Note de la fic : Non notée
OMG_J__ai_tue_ma_grand-mere_!!!
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 53 : Cavale chez Kovalsky
Publié le 19/08/2013 à 01:12:24 par Pseudo supprimé
OMG J'ai tué ma grand-mère !!!
Chapitre LII)
Chaud, à peine 2 minutes après l'explosion de la bagnole, des dizaines de types armés étaient sortis devant la maison. Evidemment, on s'était pas attardé là m'voyez, on avait fait le tour de la maison, et pété une vitre par laquelle on était montés, pénétrant dans la maison de Kovalsky, par le premier étage. Comme je l'avais dit, la maison était quand même assez immense, on était juste 4, blessés pour certains, armés en mode clochard, fasse a des dizaines de tueurs expérimentés... BORDEL QU'EST CE QU'ON FOUTAIT LA ?????!!!!
'Fin bon, il était trop tard pour faire marche arrière, alors autant ne pas trainer. La maison de Kovalsky s'élevait sur 4 étage (ah w'okay) et probablement des caves immenses, mais bon on pouvait pas en être sûrs... Apparemment, les chambres se trouvaient au 4ème étage (bin voyons, comme si c'était pas assez chiant comme ça ), il allait donc falloir monter les escaliers. Par chance, la fenêtre donnait justement pas trop loin des escaliers, donc ça allait... Nous commençâmes à monter, arrivant sans problème jusqu'au 3 étage quand...
-Les gars, restez en haut, faut assurer la sécurité du boss, on reste à 10 au dernier étage, descendez à 5.
-D'accord !
Un groupe de 5 gardiens se dirigeait vers nous, mais bon, c'était pas un soucis
Xavier passa devant, sorti un déodorant et un briquet et alluma les éclaireurs ( ) qui se mirent à hurler...
J'arrivai en renfort pour terminer le travail plus vite, mais c'était déjà trop tard, 10 types avaient déboulés du second étage et commençaient à monter les marches. Je sorti une bouteille d'huile/alcool de mon sac, en reversant le contenu dans les escaliers, et grattant une allumette. Un immense mur de flammes s'éleva, les quelques uns qui s'étaient essayé à monter les marches pleines d'huile devait sûrement le regretter m'voyez.
On avait donc un répit fallait en profiter. Avant de monter vers le 3ème, les 10 types du haut arrivèrent et commencèrent à nous flinguer
Pas moyen de descendre ou de monter, je sorti mon "fusil ki krash du fe" pour les cramer. Avant que je sorte un briquet, *PAN*, l'un d'entre eux avaient tiré en plein dedans, le faisant littéralement exploser, me cramant l'épaule, le torse et le visage....
Je tombai par terre comme une merde, Xavier et Edouard me tiraient à bout de bras, me trainant en sol. Une petite cavale dans les couloirs allait commencer. Je me relevai tant bien que mal, j'avais vraiment super mal, j'étais brûlé au moins au second degrés, je vous assure que c'était pas l'une des meilleures sensations de ma vie, au contraire. Nous courions dans un couloir, Edouard et Xavier me tenant chacun une épaule, voyant 3 mecs débouler, nous nous réfugiâmes dans la première pièce sur la droite ; une cuisine. La pièce était vraiment grande, ça ressemblait à des cuisines de restaurant, le type avait vraiment de la thune à jeter...
Nous nous mîmes par terre, marchant à 4 pattes pour ne pas se faire repérer, les autres gars étaient eux aussi rentrés dans la pièce.
-Bordel de merde, ça va mec ?
-..Bof...pas trop non... M'enfin..
-T'as été sévèrement touché là, je vais porter ton sac.
-PAS TOUCHE, j'le garde.
-Comme tu veux, je te prends juste une bouteille de vodka et un briquet.
Xavier avança un peu, trouvant un rouleau de sopalin, ouvrit la bouteille de vodka, en bu une gorgée (ah ok ) rentrant deux feuilles de sopalin dedans, les alluma, se leva et balança la bouteille sur les 3 gars, qui flambèrent instantanément. Owned by cocktail molotov
Même s'il les avait tué, s'était pas une super idée, la porte était maintenant hors d'accès, et pas trop envie d'jouer à l'apprenti pompier m'voyez. Nos sortîmes donc... par la fenêtre, grimpant vers le 4ème étage, Xavier arriva le premier, péta une fenêtre et rentrai dans la pièce. Je passai en second, et j'avais quelques difficultés avec mon plâtre, mais j'arrivai à me hisser jusqu'à la fenêtre. Cécile n'eût pas de problèmes non plus, mais c'est cet autiste d'Edouard, incapable d'escalader comme il nous l'avait prouver en tombant du poteau électrique hier matin, se cassa la gueule, se rattrapant in extremis à un rebord du 1er étage.
