Note de la fic : Non notée
OMG_J__ai_tue_ma_grand-mere_!!!
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 55 : Stade 2
Publié le 19/08/2013 à 01:12:24 par Pseudo supprimé
OMG J'ai tué ma grand-mère !!!
Chapitre LIV)
Kovalsky retroussa ses manches, on venait de lui filer un couteau, il avait un sourire de psychopathe aux lèvres, le genre de sourire qui quand vous l'voyez vous fais perdre toute confiance en vous et tout espoir de vous en sortir.
-On va commencer, t'inquiètes pas, ça va pas faire trop mal au début...
-Humpf...
Kovalsky ouvrait lentement le bras droit de Xavier, faisant couler son sang sur le sol. La plaie était pas très profonde, et ça avait l'air supportable, déjà plus que pour moi...
-Ca va, ça fait pas trop mal hein ? Aller, on continue.
Il se retourna vers le charriot, saisit le petit chalumeau, et fis chauffer la lame du couteau à blanc, lui transperçant la main avec comme si c'était du beurre.
Sans temporiser, il se retourna et saisi une batte de baseball avec laquelle il frappa assez violemment le genou gauche de Xavier, lui broyant la rotule.
-Aaaaaaah !!!
-Ca commence à faire mal hein ? Tu es arrivé au Stade 2...
Putain, mais qu'est ce que c'est que ce psychopathe ? Faut être complètement taré pour faire ce genre de trucs, torturer les gens avant de les tuer, c'est juste... Bon ok, pour l'avoir déjà fait, je reconnais que c'est quand même amusant, mais ça dépend pour qui, m'voyez...
C'est quand même chaud de se dire qu'on va bientôt mourir, la douleur dans ma jambe droite était vraiment la plus horrible que j'avais jamais ressentie... Quant à la trahison d'Edouard, je crois que c'est également le pire sentiment que j'ai éprouvé depuis la mort de ma mère (oui...). Mixez les deux, et vous comprendrez à quel point j'étais mal en ce moment...
-Bon, amenez le défibrillateur, on perd pas de temps...
-
-Freddy à toi de jouer.
Il était 1H du matin, l'évasion allait commencé, je savais pas trop comment ça allait se passer, tout ce que je savais, c'est que j'avais juste à suivre Klavdia et faire ce qu'elle me disait.
-UUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUHHHHH J'AI MAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAL, AU SECOOOOOOOOOOOOUUUUUUUUURRRRRRR, A L'AAAAAAIIIIIIIDEUH (...vache, lait de vache )
-Freddy...
-POURQUOI KLAVDIA, POURQUOI ME FAIS TU TOUJOURS CA !!!!!
-Voilà, c'est ça, continue ! ria Nes.
-Oh, c'est pas bientôt fini votre bordel là ?!
-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHH
-Putain !!
Un gardien venait de hurler et se rapprocha de la cellule, commençant à dire à Freddy de fermer sa gueule par la petite fente, mais celui ci continua de plus belle
-AAAAAAAAAAAAAAAHHHHHH MON DIEUR SIX JEUNES M'ABUSENT, AIDEZ MOI, JE VAIS MOURURE !!!
-Mais c'est pas possible, tu vas la fermer ??? (">
Le gardien, excédé, ouvrit la porte de la cellule, armé d'une matraque et d'un 9mm.
-Bon alors le vieux, on rigole moins là hein ?
-Et toi alors ?
*PAF*
En une fraction de seconde, Nes, les Arabes, les Gitans et le reste des Latinos s'étaient tous mis à frapper le gardien, le mettant au sol, jusqu'à le calmer définitivement, il était mort...
-Bon, on va pouvoir continuer, suivez moi.
Nes avait ramassé le 9mm, les clés et avait confié la matraque à Johan, le chef des gitans, celui qui ne m'avait pas salué lors de mon arrivé ici, plus tôt dans la journée.
