Note de la fic : Non notée
Soeur_Germaine_et_le_couvent_hante
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 12 : La boulette de Catherine- Salope! :noel:
Publié le 19/08/2013 à 01:10:45 par Pseudo supprimé
***
Me retrouvant enfin débarassé de ma classe préparatoire, je vous annonce maintenant le début de la 2nde partie de saison de votre fic préférée ()!!!
Comme vous ne l'aurez sûrement pas remarqué, j'ai décalé tous les chapitres de manière à ce que celui d'intro corresponde au chapitre 0; cependant, les commentaires sont restés à leur place, et donc il y a un décalage. Ainsi, je vous demanderai de bien vouloir éviter de rentrer dans une colère noire avant d'appeler les talibans pour qu'ils viennent me séquestrer et m'apprendre à foutre le bordel dans les commentaires de ma fic, merci
Pour ceux qui ont une mémoire de poisson rouge (), ou qui n'ont pas lu les chapitres précédent parce qu'ils n'en n'ont rien à foutre, voici un petit résumé: Soeur Germaine et ses amis givrés sont dans un couvent hanté ( pour les quelques autistes qui n'ont pas lu/ne comprennent pas le tire ) et il se passe des trucs ( ). Dernièrement, ils ont eu à relever le défi d'une voix mystérieuse, à savoir éviter de rire devant une série de trucs (re-) stupides. . Défi relevé haut la main par les lecteurs, qui se sont endormis avant la fin
Ah, et j'allais oublier, pour ceux qui ont la technologie, les moment signalés par un "" sont ceux où il faut balancer les rires préenregistrés, comme dans les sitcoms pas drôles où on est obligé de les mettre pour qu'on ait pas l'air de faire un gros bide avec nos blagues à deux balles (celui-là, il compte pas )
***
La voix venait de terminer son speech. Personne parmi nous n'avait bronché, à part peut-être Catherine, mais on ne pouvait pas savoir si c'était un rictus ou le bruit de l'air passant dans ses poumons brûlés au quatorzième degré (cf chapitres précédents + "bronché" et "poumons", ça compte comme un jeu de mot? ).
"C'est tout? Mais c'est tout pourri!" dit Gadget.
On pouvait entendre la voix faire des petits bruits bizarres, comme si elle semblait désarçonnée, ou qu'elle était en train de faire Z+O ().
"Bon maintenant ça suffit", dis-je. "On a accepté d'écouter ton délire bidon, maintenant montre-toi!"
Les lumières se rallumèrent. Une porte dérobée s'ouvrit alors dans une des parois du couloir, et un bonhomme ayant une véritable tête-de-hap en sortit.
"C'est Butters!" dit Pedobear, le visage illuminé et le pantalon déjà aux pieds. "P'tit bonhomme, toujours de bonne humeur, avec un coeur gros comme ça, ce p'tit bonhomme c'est Butters!"
( )
"Ah non, j'aurai plutôt dit que c'est le gugusse de la pub pour IE," 'mon numéro de carte bancaire est... protégé', moi", l'interrompît Gadget.
En fait, les deux avaient tort. Il s'agissait de Arthur, l'animateur de TF1.
Pedobear remit son pantalon, l'air déçu. pwned
"Ohlàlà ohlàlà, je m'excuse les amis, mais je cherchais de nouvelles idées pour mon tout nouveau one-man-show, et je voulais voir si ça marche... Mais étrangement vous n'avez même pas esquissé le moinde sourire, C'EST LA FAUTE AU CHACAL, A CE CHACAL MARTINE, VENEZ LA QUE JE VOUS MASSE, ET CHOISSISSEZ UNE BOITE!"
Alleluhia, dans la série "animateurs timbrés", après Lepers, Arthur. Enfin bon, vu tout ce que je voyais depuis quelques jours, je n'étais pas à cela près et je ne m'en étonna même pas.
"Numéro 9, Nord-Pas-de-Calais", dit Catherine. On pouvait deviner un sourire sous son visage carbonisé
"Allez, ouvrez-moi cette boîte... OoOoOoOh non! La boite à 500.000 euros! Aaaaaaaah c'est vraiment pas de chance, quel enculé ce chacal, hein Martine! Ah ce n'est pas grave, venez dans la cabane au fond du jardin, je vais vous consoler"!
Catherine refit sa tête déconfite abominable que vous pouvez voir en image de profil. Je tiens quand même à préciser qu'il n'y avait aucune boîte dans les parages, ni même de candidat du Nord-Pas-De-Calais, mais je n'aillais pas les couper dans leurs délires après tout: quand j'étais encore au couvent, j'avais horreur que les bonnes soeurs m'empèchent de voir le strip tease que Jean-Luc Delarue faisait dans mon délirium tremens.
