Note de la fic : Non notée
Saw_:_Die_etamp;_Retry
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 2 : Triste dilemme
Publié le 19/08/2013 à 01:11:16 par Pseudo supprimé
" - Ok, je vais y arriver. Je mets toutes mes forces, je vais m'en sortir! "
Kévin se parlait a lui-même. Façon de ce donner de la force supplémentaire. Subitement, un bruit d'électricité très rapide retentissant dans la pièce et le compteur s'alluma.
'00:00:30'
C'était ce qui était indiqué sur le compteur qui se mit a démarrer. Les secondes défilaient et Kévin hurlait pour se donner de la force, il criait, se déchirait les corde vocales et poussait le plus fort possible sur ses pieds. Les rouages tournaient en sens inverse grâce a la puissance déployée par Kévin. Il souffla très bruyamment, et continua a crier, comme si on lui découpait les doigts au couteau suisse. Sa gorge se mit a saigner, les gouttes de sang au sol étaient agrémentées des larmes de Kévin. Il ne lâchait pas la pression et continuait, malgré la douleur, il avançait.
'00:00:14'
Il accrocha de sa main gauche la table pour ne pas se laisser emporter par les rouages en s'arrêtant. Malgré tout les rouages continuaient a l'emporter vers la mort. Il tendit la main le plus fort possible, il la tendait vers la seule chose qui pouvait l'empêcher de mourir, la seule chose qui pouvait l'empêcher de payer pour son erreur. Il l'attrapa fermement, il ne restait plus que 5 secondes, il entra la clé dans la serrure du cadenas de la chaine et tourna très rapidement. Il tomba vers l'avant, a quatre pattes. Il se retourna toujours sur le sol et regarda la chaine allant se faire broyer dans les rouages. Il se sentait si libre, ses larmes qui coulaient sur son visage marquaient une libération in-extremis. Il déposa sa tête contre le sol froid. Il avait réussi a survivre, normalement, il devrait être mort. Mais il était parvenu a s'en sortir. Il se sentait fort et en même temps très faible. Ce sentiment de douleur parcourait son corps. Il toucha sa gorge et regarda sa main. Il saignait, mais ce n'était pas très grave. Un autre grand lampadaire éclaira le reste de la salle. Tout était blanc, vide. Une simple porte toute rouillée et une flèche sur le sol lui indiquait ou il devait se diriger, pour, qui sait, peut-être la liberté...
Une autre salle, plus reculée était théâtre d'un triste dilemme pour un jeune adolescent. Effectivement, deux adolescents étaient accrochés par des fils barbelés au niveau des tendons. Les deux adolescents tenaient sur une planche métallique a 5 mètres au dessus d'une marrée de perceuses. Elles étaient toutes maintenues vers le haut pour que celui qui tombe n'ait aucune chance de survie. Un autre homme, cette fois-ci dans la trentaine, était derrière une vitre devant un panneau de contrôle avec deux leviers. Sur un des leviers il était écrit "Napoléon" et sur l'autre a la droite de l'adolescent "John". L'adolescent derrière la vitre avait une étiquette sur la quelle il était marqué son prénom, nous pouvions lire "Trygon". Derrière ce jeune homme il y avait un pistolet chargé a une balle. Si il ne faisait pas un choix très vite, ils mourraient tous.
Au dessus de la vitre il y avait un écran. Cet écran s'alluma soudainement laissant apparaître une personne a la silhouette peu commune. Un homme masqué, un masque blanc et des pommettes avec des dessins en spirales rouges. Il se mit a s'adresser a Trygon.
"- Bonjour a vous Trygon, j'ai envie de jouer a un jeu. Grand cadre d'entreprise, vous avez toujours aimé prendre des choix. Évidemment, ses choix n'étaient pas toujours des plus justes pour vos employés. Notamment votre employé "Mickael Thompson" que vous avez froidement viré alors qu'il menaçait de se suicider si il devait perdre son boulot. C'est vrai que vivre dans la rue n'est pas vraiment très douillet. Le lendemain le corps de ce malheureux homme était retrouvé, les veines tranchées dans les sens de la longueur. Un suicide parfait, dans l'horreur, pour un homme lui aussi plongé dedans.
En face de vous se trouve deux adolescent de respectivement 17 ans et 17 ans. Oui, ils ont le même âge, et ils ont pourtant une vie bien remplie. Tous deux ont leurs mères et pères, deux frères et une s½ur. Vous allez devoir choisir Monsieur, choisir le quel des deux vous désirez voir mourir, vous allez enfin pouvoir assouvir votre soif et votre désir d'avoir toujours le choix. Si vous ne vous décidez pas suffisamment rapidement, le mécanisme d'un revolver placé derrière votre nuque s'activera, ce qui mettra un terme a votre vie ainsi qu'à celle des deux adolescents. Vous avez le choix, que le jeu commence."
