Note de la fic : Non notée
Cours_(tres)_particuliers
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 22 : Agir
Publié le 19/08/2013 à 01:11:33 par Pseudo supprimé
:mac: Chapitre 22 : Agir :mac:
Je vois que Lucas descend petit à petit son jean me laissant découvrir son boxer noir et la bosse qui s’y dessine fièrement sur le côté droit.
Oh putain… Ce que ça me donne envie de l'voir autant excité ! J’ai jamais bandé comme ça !
L : Vas-y, baisse ton pantalon…
Je m’exécute, totalement soumis à ses demandes, à ses conseils…
Je fais descendre tout doucement mon pantalon. Centimètre après centimètre, laissant découvrir petit à petit mon caleçon blanc… Je soulève mon bassin pour le passer sous mes fesses et plie mes genoux pour pouvoir l’enlever complètement tout en restant allongé.
Pendant tout ce temps, Lucas, à mes côtés, me caresse tendrement le ventre et m’encourage du regard. Puis il approche sa tête de la mienne et m’embrasse délicatement.
Waaa, c’est divin !
Je veux répondre à son baiser et commence à introduire ma langue dans sa bouche. Lucas soulève sa tête en souriant.
L : Tu sais, t’es pas obligé de mettre toute ta langue et de tourner comme un fou quand tu m’embrasses…
Son sourire disparait. Je pense qu’il a vu mon visage se décomposer…
L : Ha non, non, t’inquiète pas… C’est normal… de vouloir… faire comme ça… quand on débute…
Il agrémente chacun de ses morceaux de phrases par un petit bisou sur mes lèvres…
J : J’suis désolé Lucas… J’ai jamais fait…
Je sens presque les larmes me monter aux yeux et ma voix qui se noue…
L : Arrête… Je t’aime et c’est pas ton manque de pratique qui va changer ça…
Waaa, il m’a dit qu’il m’aimait !
L : Laisse-toi faire, je vais te montrer…
Il approche alors son visage du mien, pose délicatement sa bouche sur la mienne et je sens sa langue qui vient se glisser tout doucement entre mes lèvres.
La mienne vient instinctivement à sa rencontre et je suis parcouru de frissons dans tout le corps quand elles se touchent, s’enlacent, se caressent dans un ballet d’une grande douceur.
Simultanément, Lucas passe sa main gauche dans mes cheveux et son autre main sur mes pectoraux. Mes quelques poils se hérissent à cause de ses caresses et je me sens toujours très à l’étroit dans mon boxer…
Mes doigts, quant à eux se perdent dans son dos et descendent hardiment jusqu’en bas de ses reins, jusqu’à la frontière marquée par son boxer et que je n’ose franchir… pour le moment…
Il relève enfin sa tête après ces quelques minutes qui ont été magiques pour moi…
L : Alors ? T’es prêt pour ta leçon numéro 1 ?
Il baisse alors les yeux vers mon caleçon et voit à quel point il est déformé par mon excitation.
L : Oh, à ce que je vois, oui !
Je rougis une nouvelle fois, une pudeur idiote alors que nos corps sont collés l’un à l’autre depuis de longues minutes.
L : Fais comme moi…
Il commence par passer sa main sur son boxer, caressant sa queue à travers le coton. Je vois les contours de son sexe que j’imagine particulièrement gros et large.
J’imite ses mouvements avec ma main droite. Partant de mes testicules, pour remonter petit à petit le long de ma verge, puis je recommence à nouveau en faisant varier l’intensité. Cette sensation n’est pas tout à fait nouvelle pour moi car les tentations ont été grandes depuis quelques années mais j’y ai renoncé à chaque fois avant de commettre « l’irréparable ».
Dans mon boxer, je sens mon gland se décalotter légèrement et entrer en contact avec le tissu qui préserve ma pudeur à chaque fois que je redescends ma main vers le bas de mon sexe.
J’observe maintenant Lucas qui a toujours une main sur son sexe qu’il masturbe à travers son caleçon noir en insistant plus particulièrement sur le gland. Mais je remarque maintenant que ses yeux se sont clos, que ses mouvements se sont accélérés et que son autre main parcourt son corps : son ventre, son torse musclé et jusqu’à ses épaules et son cou. Puis les doigts de sa main gauche viennent se glisser sous l’élastique de son boxer et j’aperçois le début de sa toison pubienne.