Nous sortîmes tous de la cellule, d'après Nes, il n'y avait que 3 gardiens qui surveillaient ce couloir, c'était notre chance. Nous continuâmes donc à avancer discrètement dans les couloirs, prêt à nous battre à n'importe quel moment, examinant les environs, cherchant signe d'autres gardiens. Rien, les autres devaient être ailleurs. Enfin, on allait pas s'en plaindre...
Nes ouvrît donc les 2 autres cellule, abritant chacune... une seule personne...
On nous avait entassé à 15 dans une cellule alors que deux types avaient une cellule pour eux tous seuls... Nes se rapprocha avec nos deux nouveaux compagnons, il y avait un chinois et une sorte de grand noir de 2mètres.
-Les gars, voici Aymeric et Booba
Je vous épargnerai de vous présenter chacun puisqu'on a pas trop le temps, Aymeric, tu iras avec Nikolaï et Klavdia & Freddy (le vieux). Quant à toi Booba avec les we... les arabes
-D'accord, de bais avec les polak. (ria Aymeric)
-Dakow patwon. (la précision sur la personne qui a dit ça est inutile je crois)
-Bien, on va se séparer en plusieurs groupes comme convenu, on va pouvoir passer au stade 2 de l'opération. Les Gitans, vous êtes le groupe 1. Les Arabes, le groupe 2. Klavdia & ton équipe, le groupe 3. Quant à Filipe, Beatriz, Fernando et moi, on sera le groupe 4.
-Ok
-Wèshoké
-D'accord
-Bon aller, on perd pas de temps, on avance, direction le bureau des gardiens.
Nous continuâmes notre folle course à travers les sous-sols, nous rendant au bureau des gardiens, j'avais Aymeric à côté de moi, pendant que Klavdia frappait Freddy. Il était assez grand, un bon mètre 80, assez barraqué, une tête un peu niaise, c'était un chinois en même temps, des bras et des jambes musclées, quelques cicatrices étaient visibles sur ses avant bras ou ses joues, ainsi que sur son crâne, là où ses cheveux (assez courts) ne poussaient plus. Nous arrivâmes donc au bureau des gardiens, où, sans réfléchir, Booba enfonça la porte d'un violent chassé, la faisant voler en éclats.
-Euh... tu sais, j'avais les clés mec...
-Ow pawdon patwon.
-Pas g... Si en fait !
Les 2 autres gardiens dormaient dans le bureau, et le bordel fait par Booba en cassant la porte les avait réveillé. Avant qu'ils aient le temps de faire quoi que ce soit, Nes les avait abattu au pistolet, tu parles d'un tireur
Il entra dans la pièce, et fouilla, il y avait quelques armes dans les placards. Au total, en comptant celles des gardiens morts, il cumula cinq matraques, 5 bombes lacrymogènes, trois 9mm et un fusil à pompe. Ca me rappelait beaucoup la fuite de Ste Marie Mamelon-Crépu, mes amis que j'avais abandonné pour une salope à cause de laquelle je me retrouve en ce moment dans cette galère, à tuer encore plus de personnes... Pourquoi est ce que je l'avais suivi, pourquoi ?
Qui savait où les autres pouvaient se trouver en ce moment. Tout ce que je pouvais leur souhaiter, c'était de ne pas s'être fait choper par la police...
-Nikolaï, tiens.
Nes distribuai les armes, il avait filé à Klavdia une matraque, une bombe lacrymogène, et un 9mm. Freddy avait eu la bombe et Klavdia gardait le 9mm. Quant à moi, j'héritai de la matraque. Je regardai Aymeric, qui n'avait aucune arme, ça faisait un peu de peine, mais bon...
-Tinkièteuh pa, dé pas bedoin d'arme pour me défendre
-D'accord...
Aymeric parlait d'une manière assez rythmé, avec son accent, on aurait dit qu'il chantait, il s'exprimait comme un chinois quoi...
