Note de la fic :
Publié le 28/02/2009 à 23:18:59 par KinderBuenow
-=Mercredi=-
Tout se passe bien.
Non.
Tout se passait bien.
On était tranquille. Nous alternions entre des parties de wii, dégustation de chips devant la cheminée ou sieste chacun dans sa chambre.
Nous étions au salon, la cheminée allumé et personne ne disait rien. Au fond de nous, nous savions que cette situation n'était pas agréable.
Certes, nous nous la coulions douce, mais nous avions tous un peu peur. Mais la peur, la peur n'est rien face à la terreur. Et la vrai terreur à commencé à arriver.
Un cri.
Long.
D'agonie.
Inhumain.
Je me suis levé d'un bond. Chacun fit de même.
-Putain c'était quoi sa ??!!
Second cri.
Plus court.
De terreur.
Bien humain.
-Merde, il y a des gens dehors !
Troisième cri.
Pareil au premier.
Et un autre.
Et encore un.
Et puis un autre.
-J'ai peur
Juliette avait les larmes aux yeux. Kevin essayait de la réconforter. Alex me regardait attentivement, comme si elle attendait que je prenne une décision.
-Il faut voir ce qu'il se passe dehors.
-T'es complètement pété mon con ! On sait même pas ce qu'il y à dehors !
-C'est surement un animal, ou plusieurs animaux qui ont attaqué une personne !
-Quel genre d'animal ?
-Un sanglier peut être !
-Un sanglier sa hurle pas comme ça !!!
-Un ours alors, j'en sais rien je suis pas devin merde à la fin !
-MAIS IL Y A PAS D'OURS ICI VINS !!!
-ALORS SORTONS DEHORS VOIR CE QUE C'EST !!!
Nouveau cri.
...
Suivit d'un gros silence d'angoisse.
Kévin prend soudainement la télécommande et allume la télé.
"La situation est critique sur toute l'europe. Une gigantesque vague de froid vient de s'emparer des pays suivants : France, Suisse, Allemagne, Espagne, Royaume-Uni, Belgique . . ."
-Merde, moi qui croyais que c'était uniquement ici que sa merdait !
-Taggle Kev on écoute
"Des convois d'évacuations sont déjà partis des grandes villes de france, direction l'espagne, pour passer dans les pays chauds d'Afrique au détroit de Gibraltar, les villes suivantes ont déjà été évacués et plus aucuns convois officiels ne partiront: "Nantes, Nancy, Lyon, Marseille, Reims et Strasbourg. Si par malheur, vous vous trouvez encore dans ces villes, vous devez immédiatement partir vers le sud, trouver un convois qui n'est pas encore partit et suivre les autorités. On nous signales des attaques d'animaux sauvages non identifiés dans toutes les zones ennei. . .
La télé s'éteignit d'un seul coup.
Coupure de courant.
-Vins, chez toi, le courant arrive par le sol ?
-Logique, sinon les lignes auraient craqués sous le poids de la neige
Nouveau cri de terreur.
-On dirait que sa vient d'en face . . .
-Et alors Vins ? On y peut rien ! On peut pas sortir, à moins de creuser un tunnel sous la neige ! Alors on est coin...
-Putain t'es génial ! On va faire des tunnels ! On va relier la maison d'en face par un tunnel, voir s'il y a des survivants !
-Bravo Vins ! Voila une brillante idée
-Bravooooo vins ! ET MON CUL C'EST DU POULET ??!!
-Oui c'est du blanc
-Vins.
-Kev
-Ecoute moi bien, tu veux aller voir ce qu'il y a dehors ? Pas de problèmes, mais ne compte pas sur moi pour aller voir ! Et tu ne pourras pas me faire changer d'avis !
-1 heure plus tard-
-Pourquoi j'ai accepté bordel . . .
-Taggle et arrête de te plaindre, sa va faire trois quarts d'heures qu'on a pas entendus de cris !
-Sa veut pas dire que les choses sont partis !
Nous étions dans la chambre de ma soeur. Sa fenêtre donnait sur l'abri pour voiture, donc on pouvait sortir facilement. La neige était bien tassé, mais nous nous enfoncions quand même jusqu'à la taille.
-Bon, les filles, vous restez à la fenêtre ! Gardez bien vos portables à portée de mains ! Si jamais il sonne, décrochez immediatement !
-Et quand on rentre, oubliez pas de nous ouvrir
-On y pensera
-Allez, on y va !
Kévin commençait à avancer quand quelquechose me retint l'épaule.
-Vins, attend !
Alex me fit pivoter sur moi même et me déposa un tendre et doux baiser sur les lèvres.
-Fais attention
-Euh ... oui, t'inquiète pas, je reviendrais
Chaud la réponse de merde.