Kévin se parlait a lui-même. Façon de ce donner de la force supplémentaire. Subitement, un bruit d'électricité très rapide retentissant dans la pièce et le compteur s'alluma.
'00:00:30'
C'était ce qui était indiqué sur le compteur qui se mit a démarrer. Les secondes défilaient et Kévin hurlait pour se donner de la force, il criait, se déchirait les corde vocales et poussait le plus fort possible sur ses pieds. Les rouages tournaient en sens inverse grâce a la puissance déployée par Kévin. Il souffla très bruyamment, et continua a crier, comme si on lui découpait les doigts au couteau suisse. Sa gorge se mit a saigner, les gouttes de sang au sol étaient agrémentées des larmes de Kévin. Il ne lâchait pas la pression et continuait, malgré la douleur, il avançait.
'00:00:14'
Il accrocha de sa main gauche la table pour ne pas se laisser emporter par les rouages en s'arrêtant. Malgré tout les rouages continuaient a l'emporter vers la mort. Il tendit la main le plus fort possible, il la tendait vers la seule chose qui pouvait l'empêcher de mourir, la seule chose qui pouvait l'empêcher de payer pour son erreur. Il l'attrapa fermement, il ne restait plus que 5 secondes, il entra la clé dans la serrure du cadenas de la chaine et tourna très rapidement. Il tomba vers l'avant, a quatre pattes. Il se retourna toujours sur le sol et regarda la chaine allant se faire broyer dans les rouages. Il se sentait si libre, ses larmes qui coulaient sur son visage marquaient une libération in-extremis. Il déposa sa tête contre le sol froid. Il avait réussi a survivre, normalement, il devrait être mort. Mais il était parvenu a s'en sortir. Il se sentait fort et en même temps très faible. Ce sentiment de douleur parcourait son corps. Il toucha sa gorge et regarda sa main. Il saignait, mais ce n'était pas très grave. Un autre grand lampadaire éclaira le reste de la salle. Tout était blanc, vide. Une simple porte toute rouillée et une flèche sur le sol lui indiquait ou il devait se diriger, pour, qui sait, peut-être la liberté...
Une autre salle, plus reculée était théâtre d'un triste dilemme pour un jeune adolescent. Effectivement, deux adolescents étaient accrochés par des fils barbelés au niveau des tendons. Les deux adolescents tenaient sur une planche métallique a 5 mètres au dessus d'une marrée de perceuses. Elles étaient toutes maintenues vers le haut pour que celui qui tombe n'ait aucune chance de survie. Un autre homme, cette fois-ci dans la trentaine, était derrière une vitre devant un panneau de contrôle avec deux leviers. Sur un des leviers il était écrit "Napoléon" et sur l'autre a la droite de l'adolescent "John". L'adolescent derrière la vitre avait une étiquette sur la quelle il était marqué son prénom, nous pouvions lire "Trygon". Derrière ce jeune homme il y avait un pistolet chargé a une balle. Si il ne faisait pas un choix très vite, ils mourraient tous.
Au dessus de la vitre il y avait un écran. Cet écran s'alluma soudainement laissant apparaître une personne a la silhouette peu commune. Un homme masqué, un masque blanc et des pommettes avec des dessins en spirales rouges. Il se mit a s'adresser a Trygon.
"- Bonjour a vous Trygon, j'ai envie de jouer a un jeu. Grand cadre d'entreprise, vous avez toujours aimé prendre des choix. Évidemment, ses choix n'étaient pas toujours des plus justes pour vos employés. Notamment votre employé "Mickael Thompson" que vous avez froidement viré alors qu'il menaçait de se suicider si il devait perdre son boulot. C'est vrai que vivre dans la rue n'est pas vraiment très douillet. Le lendemain le corps de ce malheureux homme était retrouvé, les veines tranchées dans les sens de la longueur. Un suicide parfait, dans l'horreur, pour un homme lui aussi plongé dedans.
En face de vous se trouve deux adolescent de respectivement 17 ans et 17 ans. Oui, ils ont le même âge, et ils ont pourtant une vie bien remplie. Tous deux ont leurs mères et pères, deux frères et une s½ur. Vous allez devoir choisir Monsieur, choisir le quel des deux vous désirez voir mourir, vous allez enfin pouvoir assouvir votre soif et votre désir d'avoir toujours le choix. Si vous ne vous décidez pas suffisamment rapidement, le mécanisme d'un revolver placé derrière votre nuque s'activera, ce qui mettra un terme a votre vie ainsi qu'à celle des deux adolescents. Vous avez le choix, que le jeu commence."