Il n'essaya même pas d'escalader, et rentra directement par la fenêtre, WTF ? Il voulait sûrement prendre les escaliers, mais quel idiot...
Je sortis donc mon talkie, essayant de le joindre.
*-Edouard ?
-Oui Dieu ?
-Qu'est ce que tu fous, remonte par les fenêtres !
-Impossible, je vais monter par les escaliers >
-Putain, ne désobéis pas à ton Dieu, tu te rends pas compte qu'on est chez un dangereux mafieux, Kovalsky c'est pas un rigolo, on s'est embarqués dans un truc qui nous dépasse totalement, faut au moins rester groupés !
-Onche désolé Dieu, mais ça va pas être possible...
-Ed..*
... (">
-Merde, on fait quoi Paul ?
-Rien à foutre, qu'il se fasse buter ce con, il m'a trop fait chier, j'en peux plus, cette fois, j'irai pas le sauver cette fois. On avance, tant pis.
-... Ok
On avait atterris dans une pièce bizarre, une sorte de remise, avec des étagères, pleins de bouquins, et évidemment, la porte était fermée à clé...
-Putain de MERDE !
-Pas grave mec, on va faire comme pour chez toi
Nous fîmes donc fondre le verrou de la même façon que nous étions entrés chez moi, cette technique fonctionnait plutôt bien, je la recommande à tous les cambrioleurs en herbe
Défonçant la porte d'un chassé, et foutant le feu aux étagères, nous sortîmes de la pièce, atterrissant dans les couloirs du 4ème étage.
Il y avait pièces, 3 de chaque côtés, l'une d'elles était probablement la chambre de Kovalsky, mais laquelle... ?
J'enfonçai donc la première chambre, vide... Ca ressemblait vraiment à un décor de cartes postales, des photos chalets et des montagnes enneigés tapissaient les murs de la chambre, peintes de teintes blanches comme neige. Nous ressortîmes donc de la chambre, enfonçant celle d'en face. C'était manifestement une chambre d'adolescente, le lit était défait et vide.
-C'est sûrement la chambre d'Olga... Mais qu'est ce qu'on est cons, avec ce boucan Kovalsky avait pas du rester dans sa chambre, rien qu'à voir le bordel que t'as foutu avec la voiture et les incendies qu'on fout un peu partout...
-Il a pas tort
-Et tu fais quoi des gardes qui parlaient de protéger Kovalsky au 4ème ?
-C'est vrai que maintenant que t'en parle, c'est assez vide...
-Merde, faut pas rester là !
Alors que je me dirigeai vers la porte, elle s'ouvrit en plein dans ma gueule, une vingtaine de gardes avaient pénétré dans la pièce, nous braquant avec 6 ou 7 flingues chacun. Moi j'étais par terre, donc ils m'ont écrasé la tête contre le sol, désarmé, menotté aux chevilles et aux poignets, même bâillonné me trainant au sol par les pieds. Un d'entre eux jeta violemment Cécile à terre, la désarmant également. Xavier dans un excès de folie héroïque voulu la défendre, mais ramassa juste une balle de 9mm dans le bras gauche. Il hurla, la douleur était intense. Il s'effondra à genoux, et subit le même traitement que moi.
On nous traina par terre, dans les escaliers, nos crânes se cognaient contre chaque marches. Courage, il n'y avait jamais que 4 étages avec des marches en marbre...
On nous amena dans une grande salle du rez de chaussé, déjà occupées par une trentaine d'homme, en plus de la vingtaine qui venait d'arriver avec nous, nous balançant par terre au pied d'Aleksandr Kovalsky, l'incarnation du diable (ouuuh ça fait peur dis comme ça ).
J'ouvrai mon oeil encore valide, ce gars là était grand, large, blond, et portait une grande paire de lunettes, ses verres en ressemblaient presque à des panneaux solaires, m'voyez...
Il s'approcha de Xavier, et lui foutu un énorme coup de pied dans le bide.
-Comme on s'retrouve...L'homme, enfin, le merdeux, qui m'a déshonoré.
-J'ai...rien....déshonoré...je suis juste sorti avec... votre..fille.
-Ah ouais ? Je crois que t'es pas vraiment en position de négocier.
Il sortit son fameux Desert Eagle, et lui enfonça dans la bouche. Wow, ça chauffait grave, on s'était vraiment mis dans une merde noire...
-Comme je te l'ai dit, il y a 8 mois, je pourrais te buter maintenant, et il se passerait rien, ta vie elle tient encore qu'à un fil mon bonhomme, et il est encore plus fragile que la dernière fois...
-...
