Note de la fic :
Comment Chloé squatta ma vie...
Par : OminiousO
Genre : Sentimental
Statut : Terminée
Chapitre 8 : Quand le destin s'en mêle
Publié le 15/12/2012 à 16:30:06 par OminiousO
Le Soleil s’était couché sur le lac, et le froid s’était installé. Il n’y avait plus grand-chose à dire et je ne savais pas si elle aurait pu se remettre de cette confession.
J’ai bien tenté de lui montrer combien nous avions des points en commun, que moi aussi j’avais perdu ma mère et que la négligence de mon père m’affectait beaucoup aussi (genre).
Elle me remerciait de ma sincérité, mais elle savait probablement que je voulais la consoler, elle qui s’était muée dans le chagrin.
Je ne voyais plus quoi faire pour lui remonter le moral, alors je lui passai mon bras sur l’épaule façon vieux pote (J’avais froid un peu aussi). Elle ne semblait pas réticente et nous restions assis là, en silence…
Nous fûmes néanmoins contraints de partir lorsqu'une pluie torrentielle s’abattit sans prévenir et nous contraignit à fuir dans la voiture pour nous abriter.
Elle retira le gilet en laine blanc qu’elle portait qui était trempé, le tee-shirt qu’elle portait en dessous l'était aussi d’ailleurs. Ce qui eu l’effet de m’émoustiller le plus naturellement du monde.
Enfin bon, nous reprîmes la route une fois de plus pour la ramener chez elle, roulant péniblement sous une averse qui rendait l’autoroute à peine visible.
Elle me fît remarquer que nous allions tomber à court d’essence dans les deux-trois kilomètres.
Nous avons donc procédé à une correction de trajectoire et regagnâmes la ville la plus proche en recherche de carburant... En vain.
Je lui expliquai qu’il fallait continuer les recherches à pied pour éviter de tomber à 0.
Elle m’en dissuada sans autre forme de procès à cause de la pluie. Nous vîmes un B&B pas loin de là où nous étions et nous nous mîmes d’accord pour y passer la nuit.
Passer la nuit dans un lit chaud me tentait bien plus que dans une Punto isolée comme un sac en papier troué.
J’ai bien tenté de lui montrer combien nous avions des points en commun, que moi aussi j’avais perdu ma mère et que la négligence de mon père m’affectait beaucoup aussi (genre).
Elle me remerciait de ma sincérité, mais elle savait probablement que je voulais la consoler, elle qui s’était muée dans le chagrin.
Je ne voyais plus quoi faire pour lui remonter le moral, alors je lui passai mon bras sur l’épaule façon vieux pote (J’avais froid un peu aussi). Elle ne semblait pas réticente et nous restions assis là, en silence…
Nous fûmes néanmoins contraints de partir lorsqu'une pluie torrentielle s’abattit sans prévenir et nous contraignit à fuir dans la voiture pour nous abriter.
Elle retira le gilet en laine blanc qu’elle portait qui était trempé, le tee-shirt qu’elle portait en dessous l'était aussi d’ailleurs. Ce qui eu l’effet de m’émoustiller le plus naturellement du monde.
Enfin bon, nous reprîmes la route une fois de plus pour la ramener chez elle, roulant péniblement sous une averse qui rendait l’autoroute à peine visible.
Elle me fît remarquer que nous allions tomber à court d’essence dans les deux-trois kilomètres.
Nous avons donc procédé à une correction de trajectoire et regagnâmes la ville la plus proche en recherche de carburant... En vain.
Je lui expliquai qu’il fallait continuer les recherches à pied pour éviter de tomber à 0.
Elle m’en dissuada sans autre forme de procès à cause de la pluie. Nous vîmes un B&B pas loin de là où nous étions et nous nous mîmes d’accord pour y passer la nuit.
Passer la nuit dans un lit chaud me tentait bien plus que dans une Punto isolée comme un sac en papier troué.