Attendez... Jean-Luc Delarue...
Tilt! (*ampoule qui s'allume au-dessus de la tête*)
Je me jetai sur l'animateur, qui s'apprétait à "enfourcher" Catherine ().
"Imposteur! Le vrai Arthur sait faire rire les gens, et n'a pas d'arrière-pensées quand il masse une candidate stressée dans son émission! La seule personne que je connaisse qui ne fait des émissions qu'en espérant sauter l'invitée ou la candidate en coulisses, même si c'est une chose difforme comme Catherine, c'est Delarue!!! ("> "
Le bonhomme perdit son légendaire sourire de et devint blême.
"Me voilà découvert! "
"Et si tu nous expliquais comment tu as fait pour finir dans le corps d'Arthur? Et où est le vrai Arthur, dans ton corps?"
Delarue ne répondit rien dans un premier temps. Il semblait concentré, en regardant mes genoux. *Re-Tilt*
"Eh! Arrête de me relooker les seins!" lui dis-je en le giflant (même si je me sentais flattée, 35 dans qu'on ne m'avait plus matée de la sorte ! ). "Et répond à ma question!"
"Pardonnez-moi", dit-il en retrouvant ses esprits. "Suivez moi, vous comprendrez".
Nous repartîmes dans le corridor jusqu'à la salle contenant la relique de je-ne-sais-plus qu'elle sainte qui avait fait je-ne-sais-plus quel miracle. C'était une salle plutôt grande, décorée de vitraux montrant le Chemin de Croix, ainsi que de peintures représentant Belzébuth prenant Judas par derrière, ou encore Mahomet piétiné par Jésus (j'espère que vous n'avez pas appelé les talibans, parce que sinon je vais prendre cher moi ). Enfin on s'en fout, vous vous imaginez la scène tout seuls comme des grands hein: c'était une salle dans une église en gros, et comme vous allez tous à la messe le dimanche ("j'espère sinon vous brûlerez en enfaiiiiiiir" - Catherine ), pas besoin de vous faire un dessin.
Jean-Luc s'arrêta devant le reliquaire.
"Voilà", reprit-il, "J'étais en voyage de noces avec Julien Lepers (tout s'explique ), mais il m'a trompé avec son ex, alors je l'ai laissé tout seul et je suis allé pleurer ici, pour me receuillir".
"Son ex?" coupa Chuck.
"Un hamster qui s'appelle Ouilliamme". Ben voyons! . "Bref, je suis venu ici, et puis j'ai eu une pulsion, j'ai voulu sauter la relique (ouioui j'ai lu la charte, et promis, je ne vais pas -trop- m'étendre sur la nécrophilie ), mais en ouvrant le reliquaire, j'ai eu une vision de la sainte qui m'a dit que je serai puni pour cet affront. Ensuite elle m'a dit de dire un nombre, j'ai dit quatre, elle a tripoté une cocotte en papier, après elle m'a dit de choisir une couleur, j'ai pris jaune -comme les cartons de Julien - et elle m'a dit que je serai transporté dans le corps d'un humouriste, et que, pour mes blagues bidons qui ne font rire que moi dans "Sans Aucun Doute", la malédiction ne sera levée et je ne pourrai retrouver mon corps que lorsque je réussirai à faire rire quelqu'un. ".
Ca alors!
Il fallait que je me rende à l'évidence. Soit j'ai trop poussé sur le rosé hier soir, et je me tape un trip ki krash du fe , soit... soit... c'est vraiment du gros délire, m'voyez
"Le pauvre homme, comme il a du souffrir , mais il ne faut pas provoquer l'au-delà, comme je l'ai dit à mes 14 enfants, donc c'est bien fait pour lui ", analysa minutieusement Catherine.
"Eh bien, bonne chance mon petit Jean-Luc, nous, on en a rien a battre, c'est déjà suffisement le bordel avec les Gaysounours et le fantome de Lepers pour qu'on se soucie de tes problèmes! "
"Attendez ma soeur, notre Seigneur nous a toujours dit qu'il fallait aider notre prochain! Ne laissont pas le malin s'emparer de cette homme! "
"Cath', tu es bien gentille, mais ce n'est pas notre boulot. De plus, cet homme a encore moins d'humour qu'un lamantin unijambiste, donc c'est peine perdue. Maintenant tu laisse le monsieur et tu remontes avec nous, sinon les Gaysounours vont égorger tes enfants ".