Je reproduis au mieux ses mouvements et sens ma respiration qui s’emballe…
Lucas ouvre alors les yeux et me regarde quelques instants…
L : C’est bien, continue… Maintenant, descends ton caleçon…
Je vois que Lucas descend petit à petit son jean me laissant découvrir son boxer noir et la bosse qui s’y dessine fièrement sur le côté droit.
Oh putain… Ce que ça me donne envie de l'voir autant excité ! J’ai jamais bandé comme ça !
L : Vas-y, baisse ton pantalon…
Je m’exécute, totalement soumis à ses demandes, à ses conseils…
Je fais descendre tout doucement mon pantalon. Centimètre après centimètre, laissant découvrir petit à petit mon caleçon blanc… Je soulève mon bassin pour le passer sous mes fesses et plie mes genoux pour pouvoir l’enlever complètement tout en restant allongé.
Pendant tout ce temps, Lucas, à mes côtés, me caresse tendrement le ventre et m’encourage du regard. Puis il approche sa tête de la mienne et m’embrasse délicatement.
Waaa, c’est divin !
Je veux répondre à son baiser et commence à introduire ma langue dans sa bouche. Lucas soulève sa tête en souriant.
L : Tu sais, t’es pas obligé de mettre toute ta langue et de tourner comme un fou quand tu m’embrasses…
Son sourire disparait. Je pense qu’il a vu mon visage se décomposer…
L : Ha non, non, t’inquiète pas… C’est normal… de vouloir… faire comme ça… quand on débute…
Il agrémente chacun de ses morceaux de phrases par un petit bisou sur mes lèvres…
J : J’suis désolé Lucas… J’ai jamais fait…
Je sens presque les larmes me monter aux yeux et ma voix qui se noue…
L : Arrête… Je t’aime et c’est pas ton manque de pratique qui va changer ça…
Waaa, il m’a dit qu’il m’aimait !
L : Laisse-toi faire, je vais te montrer…
Il approche alors son visage du mien, pose délicatement sa bouche sur la mienne et je sens sa langue qui vient se glisser tout doucement entre mes lèvres.
La mienne vient instinctivement à sa rencontre et je suis parcouru de frissons dans tout le corps quand elles se touchent, s’enlacent, se caressent dans un ballet d’une grande douceur.
Simultanément, Lucas passe sa main gauche dans mes cheveux et son autre main sur mes pectoraux. Mes quelques poils se hérissent à cause de ses caresses et je me sens toujours très à l’étroit dans mon boxer…
Mes doigts, quant à eux se perdent dans son dos et descendent hardiment jusqu’en bas de ses reins, jusqu’à la frontière marquée par son boxer et que je n’ose franchir… pour le moment…
Il relève enfin sa tête après ces quelques minutes qui ont été magiques pour moi…
L : Alors ? T’es prêt pour ta leçon numéro 1 ?
Il baisse alors les yeux vers mon caleçon et voit à quel point il est déformé par mon excitation.
L : Oh, à ce que je vois, oui !
Je rougis une nouvelle fois, une pudeur idiote alors que nos corps sont collés l’un à l’autre depuis de longues minutes.
L : Fais comme moi…
Il commence par passer sa main sur son boxer, caressant sa queue à travers le coton. Je vois les contours de son sexe que j’imagine particulièrement gros et large.
J’imite ses mouvements avec ma main droite. Partant de mes testicules, pour remonter petit à petit le long de ma verge, puis je recommence à nouveau en faisant varier l’intensité. Cette sensation n’est pas tout à fait nouvelle pour moi car les tentations ont été grandes depuis quelques années mais j’y ai renoncé à chaque fois avant de commettre « l’irréparable ».
Dans mon boxer, je sens mon gland se décalotter légèrement et entrer en contact avec le tissu qui préserve ma pudeur à chaque fois que je redescends ma main vers le bas de mon sexe.
J’observe maintenant Lucas qui a toujours une main sur son sexe qu’il masturbe à travers son caleçon noir en insistant plus particulièrement sur le gland. Mais je remarque maintenant que ses yeux se sont clos, que ses mouvements se sont accélérés et que son autre main parcourt son corps : son ventre, son torse musclé et jusqu’à ses épaules et son cou. Puis les doigts de sa main gauche viennent se glisser sous l’élastique de son boxer et j’aperçois le début de sa toison pubienne.
Je reproduis au mieux ses mouvements et sens ma respiration qui s’emballe…
Lucas ouvre alors les yeux et me regarde quelques instants…
L : C’est bien, continue… Maintenant, descends ton caleçon…