Note de la fic : Non notée

OMG_J__ai_tue_ma_grand-mere_!!!


Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué



Chapitre 31 : Numéro 2


Publié le 19/08/2013 à 01:12:24 par Pseudo supprimé

OMG J'ai tué ma grand-mère !!!

Chapitre XXX)


Le souffle de l'explosion nous projeta au sol, malgré la distance que nous avions mis entre l'hôpital et nous.

-Pfiou, v'là déjà une bonne chose de faite :( :noel:

L'hôpital psychiatrique Ste Marie Mamelon-Crépu venait d'exploser, et était en proie au flamme, les centaines de personnes présentes à l'intérieur allaient périr dans d'atroces souffrances, dévorées par les flammes de la vengeance ; une vendetta flamboyante :cool: :noel:

-OUAAAAAAAAAAAAAAAAAH PUTAAAAAAIN C'EST GENIAAAAAAL, T'ES TROP FOOOORT DIEEEEEUUUUU :bave: !!!!!! :coeur:
-Olalah, on va avoir des problèmes... :-(
-... Ah ouais, quand même.... :ouch:
-Inutile de me remercier ou d'applaudir, & je ne fais pas de dédi dans ma CDV :cool: :noel:
-Et maintenant, on fait quoi ?
-On passe à l'étape numéro 2 ! :noel:

"Numéro 2, numéro 2, numéro 2...."

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-Xavier, file moi le beurre s'teuplait.
-Tiens.
-Merci !
- :)

J'étais à table, avec mon frère et mes parents, on prenait le p'tit dèj, à une semaine de la rentrée, comme toute bonne famille normale... enfin je crois :( :rire:
J'avais 14 ans, j'habitais en banlieue parisienne, et je vivais ici, avec mon grand-frère et mes parents.
Mon père, âgé de 42 ans, était très grand, une petite calvitie sur le haut du crâne, des lunettes, les cheveux bruns, les yeux verts, il bossait dans un hôpital à Paris, avec mon oncle. Papa était neurochirurgien et tonton expert en psychiatrie, ça leur rapportait pas mal, donc on vivait bien, et j'avais pas à me plaindre :)
Ma mère quant à elle, bossait chez EADS, comme secrétaire. Elle était pas très grand, blonde aux yeux verts elle aussi. Elle était super belle, avait 42 ans (comme papa), et en paraissait 10 de moins :)
Ah, j'oubliai de préciser que mes parents étaient divorcés, et nous habitions chez ma mère, mais mon père s'entendait toujours bien avec elle et passait nous voir de temps en temps le Week End. Aucun des deux ne c'était remariés en 5 ans.


-Alors fiston, pressé de reprendre l'école, tu vas cartonner !
- :rire: J'espère.

Encore pareil... :hum:
Mon frère avait 19 ans, il rentrait en prépa à Louis le Grand, la meilleure fac de Paris, c'était la fierté de la famille... Etienne par ci, Etienne par la, Etienne ceci, Etienne cela...
Pas que je sois jaloux, mais à la fin, ça devenait agaçant...

-Et toi Xavier, décidé à bosser ?
-Je bosse déjà beaucoup, et tu le sais.
-Oui, mais c'est pas assez, si tu veux réussir, il faut bosser plus, regarde ton frère....

*PAM*

C'en était trop, je tapai du poing sur la table.

-C'est bon, j'en ai marre, tu comprends, MARRE, c'est toujours la même rengaine. Pourquoi est ce que je devrais être exactement comme Etienne ? Je bosse déjà autant que je peux, mais j'y peux rien si j'ai pas des 20 partout en maths & en sciences, j'y peux rien si je suis pas aussi doué que lui, j'y peux rien si je ne suis que le numéro 2 !
Aller, j'me barre.

Je couru dans le couloir prenant mes chaussures et ma veste, sortant tout aussi vite en claquant la porte.
Toujours pareil celui la, il changera jamais...
J'avais toujours été très matinal, j'étais déjà habillé et dehors, il était 9H. J'avais rendez vous avec une fille au parc vers 11H, puis avec des potes à 12H30 j'avais l'temps... Je décidai donc d'aller glander sur les bords de la Seine, à me rouler un p'tit joint, en me posant sur un toit...
J'escaladai la même baraque abandonné que d'habitude, me posant sur le toit, fumant mo spliff et regardant la Seine...

-Alalah, des fois j'me dis qu'un jour j'me jetterai d'dans et que j'irai rejoindre les je n'sais combien d'millier d'cadavres qui traînent dedans ! :rire:

Je me jetai en arrière, m'allongeant, tirant une grosse latte sur mon oinj, le seule moment où j'étais tranquille... :content:
Je m'endormis une fois mon joint terminé, les rayons du soleil me caressant chaudement la peau.
Je me réveillai, 11H15, j'avais rendez vous au parc, à 5 minutes d'ici : timing parfait :sournois:
Règle N°1, ne jamais arrivé à l'heure à un rencard :ok:
Je me dirigeai donc vers le parc, où je trouvai mon rencard, assis sur le banc convenue. Une jolie ukrainienne de 14 (bientôt 15) ans, Olga Kovalsky. Elle était blonde, aux yeux bleus, un corps parfait, un bon 95C et un cul à en faire pâlir de jalousie Megan Fox :bave:
Je m'approchai, m'assis à côté d'elle, elle sourit, j'approchai mon visage du sien, et commençai à l'embrasser fougueusement. Ma langue se glissa entre ses lèvres, nous nous roulâmes de grosses pelles pendant au moins 15 minutes, quand elle commença à m'enlever ma ceinture... :(

-Viens....