Catherine s'enflamma. Elle sortit son petit crucifix et le brandit tel une épée:
"Quoi! Ces créatures venant droit de l'enfer, toucher à mes chers et tendres! Jamais ! Venez mes amis, allons leur répandre la bonne parole, à ces raclûûûûûûres!"
Elle se mit alors à courir vers l'endroit d'où nous venions, mais elle trébucha contre le socle du reliquaire. Déséquilibré, celui-ci s'explosa contre le sol, répendant un tas d'os par terre sous les yeux horrifiés de Catherine (re-cf photo de la fic).
"Bien joué, Cath'! Là, t'es sûre d'avoir mis Dieu en rogne!"
Toujours abasourdie par ce qu'elle venait de faire, Catherine essaya tant bien que mal de se rassurer.
"Ce... non... je vais me confesser, et ça ira..."
Soudain, un flash nous aveugla tous.
"Ah, bah j'ai eu pareil quand j'ai ouvert le reliquaire", dit Delarue.
Une silhouette de femme apparût en lieu et place du reliquaire.
"J'ai eu pareil!"
"Qui a osé faire ça?" demanda la femme.
"Catherine!" hurlais-je. Celle-ci devint encore plus blême.
"Je... je m'excuse, c'est Germaine qui m'a dit que des créatures démoniaques allaient s'attaquer à mes enfants et..."
Elle me dénonce à sa place maintenant? SALOPE!
"Bon, peu importe" repris la femme. Puisque vous êtes là, vous êtes tous responsables... Sauf Jean-Luc, lui il a déjà pris cher, je l'exempte d'un double-chatiment. Donne moi un nombre", demanda-t-elle à Catherine.
"Cath', si tu nous a tous mis dans la muise, je te jure que tu vas déguster encore plus que dans les épisodes précédents! "
"Euh... Sept!"
La femme sortit une cocotte en papier de sa poche et le fit bouger à sept reprises.
"Choisis une couleur!"
"Euh... Blanc, comme la pureté d'une âme chaste (quelle connerie! )".
Pour une relique, morte ou pas, elle avait plutôt l'air pas contente. Elle ouvrit le côté blanc de la cocotte, eût un petit rictus, puis rangea l'objet dans sa poche, tout en nous regardant.
"Pour avoir osé déranger une sainte dans son sommeil qui se devait d'être éternel, vous serez châtiés de manière exemplaire! A partir de maintenant, je vous confisque vos corps, et je ne vous les rendrai que lorsque que vous aurez rempli à bien cette mission..."
Me retrouvant enfin débarassé de ma classe préparatoire, je vous annonce maintenant le début de la 2nde partie de saison de votre fic préférée ()!!!
Comme vous ne l'aurez sûrement pas remarqué, j'ai décalé tous les chapitres de manière à ce que celui d'intro corresponde au chapitre 0; cependant, les commentaires sont restés à leur place, et donc il y a un décalage. Ainsi, je vous demanderai de bien vouloir éviter de rentrer dans une colère noire avant d'appeler les talibans pour qu'ils viennent me séquestrer et m'apprendre à foutre le bordel dans les commentaires de ma fic, merci
Pour ceux qui ont une mémoire de poisson rouge (), ou qui n'ont pas lu les chapitres précédent parce qu'ils n'en n'ont rien à foutre, voici un petit résumé: Soeur Germaine et ses amis givrés sont dans un couvent hanté ( pour les quelques autistes qui n'ont pas lu/ne comprennent pas le tire ) et il se passe des trucs ( ). Dernièrement, ils ont eu à relever le défi d'une voix mystérieuse, à savoir éviter de rire devant une série de trucs (re-) stupides. . Défi relevé haut la main par les lecteurs, qui se sont endormis avant la fin
Ah, et j'allais oublier, pour ceux qui ont la technologie, les moment signalés par un "" sont ceux où il faut balancer les rires préenregistrés, comme dans les sitcoms pas drôles où on est obligé de les mettre pour qu'on ait pas l'air de faire un gros bide avec nos blagues à deux balles (celui-là, il compte pas )
***
La voix venait de terminer son speech. Personne parmi nous n'avait bronché, à part peut-être Catherine, mais on ne pouvait pas savoir si c'était un rictus ou le bruit de l'air passant dans ses poumons brûlés au quatorzième degré (cf chapitres précédents + "bronché" et "poumons", ça compte comme un jeu de mot? ).
"C'est tout? Mais c'est tout pourri!" dit Gadget.
On pouvait entendre la voix faire des petits bruits bizarres, comme si elle semblait désarçonnée, ou qu'elle était en train de faire Z+O ().
"Bon maintenant ça suffit", dis-je. "On a accepté d'écouter ton délire bidon, maintenant montre-toi!"