Mais avant ça, vous voulez sûrement savoir ce qui est arrivé à votre "ami Edouard".. Et bien, le voilà, l'homme qui a causé votre perte, mon petit-fils, Nikoela Kovalsky Merilahti !
-Onche onche
Chapitre LII)
Chaud, à peine 2 minutes après l'explosion de la bagnole, des dizaines de types armés étaient sortis devant la maison. Evidemment, on s'était pas attardé là m'voyez, on avait fait le tour de la maison, et pété une vitre par laquelle on était montés, pénétrant dans la maison de Kovalsky, par le premier étage. Comme je l'avais dit, la maison était quand même assez immense, on était juste 4, blessés pour certains, armés en mode clochard, fasse a des dizaines de tueurs expérimentés... BORDEL QU'EST CE QU'ON FOUTAIT LA ?????!!!!
'Fin bon, il était trop tard pour faire marche arrière, alors autant ne pas trainer. La maison de Kovalsky s'élevait sur 4 étage (ah w'okay) et probablement des caves immenses, mais bon on pouvait pas en être sûrs... Apparemment, les chambres se trouvaient au 4ème étage (bin voyons, comme si c'était pas assez chiant comme ça ), il allait donc falloir monter les escaliers. Par chance, la fenêtre donnait justement pas trop loin des escaliers, donc ça allait... Nous commençâmes à monter, arrivant sans problème jusqu'au 3 étage quand...
-Les gars, restez en haut, faut assurer la sécurité du boss, on reste à 10 au dernier étage, descendez à 5.
-D'accord !
Un groupe de 5 gardiens se dirigeait vers nous, mais bon, c'était pas un soucis
Xavier passa devant, sorti un déodorant et un briquet et alluma les éclaireurs ( ) qui se mirent à hurler...
J'arrivai en renfort pour terminer le travail plus vite, mais c'était déjà trop tard, 10 types avaient déboulés du second étage et commençaient à monter les marches. Je sorti une bouteille d'huile/alcool de mon sac, en reversant le contenu dans les escaliers, et grattant une allumette. Un immense mur de flammes s'éleva, les quelques uns qui s'étaient essayé à monter les marches pleines d'huile devait sûrement le regretter m'voyez.
On avait donc un répit fallait en profiter. Avant de monter vers le 3ème, les 10 types du haut arrivèrent et commencèrent à nous flinguer
Pas moyen de descendre ou de monter, je sorti mon "fusil ki krash du fe" pour les cramer. Avant que je sorte un briquet, *PAN*, l'un d'entre eux avaient tiré en plein dedans, le faisant littéralement exploser, me cramant l'épaule, le torse et le visage....
Je tombai par terre comme une merde, Xavier et Edouard me tiraient à bout de bras, me trainant en sol. Une petite cavale dans les couloirs allait commencer. Je me relevai tant bien que mal, j'avais vraiment super mal, j'étais brûlé au moins au second degrés, je vous assure que c'était pas l'une des meilleures sensations de ma vie, au contraire. Nous courions dans un couloir, Edouard et Xavier me tenant chacun une épaule, voyant 3 mecs débouler, nous nous réfugiâmes dans la première pièce sur la droite ; une cuisine. La pièce était vraiment grande, ça ressemblait à des cuisines de restaurant, le type avait vraiment de la thune à jeter...
Nous nous mîmes par terre, marchant à 4 pattes pour ne pas se faire repérer, les autres gars étaient eux aussi rentrés dans la pièce.
-Bordel de merde, ça va mec ?
-..Bof...pas trop non... M'enfin..
-T'as été sévèrement touché là, je vais porter ton sac.
-PAS TOUCHE, j'le garde.
-Comme tu veux, je te prends juste une bouteille de vodka et un briquet.
Xavier avança un peu, trouvant un rouleau de sopalin, ouvrit la bouteille de vodka, en bu une gorgée (ah ok ) rentrant deux feuilles de sopalin dedans, les alluma, se leva et balança la bouteille sur les 3 gars, qui flambèrent instantanément. Owned by cocktail molotov
Même s'il les avait tué, s'était pas une super idée, la porte était maintenant hors d'accès, et pas trop envie d'jouer à l'apprenti pompier m'voyez. Nos sortîmes donc... par la fenêtre, grimpant vers le 4ème étage, Xavier arriva le premier, péta une fenêtre et rentrai dans la pièce. Je passai en second, et j'avais quelques difficultés avec mon plâtre, mais j'arrivai à me hisser jusqu'à la fenêtre. Cécile n'eût pas de problèmes non plus, mais c'est cet autiste d'Edouard, incapable d'escalader comme il nous l'avait prouver en tombant du poteau électrique hier matin, se cassa la gueule, se rattrapant in extremis à un rebord du 1er étage.
Il n'essaya même pas d'escalader, et rentra directement par la fenêtre, WTF ? Il voulait sûrement prendre les escaliers, mais quel idiot...
