Le commissariat de la ville se portait plutôt biens. De bon et gentils policiers y travaillaient. L'un d'entre eux s'appelait Éric. Il n'avait pas beaucoup d'argent pour sa famille à cause des quantités énormes d'alcool qu'il achetait, mais il pensait : « L'alcool, les putes et l'alcool » En effet il ne pensait pas à sa famille Ses collègues lui reprochait d'avoir des réactions violentes, mais il ne voyait pas ce qu'il y avait de violents à accrocher des gens à l'arrière du camion et à les faire traîner sur le parking de la caserne

Son coéquipier s'appelait Grégoire. Il avait décidé d'entrer dans la police pour faire régner la justice dans le monde, mais il n'avait pas encore su la faire régner au sein même du commissariat. Il connaissait le code civil par cœur Il aimait beaucoup son collègue Éric qui fournissait un travail irréprochable bien que ses méthodes soient un peu étranges.

Le dernier de cette joyeuse bande s'appelait François. Il s'occupait de tout ce qui était lié à l'informatique et l’électronique au sein de la police Il aimait beaucoup l'informatique et les études, et était très fort dans beaucoup de domaines sauf le français. Beaucoup de ses collègues lui reprochait de zozoter

Tout se passait bien dans le commissariat, Éric s'amusait à mettre des fusils à pompes dans l'anus d'un de ses collègues pendant que Grégoire buvait un café à l'entrée.
« Les gars on a une alerte au lycée ! s'exclama François.
-On y va, c'est notre devoir de rétablir la justice !
-Je suis partant pour dégommer du mioche, cria Éric en retirant le fusil de l'orifice anal »

Ils prirent leur véhicule de service et se rendirent jusqu'à l'établissement ou une jeune fille venait de semer la terreur dans sa classe Ils entrèrent dans le bâtiment, le principal et les élèves qui ne se trouvaient pas dans la classe concernée étaient tous dans la grande salle. Le principal vint vers les policiers.
« Vous allez devoir vous équiper, ce n'est pas joli joli.
-C'est notre travail monsieur, répliqua Grégoire. »

Ils prirent leur mitrailleuse et avancèrent dans le couloir en mode furtif, mais à leur manière c'est à dire en courant et en tirant partout pour perturber l'ennemi Après êtres arrivés devant la salle, Éric prit son bazooka pour ouvrir la porte
« C'est pas plus simple de baisser la poignée ?
-Rien n'est simple dans la vie Grégoire. »

Éric ouvrit la porte à sa manière et les deux agents de choc entrèrent dans la salle. Ils pointèrent aussitôt leurs armes vers la fille concernée. Elle se tenait au milieu de la pièce, ce qu'ils virent venait de les marquer pour le restant de leur vie...