-Maintenant que la distribution d'arme est faite, on continue à monter. On va se séparer alors suivez bien votre groupe, d'accord ? On passe au Stade 3.
Chapitre LIV)
Kovalsky retroussa ses manches, on venait de lui filer un couteau, il avait un sourire de psychopathe aux lèvres, le genre de sourire qui quand vous l'voyez vous fais perdre toute confiance en vous et tout espoir de vous en sortir.
-On va commencer, t'inquiètes pas, ça va pas faire trop mal au début...
-Humpf...
Kovalsky ouvrait lentement le bras droit de Xavier, faisant couler son sang sur le sol. La plaie était pas très profonde, et ça avait l'air supportable, déjà plus que pour moi...
-Ca va, ça fait pas trop mal hein ? Aller, on continue.
Il se retourna vers le charriot, saisit le petit chalumeau, et fis chauffer la lame du couteau à blanc, lui transperçant la main avec comme si c'était du beurre.
Sans temporiser, il se retourna et saisi une batte de baseball avec laquelle il frappa assez violemment le genou gauche de Xavier, lui broyant la rotule.
-Aaaaaaah !!!
-Ca commence à faire mal hein ? Tu es arrivé au Stade 2...
Putain, mais qu'est ce que c'est que ce psychopathe ? Faut être complètement taré pour faire ce genre de trucs, torturer les gens avant de les tuer, c'est juste... Bon ok, pour l'avoir déjà fait, je reconnais que c'est quand même amusant, mais ça dépend pour qui, m'voyez...
C'est quand même chaud de se dire qu'on va bientôt mourir, la douleur dans ma jambe droite était vraiment la plus horrible que j'avais jamais ressentie... Quant à la trahison d'Edouard, je crois que c'est également le pire sentiment que j'ai éprouvé depuis la mort de ma mère (oui...). Mixez les deux, et vous comprendrez à quel point j'étais mal en ce moment...
-Bon, amenez le défibrillateur, on perd pas de temps...
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-Freddy à toi de jouer.
Il était 1H du matin, l'évasion allait commencé, je savais pas trop comment ça allait se passer, tout ce que je savais, c'est que j'avais juste à suivre Klavdia et faire ce qu'elle me disait.
-UUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUHHHHH J'AI MAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAL, AU SECOOOOOOOOOOOOUUUUUUUUURRRRRRR, A L'AAAAAAIIIIIIIDEUH (...vache, lait de vache )
-Freddy...
-POURQUOI KLAVDIA, POURQUOI ME FAIS TU TOUJOURS CA !!!!!
-Voilà, c'est ça, continue ! ria Nes.
-Oh, c'est pas bientôt fini votre bordel là ?!
-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHH
-Putain !!
Un gardien venait de hurler et se rapprocha de la cellule, commençant à dire à Freddy de fermer sa gueule par la petite fente, mais celui ci continua de plus belle
-AAAAAAAAAAAAAAAHHHHHH MON DIEUR SIX JEUNES M'ABUSENT, AIDEZ MOI, JE VAIS MOURURE !!!
-Mais c'est pas possible, tu vas la fermer ??? (">
Le gardien, excédé, ouvrit la porte de la cellule, armé d'une matraque et d'un 9mm.
-Bon alors le vieux, on rigole moins là hein ?
-Et toi alors ?
*PAF*
En une fraction de seconde, Nes, les Arabes, les Gitans et le reste des Latinos s'étaient tous mis à frapper le gardien, le mettant au sol, jusqu'à le calmer définitivement, il était mort...
-Bon, on va pouvoir continuer, suivez moi.
Nes avait ramassé le 9mm, les clés et avait confié la matraque à Johan, le chef des gitans, celui qui ne m'avait pas salué lors de mon arrivé ici, plus tôt dans la journée.
