'avérera être votre "Saint Graal". Mais ce ne sera pas tout. Si vous parvenez a trouver ce qu'il vous sera demandé de trouver, vous devrez être le seul survivant de tout le groupe. Vous allez, bien évidemment devoir exterminer les autres personnes qui seront à la recherche de la même chose que vous. En résumé : Un but commun, et une envie partagée, mais un seul sera capable de survivre. Pour finir, une zone sera délimitée, au moment ou je terminerais ma phrase, vous allez être endormis, si en vous réveillant la ou vous êtes, vous tentez de vous échapper, au bout de 5 secondes ou de 50 mètres d'éloignement votre tête éclatera dans un très lourd fracas. Enfin, vous devriez être fiers, et heureux d'avoir une nouvelle chance de vie. Bonne chance."
Certains prisonniers restaient stoïques, ils devaient se dire que la vie leurs tendait une nouvelle perche et ils essayeraient de la saisir a pleine main. D'autres, comme Gary n'étaient pas confiants du tout et étaient limites en pleures. Gary frappait contre une vitre blindée et teinturée en signe de désespoir. Un autre prisonnier plutôt maigrelet le rejoignit et lui prit l'épaule en signe de réconfort lui murmurant ces quelques mots :
- "Bonne chance, l'ami."
Gary répondit immédiatement.
- "Comment peut-on parler de chance dans ce truc totalement inhum..."
Un gaz incolore et inodore se dégageait a présent dans la pièce, les prisonniers étaient dans une sorte de semi-présence, certains tombaient au sol d'autres tentaient de se tenir a leurs chaises. Ensuite, plus rien.
- "Nous pouvons passer à la phase 2 a présent madame?"
- "Oui Carl... Oui allez-y."