Note de la fic :
Comment Chloé squatta ma vie...
Par : OminiousO
Genre : Sentimental
Statut : Terminée
Chapitre 16 : Chez Chloé
Publié le 16/12/2012 à 14:09:16 par OminiousO
J'allai donc chez elle le samedi en fin d'après-midi. J'étais venu en mode relax, prétextant de lui ramener les cours des jours passés.
Le soleil brillait et il régnait une chaleur peu commune pour la saison.
J'arrivai donc chez elle et je fus choqué de voir comme l'endroit avait changé en même pas quatre jours.
Les hautes herbes avaient étés coupées, et les mauvaises herbes déracinées, laissant place a une jolie pelouse. Le chemin de gravier donnant sur la maison avait été refait et les arbres élagués. L'ensemble sous la lumière du soleil semblait avoir retrouvé vie et gaieté.
De derrière le portail, j'aperçus Chloé. Elle s’était attachée les cheveux et était vêtue d’un tablier recouvert de peinture beige cachant un tee-shirt blanc trop grand pour elle et des petites bottines vertes.
Elle ressemblait à une petite fille de ferme, surtout qu’elle retournait la terre a grands coups de pioche ce qui était nettement moins mignon.
Elle regarda de mon côté et je lui fis un signe de la main. Elle courra m'ouvrir la porte.
-Salut Alex, qu'est-ce que tu fais ici ? Tu me rends une visite ?
-Ouais, je te ramène les cours de cette semaine.
-C’est vrai ? Tu es trop gentil !
Elle se mit sur la pointe des pieds pour me faire un bisou sur la joue.
-Merci beaucoup. J'ai pas eu le temps de venir, j’avais des choses à faire.
-Tu refais ta maison ?
-Oui ! J’ai nettoyé le jardin. Je trouvais ça trop triste que tout soit sale comme avant.
-Bah ouais c’est beaucoup plus propre maintenant, mais toi t’es dégueulasse (oups)… Tes vêtements je veux dire.
-Ah, c’est parce que je refais la peinture aussi. Mais j'ai pas eu le temps de finir… Tu veux voir ?
-Okay !
La maison était immense et rappelait l’ambiance des salons de vieux châteaux. Le sol était carrelé et tapissé d’une étoffe rouge. Il y avait une cheminée où on avait juste en face, disposé une longue table et des bancs en bois massif.
Le salon donnait sur un escalier que nous montâmes pour aller dans sa chambre. Elle était vide et la peinture beige était encore fraîche. Il n’y avait qu’un large lit double et quelques babioles de fille posées sur une commode.
Après avoir fait le tour du propriétaire, je lui donnai les cours que j’avais ramené dans mon sac à dos.
-Tiens, là y’a la Svt et la philo, mais y’a surtout de la physique, on a eu un contrôle d’ailleurs mercredi.
-Ha bon ? Tu as réussi ?
-Bah j’avais pas révisé donc on verra… disais-je modestement.
-C’est facile la physique, c’était sur quoi ?
-Mécanique newtonienne.
-C’est dommage, je suis très forte en mécanique, j’aurais eu une bonne note…
-T’aurais pu m’expliquer aussi…
-Tu me crois pas ?
Je peux t’expliquer maintenant si tu veux!
Je n’avais pas vraiment besoin d’explication sur le sujet, surtout que le contrôle était passé, mais j’acceptai tout de même, sans trop savoir pourquoi …
Elle me dit alors de m’asseoir à la grande table et de l’attendre pendant qu’elle montait se changer.
Elle descendit l’escalier habillé d’une petite robe noir à dentelle blanc, des collants blancs et des mocassins.
Elle vint s’asseoir près de moi, ouvrit mon livre de physique et commença à lire…
Le soleil brillait et il régnait une chaleur peu commune pour la saison.
J'arrivai donc chez elle et je fus choqué de voir comme l'endroit avait changé en même pas quatre jours.
Les hautes herbes avaient étés coupées, et les mauvaises herbes déracinées, laissant place a une jolie pelouse. Le chemin de gravier donnant sur la maison avait été refait et les arbres élagués. L'ensemble sous la lumière du soleil semblait avoir retrouvé vie et gaieté.
De derrière le portail, j'aperçus Chloé. Elle s’était attachée les cheveux et était vêtue d’un tablier recouvert de peinture beige cachant un tee-shirt blanc trop grand pour elle et des petites bottines vertes.
Elle ressemblait à une petite fille de ferme, surtout qu’elle retournait la terre a grands coups de pioche ce qui était nettement moins mignon.
Elle regarda de mon côté et je lui fis un signe de la main. Elle courra m'ouvrir la porte.
-Salut Alex, qu'est-ce que tu fais ici ? Tu me rends une visite ?
-Ouais, je te ramène les cours de cette semaine.
-C’est vrai ? Tu es trop gentil !
Elle se mit sur la pointe des pieds pour me faire un bisou sur la joue.
-Merci beaucoup. J'ai pas eu le temps de venir, j’avais des choses à faire.
-Tu refais ta maison ?
-Oui ! J’ai nettoyé le jardin. Je trouvais ça trop triste que tout soit sale comme avant.
-Bah ouais c’est beaucoup plus propre maintenant, mais toi t’es dégueulasse (oups)… Tes vêtements je veux dire.
-Ah, c’est parce que je refais la peinture aussi. Mais j'ai pas eu le temps de finir… Tu veux voir ?
-Okay !
La maison était immense et rappelait l’ambiance des salons de vieux châteaux. Le sol était carrelé et tapissé d’une étoffe rouge. Il y avait une cheminée où on avait juste en face, disposé une longue table et des bancs en bois massif.
Le salon donnait sur un escalier que nous montâmes pour aller dans sa chambre. Elle était vide et la peinture beige était encore fraîche. Il n’y avait qu’un large lit double et quelques babioles de fille posées sur une commode.
Après avoir fait le tour du propriétaire, je lui donnai les cours que j’avais ramené dans mon sac à dos.
-Tiens, là y’a la Svt et la philo, mais y’a surtout de la physique, on a eu un contrôle d’ailleurs mercredi.
-Ha bon ? Tu as réussi ?
-Bah j’avais pas révisé donc on verra… disais-je modestement.
-C’est facile la physique, c’était sur quoi ?
-Mécanique newtonienne.
-C’est dommage, je suis très forte en mécanique, j’aurais eu une bonne note…
-T’aurais pu m’expliquer aussi…
-Tu me crois pas ?
Je peux t’expliquer maintenant si tu veux!
Je n’avais pas vraiment besoin d’explication sur le sujet, surtout que le contrôle était passé, mais j’acceptai tout de même, sans trop savoir pourquoi …
Elle me dit alors de m’asseoir à la grande table et de l’attendre pendant qu’elle montait se changer.
Elle descendit l’escalier habillé d’une petite robe noir à dentelle blanc, des collants blancs et des mocassins.
Elle vint s’asseoir près de moi, ouvrit mon livre de physique et commença à lire…