Nous sortîmes tous de la cellule, d'après Nes, il n'y avait que 3 gardiens qui surveillaient ce couloir, c'était notre chance. Nous continuâmes donc à avancer discrètement dans les couloirs, prêt à nous battre à n'importe quel moment, examinant les environs, cherchant signe d'autres gardiens. Rien, les autres devaient être ailleurs. Enfin, on allait pas s'en plaindre...
Nes ouvrît donc les 2 autres cellule, abritant chacune... une seule personne...
On nous avait entassé à 15 dans une cellule alors que deux types avaient une cellule pour eux tous seuls... Nes se rapprocha avec nos deux nouveaux compagnons, il y avait un chinois et une sorte de grand noir de 2mètres.
-Les gars, voici Aymeric et Booba
Je vous épargnerai de vous présenter chacun puisqu'on a pas trop le temps, Aymeric, tu iras avec Nikolaï et Klavdia & Freddy (le vieux). Quant à toi Booba avec les we... les arabes
-D'accord, de bais avec les polak. (ria Aymeric)
-Dakow patwon. (la précision sur la personne qui a dit ça est inutile je crois)
-Bien, on va se séparer en plusieurs groupes comme convenu, on va pouvoir passer au stade 2 de l'opération. Les Gitans, vous êtes le groupe 1. Les Arabes, le groupe 2. Klavdia & ton équipe, le groupe 3. Quant à Filipe, Beatriz, Fernando et moi, on sera le groupe 4.
-Ok
-Wèshoké
-D'accord
-Bon aller, on perd pas de temps, on avance, direction le bureau des gardiens.
Nous continuâmes notre folle course à travers les sous-sols, nous rendant au bureau des gardiens, j'avais Aymeric à côté de moi, pendant que Klavdia frappait Freddy. Il était assez grand, un bon mètre 80, assez barraqué, une tête un peu niaise, c'était un chinois en même temps, des bras et des jambes musclées, quelques cicatrices étaient visibles sur ses avant bras ou ses joues, ainsi que sur son crâne, là où ses cheveux (assez courts) ne poussaient plus. Nous arrivâmes donc au bureau des gardiens, où, sans réfléchir, Booba enfonça la porte d'un violent chassé, la faisant voler en éclats.
-Euh... tu sais, j'avais les clés mec...
-Ow pawdon patwon.
-Pas g... Si en fait !
Les 2 autres gardiens dormaient dans le bureau, et le bordel fait par Booba en cassant la porte les avait réveillé. Avant qu'ils aient le temps de faire quoi que ce soit, Nes les avait abattu au pistolet, tu parles d'un tireur
Il entra dans la pièce, et fouilla, il y avait quelques armes dans les placards. Au total, en comptant celles des gardiens morts, il cumula cinq matraques, 5 bombes lacrymogènes, trois 9mm et un fusil à pompe. Ca me rappelait beaucoup la fuite de Ste Marie Mamelon-Crépu, mes amis que j'avais abandonné pour une salope à cause de laquelle je me retrouve en ce moment dans cette galère, à tuer encore plus de personnes... Pourquoi est ce que je l'avais suivi, pourquoi ?
Qui savait où les autres pouvaient se trouver en ce moment. Tout ce que je pouvais leur souhaiter, c'était de ne pas s'être fait choper par la police...
-Nikolaï, tiens.
Nes distribuai les armes, il avait filé à Klavdia une matraque, une bombe lacrymogène, et un 9mm. Freddy avait eu la bombe et Klavdia gardait le 9mm. Quant à moi, j'héritai de la matraque. Je regardai Aymeric, qui n'avait aucune arme, ça faisait un peu de peine, mais bon...
-Tinkièteuh pa, dé pas bedoin d'arme pour me défendre
-D'accord...
Aymeric parlait d'une manière assez rythmé, avec son accent, on aurait dit qu'il chantait, il s'exprimait comme un chinois quoi...
-Maintenant que la distribution d'arme est faite, on continue à monter. On va se séparer alors suivez bien votre groupe, d'accord ? On passe au Stade 3.