Les lumières se rallumèrent. Une porte dérobée s'ouvrit alors dans une des parois du couloir, et un bonhomme ayant une véritable tête-de-hap en sortit.
"C'est Butters!" dit Pedobear, le visage illuminé et le pantalon déjà aux pieds. "P'tit bonhomme, toujours de bonne humeur, avec un coeur gros comme ça, ce p'tit bonhomme c'est Butters!"
( )
"Ah non, j'aurai plutôt dit que c'est le gugusse de la pub pour IE," 'mon numéro de carte bancaire est... protégé', moi", l'interrompît Gadget.
En fait, les deux avaient tort. Il s'agissait de Arthur, l'animateur de TF1.
Pedobear remit son pantalon, l'air déçu. pwned
"Ohlàlà ohlàlà, je m'excuse les amis, mais je cherchais de nouvelles idées pour mon tout nouveau one-man-show, et je voulais voir si ça marche... Mais étrangement vous n'avez même pas esquissé le moinde sourire, C'EST LA FAUTE AU CHACAL, A CE CHACAL MARTINE, VENEZ LA QUE JE VOUS MASSE, ET CHOISSISSEZ UNE BOITE!"
Alleluhia, dans la série "animateurs timbrés", après Lepers, Arthur. Enfin bon, vu tout ce que je voyais depuis quelques jours, je n'étais pas à cela près et je ne m'en étonna même pas.
"Numéro 9, Nord-Pas-de-Calais", dit Catherine. On pouvait deviner un sourire sous son visage carbonisé
"Allez, ouvrez-moi cette boîte... OoOoOoOh non! La boite à 500.000 euros! Aaaaaaaah c'est vraiment pas de chance, quel enculé ce chacal, hein Martine! Ah ce n'est pas grave, venez dans la cabane au fond du jardin, je vais vous consoler"!
Catherine refit sa tête déconfite abominable que vous pouvez voir en image de profil. Je tiens quand même à préciser qu'il n'y avait aucune boîte dans les parages, ni même de candidat du Nord-Pas-De-Calais, mais je n'aillais pas les couper dans leurs délires après tout: quand j'étais encore au couvent, j'avais horreur que les bonnes soeurs m'empèchent de voir le strip tease que Jean-Luc Delarue faisait dans mon délirium tremens.
Attendez... Jean-Luc Delarue...
Tilt! (*ampoule qui s'allume au-dessus de la tête*)
Je me jetai sur l'animateur, qui s'apprétait à "enfourcher" Catherine ().
"Imposteur! Le vrai Arthur sait faire rire les gens, et n'a pas d'arrière-pensées quand il masse une candidate stressée dans son émission! La seule personne que je connaisse qui ne fait des émissions qu'en espérant sauter l'invitée ou la candidate en coulisses, même si c'est une chose difforme comme Catherine, c'est Delarue!!! ("> "
Le bonhomme perdit son légendaire sourire de et devint blême.
"Me voilà découvert! "
"Et si tu nous expliquais comment tu as fait pour finir dans le corps d'Arthur? Et où est le vrai Arthur, dans ton corps?"
Delarue ne répondit rien dans un premier temps. Il semblait concentré, en regardant mes genoux. *Re-Tilt*
"Eh! Arrête de me relooker les seins!" lui dis-je en le giflant (même si je me sentais flattée, 35 dans qu'on ne m'avait plus matée de la sorte ! ). "Et répond à ma question!"
"Pardonnez-moi", dit-il en retrouvant ses esprits. "Suivez moi, vous comprendrez".
Nous repartîmes dans le corridor jusqu'à la salle contenant la relique de je-ne-sais-plus qu'elle sainte qui avait fait je-ne-sais-plus quel miracle. C'était une salle plutôt grande, décorée de vitraux montrant le Chemin de Croix, ainsi que de peintures représentant Belzébuth prenant Judas par derrière, ou encore Mahomet piétiné par Jésus (j'espère que vous n'avez pas appelé les talibans, parce que sinon je vais prendre cher moi ). Enfin on s'en fout, vous vous imaginez la scène tout seuls comme des grands hein: c'était une salle dans une église en gros, et comme vous allez tous à la messe le dimanche ("j'espère sinon vous brûlerez en enfaiiiiiiir" - Catherine ), pas besoin de vous faire un dessin.
Jean-Luc s'arrêta devant le reliquaire.
"Voilà", reprit-il, "J'étais en voyage de noces avec Julien Lepers (tout s'explique ), mais il m'a trompé avec son ex, alors je l'ai laissé tout seul et je suis allé pleurer ici, pour me receuillir".