Je sortis donc mon talkie, essayant de le joindre.
*-Edouard ?
-Oui Dieu ?
-Qu'est ce que tu fous, remonte par les fenêtres !
-Impossible, je vais monter par les escaliers >
-Putain, ne désobéis pas à ton Dieu, tu te rends pas compte qu'on est chez un dangereux mafieux, Kovalsky c'est pas un rigolo, on s'est embarqués dans un truc qui nous dépasse totalement, faut au moins rester groupés !
-Onche désolé Dieu, mais ça va pas être possible...
-Ed..*
... (">
-Merde, on fait quoi Paul ?
-Rien à foutre, qu'il se fasse buter ce con, il m'a trop fait chier, j'en peux plus, cette fois, j'irai pas le sauver cette fois. On avance, tant pis.
-... Ok
On avait atterris dans une pièce bizarre, une sorte de remise, avec des étagères, pleins de bouquins, et évidemment, la porte était fermée à clé...
-Putain de MERDE !
-Pas grave mec, on va faire comme pour chez toi
Nous fîmes donc fondre le verrou de la même façon que nous étions entrés chez moi, cette technique fonctionnait plutôt bien, je la recommande à tous les cambrioleurs en herbe
Défonçant la porte d'un chassé, et foutant le feu aux étagères, nous sortîmes de la pièce, atterrissant dans les couloirs du 4ème étage.
Il y avait pièces, 3 de chaque côtés, l'une d'elles était probablement la chambre de Kovalsky, mais laquelle... ?
J'enfonçai donc la première chambre, vide... Ca ressemblait vraiment à un décor de cartes postales, des photos chalets et des montagnes enneigés tapissaient les murs de la chambre, peintes de teintes blanches comme neige. Nous ressortîmes donc de la chambre, enfonçant celle d'en face. C'était manifestement une chambre d'adolescente, le lit était défait et vide.
-C'est sûrement la chambre d'Olga... Mais qu'est ce qu'on est cons, avec ce boucan Kovalsky avait pas du rester dans sa chambre, rien qu'à voir le bordel que t'as foutu avec la voiture et les incendies qu'on fout un peu partout...
-Il a pas tort
-Et tu fais quoi des gardes qui parlaient de protéger Kovalsky au 4ème ?
-C'est vrai que maintenant que t'en parle, c'est assez vide...
-Merde, faut pas rester là !
Alors que je me dirigeai vers la porte, elle s'ouvrit en plein dans ma gueule, une vingtaine de gardes avaient pénétré dans la pièce, nous braquant avec 6 ou 7 flingues chacun. Moi j'étais par terre, donc ils m'ont écrasé la tête contre le sol, désarmé, menotté aux chevilles et aux poignets, même bâillonné me trainant au sol par les pieds. Un d'entre eux jeta violemment Cécile à terre, la désarmant également. Xavier dans un excès de folie héroïque voulu la défendre, mais ramassa juste une balle de 9mm dans le bras gauche. Il hurla, la douleur était intense. Il s'effondra à genoux, et subit le même traitement que moi.
On nous traina par terre, dans les escaliers, nos crânes se cognaient contre chaque marches. Courage, il n'y avait jamais que 4 étages avec des marches en marbre...
On nous amena dans une grande salle du rez de chaussé, déjà occupées par une trentaine d'homme, en plus de la vingtaine qui venait d'arriver avec nous, nous balançant par terre au pied d'Aleksandr Kovalsky, l'incarnation du diable (ouuuh ça fait peur dis comme ça ).
J'ouvrai mon oeil encore valide, ce gars là était grand, large, blond, et portait une grande paire de lunettes, ses verres en ressemblaient presque à des panneaux solaires, m'voyez...
Il s'approcha de Xavier, et lui foutu un énorme coup de pied dans le bide.
-Comme on s'retrouve...L'homme, enfin, le merdeux, qui m'a déshonoré.
-J'ai...rien....déshonoré...je suis juste sorti avec... votre..fille.
-Ah ouais ? Je crois que t'es pas vraiment en position de négocier.
Il sortit son fameux Desert Eagle, et lui enfonça dans la bouche. Wow, ça chauffait grave, on s'était vraiment mis dans une merde noire...
-Comme je te l'ai dit, il y a 8 mois, je pourrais te buter maintenant, et il se passerait rien, ta vie elle tient encore qu'à un fil mon bonhomme, et il est encore plus fragile que la dernière fois...
-...
Mais avant ça, vous voulez sûrement savoir ce qui est arrivé à votre "ami Edouard".. Et bien, le voilà, l'homme qui a causé votre perte, mon petit-fils, Nikoela Kovalsky Merilahti !
-Onche onche