Mais la vraie question était: est-ce que j'allais vraiment revenir . . . vivant ?
Tout se passe bien.
Non.
Tout se passait bien.
On était tranquille. Nous alternions entre des parties de wii, dégustation de chips devant la cheminée ou sieste chacun dans sa chambre.
Nous étions au salon, la cheminée allumé et personne ne disait rien. Au fond de nous, nous savions que cette situation n'était pas agréable.
Certes, nous nous la coulions douce, mais nous avions tous un peu peur. Mais la peur, la peur n'est rien face à la terreur. Et la vrai terreur à commencé à arriver.
Un cri.
Long.
D'agonie.
Inhumain.
Je me suis levé d'un bond. Chacun fit de même.
-Putain c'était quoi sa ??!!
Second cri.
Plus court.
De terreur.
Bien humain.
-Merde, il y a des gens dehors !
Troisième cri.
Pareil au premier.
Et un autre.
Et encore un.
Et puis un autre.
-J'ai peur
Juliette avait les larmes aux yeux. Kevin essayait de la réconforter. Alex me regardait attentivement, comme si elle attendait que je prenne une décision.
-Il faut voir ce qu'il se passe dehors.
-T'es complètement pété mon con ! On sait même pas ce qu'il y à dehors !
-C'est surement un animal, ou plusieurs animaux qui ont attaqué une personne !
-Quel genre d'animal ?
-Un sanglier peut être !
-Un sanglier sa hurle pas comme ça !!!
-Un ours alors, j'en sais rien je suis pas devin merde à la fin !
-MAIS IL Y A PAS D'OURS ICI VINS !!!
-ALORS SORTONS DEHORS VOIR CE QUE C'EST !!!
Nouveau cri.
...
Suivit d'un gros silence d'angoisse.
Kévin prend soudainement la télécommande et allume la télé.
"La situation est critique sur toute l'europe. Une gigantesque vague de froid vient de s'emparer des pays suivants : France, Suisse, Allemagne, Espagne, Royaume-Uni, Belgique . . ."
-Merde, moi qui croyais que c'était uniquement ici que sa merdait !
-Taggle Kev on écoute
"Des convois d'évacuations sont déjà partis des grandes villes de france, direction l'espagne, pour passer dans les pays chauds d'Afrique au détroit de Gibraltar, les villes suivantes ont déjà été évacués et plus aucuns convois officiels ne partiront: "Nantes, Nancy, Lyon, Marseille, Reims et Strasbourg. Si par malheur, vous vous trouvez encore dans ces villes, vous devez immédiatement partir vers le sud, trouver un convois qui n'est pas encore partit et suivre les autorités. On nous signales des attaques d'animaux sauvages non identifiés dans toutes les zones ennei. . .
La télé s'éteignit d'un seul coup.
Coupure de courant.
-Vins, chez toi, le courant arrive par le sol ?
-Logique, sinon les lignes auraient craqués sous le poids de la neige
Nouveau cri de terreur.
-On dirait que sa vient d'en face . . .
-Et alors Vins ? On y peut rien ! On peut pas sortir, à moins de creuser un tunnel sous la neige ! Alors on est coin...
-Putain t'es génial ! On va faire des tunnels ! On va relier la maison d'en face par un tunnel, voir s'il y a des survivants !
-Bravo Vins ! Voila une brillante idée
-Bravooooo vins ! ET MON CUL C'EST DU POULET ??!!
-Oui c'est du blanc
-Vins.
-Kev
-Ecoute moi bien, tu veux aller voir ce qu'il y a dehors ? Pas de problèmes, mais ne compte pas sur moi pour aller voir ! Et tu ne pourras pas me faire changer d'avis !
-1 heure plus tard-
-Pourquoi j'ai accepté bordel . . .
-Taggle et arrête de te plaindre, sa va faire trois quarts d'heures qu'on a pas entendus de cris !
-Sa veut pas dire que les choses sont partis !
Nous étions dans la chambre de ma soeur. Sa fenêtre donnait sur l'abri pour voiture, donc on pouvait sortir facilement. La neige était bien tassé, mais nous nous enfoncions quand même jusqu'à la taille.
-Bon, les filles, vous restez à la fenêtre ! Gardez bien vos portables à portée de mains ! Si jamais il sonne, décrochez immediatement !
-Et quand on rentre, oubliez pas de nous ouvrir
-On y pensera
-Allez, on y va !
Kévin commençait à avancer quand quelquechose me retint l'épaule.
-Vins, attend !
Alex me fit pivoter sur moi même et me déposa un tendre et doux baiser sur les lèvres.
-Fais attention
-Euh ... oui, t'inquiète pas, je reviendrais
Chaud la réponse de merde.
Mais la vraie question était: est-ce que j'allais vraiment revenir . . . vivant ?