Note de la fic : Non notée
Publié le 19/08/2013 à 01:12:15 par Pseudo supprimé
" - Oh oui, Gérard, je vais jouir, continue !
- C'est ça, je continue ! Plus haut, plus vite, plus loin ! "
Gérard effectuait les va-et-vient à une vitesse inouïe. La jeune femme semblait prête à hurler sa ferveur à pleins poumons à tout moment. Et le hasard ferait que notre ami recracherait sa semence fertile à ce moment précis, dans la synchronisation la plus parfaite. Gérard attendait ce moment depuis le début, ça y'est, c'était la St. Valentin et il était passé à l'acte, et avec Maud en plus, que c'était bon.
Et tout à coup Kévin surgit devant Gérard et Maud et déclara : " Eh, mais tu branles quoi là ? "
Gérard se réveilla brusquement et se frotta les yeux. Lorsqu'il comprit qu'il s'était endormi sur le siège des toilettes le Z à l'air et qu'il était au beau milieu d'un rêve pornographique, il fixa son ami balayeur avec cette tête-ci :
Après avoir repris ses esprits, il rangea la bête et sortit brusquement de la cabine, sans adresser un mot à Kévin qui haussa les épaules avant de retourner balayer. Gérard sortit des toilettes et constata que tout le monde était dehors : ce devait être la pause de midi. Mais en marchant, il s'aperçut que tout le monde le pointait du doigt en rigolant
Ces rires silencieux s'intensifièrent. Tout le monde le regardait, certains lui envoyaient des : " Alors, c'était bon ? ". De plus en plus gêné, Gérard se pressa vers le réfectoire. Arrivé devant celui-ci, il heurta, comble de malchance, Karim le wesh de plein fouet !
Alors que Gérard s'attendait à se faire tabasser en public, Karim le dévisagea et éclata d'un rire gras :
" - Wallah c'est mon pote le blanc qui jouit dans les chiottes
- Mais... laissez-moi tranquille répliqua Gérard avec une répartie digne des plus grands acteurs de théâtre.
- Comment tu criais comme un mouton sisi, mate ça le blanc "
Karim lui montra l'écran de son Nokia à clapet, et Gérard y découvrit avec horreur une vidéo le mettant en scène en train de crier comme un porcelet voué à l'abattage dans la cabine des toilettes. Il maudit intérieurement la lucarne donnant sur la cabine en question (">
Gérard était dorénavant la risée du collège pour ses ébats masculins, et en plus il ne lui restait qu'une demi-journée pour Z+V !
Pourtant, en entrant dans le réfectoire sous les rires de Karim et ses acolytes, il se dit : " Ce rêve était bien agréable quand même "
- C'est ça, je continue ! Plus haut, plus vite, plus loin ! "
Gérard effectuait les va-et-vient à une vitesse inouïe. La jeune femme semblait prête à hurler sa ferveur à pleins poumons à tout moment. Et le hasard ferait que notre ami recracherait sa semence fertile à ce moment précis, dans la synchronisation la plus parfaite. Gérard attendait ce moment depuis le début, ça y'est, c'était la St. Valentin et il était passé à l'acte, et avec Maud en plus, que c'était bon.
Et tout à coup Kévin surgit devant Gérard et Maud et déclara : " Eh, mais tu branles quoi là ? "
Gérard se réveilla brusquement et se frotta les yeux. Lorsqu'il comprit qu'il s'était endormi sur le siège des toilettes le Z à l'air et qu'il était au beau milieu d'un rêve pornographique, il fixa son ami balayeur avec cette tête-ci :
Après avoir repris ses esprits, il rangea la bête et sortit brusquement de la cabine, sans adresser un mot à Kévin qui haussa les épaules avant de retourner balayer. Gérard sortit des toilettes et constata que tout le monde était dehors : ce devait être la pause de midi. Mais en marchant, il s'aperçut que tout le monde le pointait du doigt en rigolant
Ces rires silencieux s'intensifièrent. Tout le monde le regardait, certains lui envoyaient des : " Alors, c'était bon ? ". De plus en plus gêné, Gérard se pressa vers le réfectoire. Arrivé devant celui-ci, il heurta, comble de malchance, Karim le wesh de plein fouet !
Alors que Gérard s'attendait à se faire tabasser en public, Karim le dévisagea et éclata d'un rire gras :
" - Wallah c'est mon pote le blanc qui jouit dans les chiottes
- Mais... laissez-moi tranquille répliqua Gérard avec une répartie digne des plus grands acteurs de théâtre.
- Comment tu criais comme un mouton sisi, mate ça le blanc "
Karim lui montra l'écran de son Nokia à clapet, et Gérard y découvrit avec horreur une vidéo le mettant en scène en train de crier comme un porcelet voué à l'abattage dans la cabine des toilettes. Il maudit intérieurement la lucarne donnant sur la cabine en question (">
Gérard était dorénavant la risée du collège pour ses ébats masculins, et en plus il ne lui restait qu'une demi-journée pour Z+V !
Pourtant, en entrant dans le réfectoire sous les rires de Karim et ses acolytes, il se dit : " Ce rêve était bien agréable quand même "