Elle m'attira vers un petit bosquet du parc (vraiment immense sois dit en passant), où elle se mit en sous vêtement et s'allongea sur l'herbe.
Sans me faire prier, j'enlevai mon t-shirt, baissait mon froc, et m'allongeai sur elle, lui touchant les seins, enlevant son soutif, redescendant jusqu'à sa culotte, que je lui baissai doucement.
Je baissai également mon caleçon, enfilant une capote que j'avais sorti de mon portefeuille (:ok: ) sur ma queue, et commençai à la pénétrer.
Elle gémissait doucement, me plantant ses ongles dans le dos, signifiant qu'elle n'était pas entrain de simuler :ok:
Ca dure environ 20 minutes, quand je lâchai la purée me relevant, jetant la capote dans un buisson. Puis nous nous rhabillâmes, continuions à nous embrasser, je lui touchais les seins quand son téléphone sonna.

-Allo papa ?
-Oui, t'es où là ?
-Je suis au parc, pourquoi ?
-Tu fais quoi au parc ?
-Je... me promène, j'ai pas l'droit ?
-Attends j'arrive tu vas voir, t'es où ?
-Sur le troisième banc à l'entrée nord du parc.
-T'es toute seule ?
-Oui.
-Sur le banc rouge, assise à côté d'un mec qui te tripote les seins ?
-.... :mort:
-Tu caches bien ton jeu p'tite trainée, attendez que j'vous chope toi et ton copain, j'arr...

Olga avait raccroché, je compris que j'avais pas d'autre choix que courir, je voyais son père arriver, à une vingtaine de mètre. Je l'embrassai tendrement une dernière fois, histoire de narguer son père, à qui je fis un signe de la main, avant de détaler à toutes jambes, me rendant à l'endroit où je devais retrouver mes potes.


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Je courrais depuis je ne sais combien d'heure. C'était comme ça tous les matins, avec Vladimir, mon jumeau, on courrait pendant toute la matinée, puis on faisait des sports de combat, des maths et de l'économie l'après-midi, pour devenir des hommes d'après mon père. Je m'appelle Nikolaï, j'ai 6 ans, j'habite à Kiev, avec mon père et mon frère et ma soeur dans une immense maison.
Papa avait 53 ans, était très riche, et travaillait beaucoup, très grand, blond aux yeux bleus (comme nous), les cheveux super courts.
Maman était morte en accouchant, elle n'avais pas réussit à accoucher de deux enfants en même temps. Papa ne nous l'avait jamais pardonné, disant qu'on avait tué Maman, et qu'il n'avait jamais voulu qu'un seul fils.
Comme tous les jours, il portait un super costume noir à rayures dorées, comme nos cheveux.
J'arrivai enfin, exténué, jusqu'à mon père, qui avait déjà trouvé le vainqueur...

-Vladimir, mon fils, tu as encore battu ton frère à la course, tu es vraiment le meilleur dans tous les domaines. Voilà un bonbon pour toi. :)
-Merci Papa :)
-De rien fils.

.... :hum:
Encore pareil, papa qui complimentait Vlad et ne m'adressait même pas la parole, comme si je n'existais pas... :honte: :-(
On pourrait pas croire comme ça, mais cette rivalité entre jumeaux me bouffait ma vie. Je passais ma vie à essayer d'être meilleur que mon frère, c'était comme ça depuis qu'on était tous petits, on allait même pas à l'école comme les autres enfants, on restait à la maison, à se battre et à travailler.
Moi j'aurais voulu aller à l'école, avoir des copains, être quelqu'un de normal.
Même si j'avais tout ce que je voulais à la maison, quand on a pas de copains pour jouer avec soi, ça sert à rien...
Aujourd'hui était un jour très important, j'avais un affrontement avec Vladimir, pour voir qui était le meilleur de nous deux, pour savoir celui qui irait à l'école comme tous chaque année... C'était au milieu de septembre, car tous les ans, les deux premières semaines de septembre, Papa partait à Ikaalinen en Finlande, pour son travail.
J'aimais pas ça, mais j'allais devoir me préparer à la compétition annuelle avec Vlad, j'allais encore me faire humilier, et Papa allait encore féliciter Vlad, faisant comme si je n'existais pas, l'envoyant à l'école en me faisant passer pour un malade mental, m'enfermant à la maison...
Je n'étais pas malade du tout, j'allais très bien, juste qu'il fallait bien une excuse à Papa pour n'envoyer qu'un seul enfant à l'école, en France.
Ma vie se résumait sans cesse à être le numéro 2, quoique je fasse.

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