"Son ex?" coupa Chuck.
"Un hamster qui s'appelle Ouilliamme". Ben voyons! . "Bref, je suis venu ici, et puis j'ai eu une pulsion, j'ai voulu sauter la relique (ouioui j'ai lu la charte, et promis, je ne vais pas -trop- m'étendre sur la nécrophilie ), mais en ouvrant le reliquaire, j'ai eu une vision de la sainte qui m'a dit que je serai puni pour cet affront. Ensuite elle m'a dit de dire un nombre, j'ai dit quatre, elle a tripoté une cocotte en papier, après elle m'a dit de choisir une couleur, j'ai pris jaune -comme les cartons de Julien - et elle m'a dit que je serai transporté dans le corps d'un humouriste, et que, pour mes blagues bidons qui ne font rire que moi dans "Sans Aucun Doute", la malédiction ne sera levée et je ne pourrai retrouver mon corps que lorsque je réussirai à faire rire quelqu'un. ".
Ca alors!
Il fallait que je me rende à l'évidence. Soit j'ai trop poussé sur le rosé hier soir, et je me tape un trip ki krash du fe , soit... soit... c'est vraiment du gros délire, m'voyez
"Le pauvre homme, comme il a du souffrir , mais il ne faut pas provoquer l'au-delà, comme je l'ai dit à mes 14 enfants, donc c'est bien fait pour lui ", analysa minutieusement Catherine.
"Eh bien, bonne chance mon petit Jean-Luc, nous, on en a rien a battre, c'est déjà suffisement le bordel avec les Gaysounours et le fantome de Lepers pour qu'on se soucie de tes problèmes! "
"Attendez ma soeur, notre Seigneur nous a toujours dit qu'il fallait aider notre prochain! Ne laissont pas le malin s'emparer de cette homme! "
"Cath', tu es bien gentille, mais ce n'est pas notre boulot. De plus, cet homme a encore moins d'humour qu'un lamantin unijambiste, donc c'est peine perdue. Maintenant tu laisse le monsieur et tu remontes avec nous, sinon les Gaysounours vont égorger tes enfants ".
Catherine s'enflamma. Elle sortit son petit crucifix et le brandit tel une épée:
"Quoi! Ces créatures venant droit de l'enfer, toucher à mes chers et tendres! Jamais ! Venez mes amis, allons leur répandre la bonne parole, à ces raclûûûûûûres!"
Elle se mit alors à courir vers l'endroit d'où nous venions, mais elle trébucha contre le socle du reliquaire. Déséquilibré, celui-ci s'explosa contre le sol, répendant un tas d'os par terre sous les yeux horrifiés de Catherine (re-cf photo de la fic).
"Bien joué, Cath'! Là, t'es sûre d'avoir mis Dieu en rogne!"
Toujours abasourdie par ce qu'elle venait de faire, Catherine essaya tant bien que mal de se rassurer.
"Ce... non... je vais me confesser, et ça ira..."
Soudain, un flash nous aveugla tous.
"Ah, bah j'ai eu pareil quand j'ai ouvert le reliquaire", dit Delarue.
Une silhouette de femme apparût en lieu et place du reliquaire.
"J'ai eu pareil!"
"Qui a osé faire ça?" demanda la femme.
"Catherine!" hurlais-je. Celle-ci devint encore plus blême.
"Je... je m'excuse, c'est Germaine qui m'a dit que des créatures démoniaques allaient s'attaquer à mes enfants et..."
Elle me dénonce à sa place maintenant? SALOPE!
"Bon, peu importe" repris la femme. Puisque vous êtes là, vous êtes tous responsables... Sauf Jean-Luc, lui il a déjà pris cher, je l'exempte d'un double-chatiment. Donne moi un nombre", demanda-t-elle à Catherine.
"Cath', si tu nous a tous mis dans la muise, je te jure que tu vas déguster encore plus que dans les épisodes précédents! "
"Euh... Sept!"
La femme sortit une cocotte en papier de sa poche et le fit bouger à sept reprises.
"Choisis une couleur!"
"Euh... Blanc, comme la pureté d'une âme chaste (quelle connerie! )".
Pour une relique, morte ou pas, elle avait plutôt l'air pas contente. Elle ouvrit le côté blanc de la cocotte, eût un petit rictus, puis rangea l'objet dans sa poche, tout en nous regardant.
"Pour avoir osé déranger une sainte dans son sommeil qui se devait d'être éternel, vous serez châtiés de manière exemplaire! A partir de maintenant, je vous confisque vos corps, et je ne vous les rendrai que lorsque que vous aurez rempli à bien cette mission..."