Note de la fic : Non notée
Droles_de_Flics
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 3 : Une affaire de merde
Publié le 19/08/2013 à 01:12:01 par Pseudo supprimé
La jeune fille se tenait debout, du caca étalé partout sur son visage et ses mains 
Elle regarda les policier en souriant. Elle avait tentée de faire avaler ses excréments à sa professeur, qui avait quand même réussie à se débattre.
« Vous êtes en état d'arrestation.
-Pour une simple histoire de merde, ajouta Éric en rigolant
-J'ai rien fais c'est elle qui a essayé de me faire manger son caca ! Cria t-elle pour se défendre»
Ils passèrent les menottes à la jeune fille et elle monta à l'arrière de la voiture. Grégoire prit le volant pour épargner la vie de quelques piétons, en effet Éric avait l'habitude d'en écraser pour rigoler un peu
Ils l’emmenèrent ensuite en salle d'interrogatoire, c'est Éric qui allait s'en charger.
« Alors comment tu t-appelle ?
-Je m'appelle Line.
-Alors ma jolie tu veut faire manger ta merde
-Pas du tout.
-Quoi ?! Tu dis que ma mère est une pute ?! Je vais te défoncer
(">
-Mais j'ai... »
Elle n'eut pas le temps de dire un mot, le policier en furie se jeta sur elle tel un lion. Grégoire arriva à temps pour l'arrêta.
« Éric on laisse l'affaire à l'autre groupe.
-Putain une personne de moins à tabasser. Mais j'en ai pas finit avec toi ma petite ! »
Ils retournèrent dans la salle principale du commissariat, leur supérieur avait besoin de leur parler. C'était madame Deschamps leur supérieure, et Éric n'avait jamais compris pourquoi c'était une femme
Il se demandait surtout quel était l'imbécile qui avait laissé les femmes avoir des postes aussi élevés, cuisinière ou femme de ménage aurait été plus convenable 
« Il semblerait qu'un nouveau groupe de criminels sévit au nord de la ville.
-Encore un tas de racailles qu'on va aller mater au fusil à pompes !
-Non Éric, ceux là sont fourbes et dangereux.
-Moins que mon fusil !
-Pour vous dire, les gens les surnomment les prêtres
, déclara t-elle »
L'homme s'avança vers le grand siège noir qui était derrière le bureau. Il allait enfin rencontrer son chef, celui qui commanditait toutes les ventes. Le siège se retourna, et le visage du grand chef se dévoila aux yeux de Père Henri. C'était lui le grand chef, celui que tout le monde appelait Père Mathieu...
Elle regarda les policier en souriant. Elle avait tentée de faire avaler ses excréments à sa professeur, qui avait quand même réussie à se débattre.« Vous êtes en état d'arrestation.
-Pour une simple histoire de merde, ajouta Éric en rigolant
-J'ai rien fais c'est elle qui a essayé de me faire manger son caca ! Cria t-elle pour se défendre»
Ils passèrent les menottes à la jeune fille et elle monta à l'arrière de la voiture. Grégoire prit le volant pour épargner la vie de quelques piétons, en effet Éric avait l'habitude d'en écraser pour rigoler un peu
Ils l’emmenèrent ensuite en salle d'interrogatoire, c'est Éric qui allait s'en charger.« Alors comment tu t-appelle ?
-Je m'appelle Line.
-Alors ma jolie tu veut faire manger ta merde
-Pas du tout.
-Quoi ?! Tu dis que ma mère est une pute ?! Je vais te défoncer
(">-Mais j'ai... »
Elle n'eut pas le temps de dire un mot, le policier en furie se jeta sur elle tel un lion. Grégoire arriva à temps pour l'arrêta.
« Éric on laisse l'affaire à l'autre groupe.
-Putain une personne de moins à tabasser. Mais j'en ai pas finit avec toi ma petite ! »
Ils retournèrent dans la salle principale du commissariat, leur supérieur avait besoin de leur parler. C'était madame Deschamps leur supérieure, et Éric n'avait jamais compris pourquoi c'était une femme
Il se demandait surtout quel était l'imbécile qui avait laissé les femmes avoir des postes aussi élevés, cuisinière ou femme de ménage aurait été plus convenable « Il semblerait qu'un nouveau groupe de criminels sévit au nord de la ville.
-Encore un tas de racailles qu'on va aller mater au fusil à pompes !
-Non Éric, ceux là sont fourbes et dangereux.
-Moins que mon fusil !
-Pour vous dire, les gens les surnomment les prêtres
, déclara t-elle »L'homme s'avança vers le grand siège noir qui était derrière le bureau. Il allait enfin rencontrer son chef, celui qui commanditait toutes les ventes. Le siège se retourna, et le visage du grand chef se dévoila aux yeux de Père Henri. C'était lui le grand chef, celui que tout le monde appelait Père Mathieu...