Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Tempête


Par : KinderBuenow
Genre : Horreur
Statut : C'est compliqué



Chapitre 15


Publié le 03/03/2009 à 15:36:17 par KinderBuenow

-Allez vous faire foutre, toi et tes saloperies de créatures !
-WHOUAAAARGH !!!

*PAF*

Headshot !
La créature avait brisé la vitre et était entré dans la chambre quand je lui ai mis deux grosse balles entre les deux yeux.

Je me précipite vers la chambre, attrape la clé et verrouille vite la porte.
Voila, deux fenêtres de fermés, la salle de bain a une toute petite fenêtre à barreaux, tandis que les deux autres petites chambres ont des fenêtres minuscules, je pense que cela va les retenir un bon moment.

Je descend en trombe, et tente d'entrer dans le salon, Alex avait mis un fauteuil derrière la porte :coeur:

J'ouvre la porte sans difficultés, la cheminé presque éteinte.

-Alex, tu es la ...

*BANG*

-ALEX !!! MAIS C'EST MOI PUTAIN !!!
-Han ! Je suis désolé Vins ! Je croyais que tu étais une de ses créatures, comme tu m'as dit de me barricader, j'ai poussé le fauteuil et j'ai attrapé une arme :coeur:
-Tu pensais pouvoir tuer une créature ... avec une poêle à crêpes ? :noel:
-Chacun ses trucs :coeur:

Provenant de l'étage, j'entendis alors un hurlement, suivis d'un bruit distinct d'un poing qui s'écrase sur une porte en bois.

-Alex, prend les couvertures et descend à la cave immédiatement !

Elle ne pris pas la peine de répondre, elle attrape toutes les couvertures et part en direction de la cave. J'attrape deux cartons de bouffe et fais de même.

Une fois remonté, je dis à Alex de prendre un peu de bois, pas trop quand même pour pas qu'elle se blesse en descendant.

Elle en prend une quantité suffisante et disparait du salon.

*CRAAAAAAAAAAACK*

Une porte venait de céder en haut quand Alex réapparus dans le salon.

-Attrape le tisonnier et un carton de nourriture, et descend à la cave, ferme la porte de l'escalier. Je te dirais quand l'ouvrir, si jamais dans 2 minutes je ne suis pas arrivé, vas dans la pièce du fond. Empile les cartons devant la porte, mets toi dans un coin avec les couvertures et ne bouge pas pendant au moins 1heure !
-Vins, nan, viens avec moi ...

*WHOUAAAAAAAAAAAARGH*

-ALLEZ FONCE MAINTENANT !!!

Elle m'embrasse rapidement et disparait de mon champ de vision. Je me mets sur la palier du salon, à quelques mètres de l'escalier quand une créature saute d'en haut pour atterrir juste devant le canon de mon fusil.

-T'as mal choisis ton jour raclure !

*PAAAAF*

Je recharge rapidement quand une autre créature pointe le bout de son nez.

*PAAAAF*

J'avance en direction de la cave quand un bruit capte mon attention. Une détonation, mais pas la mienne.

Plusieurs détonations. Quelqu'un tirait là-haut. Plusieurs personnes, avec une arme automatique...

Des militaires ?

Un cri.
Humain.
De terreur puis d'agonie.
Encore des coups de feux.

J'étais absorbé par l'animation qui se passait à l'étage que j'en avais presque oublié la créature qui me fonçait dessus.

*PAAAAF*

Je recharge rapidement quand je me rend compte d'un tout petit problème.

Un tir me coutait deux cartouches, il ne me restait plus que 10 cartouches, si vous êtes forts en calcul, vous trouverez alors combien de tirs il me reste.

Je m'approche de la porte et frappe.

...

-ALEX !!! ALEX C'EST VINS !!!

...

Merde, si elle était descendus et s'était barricader dans la pièce du fond, elle n'avait aucunes chances de m'entendre !

-ALEX !!! ALEX OUVRE MOI !!!

...

Ce que j'entendis me glaça le sang.
Ou plutôt, ce que je n'entendis pas.
Le silence.
Les cris et les coups de feu s'étaient arrêtés.
Plus aucuns sons ne provenaient de l'étage.

Puis, une créature descendis lentement l'escalier. Suivis d'une autre. La gueule écumante de sang frais, leurs regards glaciales resteraient à jamais gravé dans ma mémoire.

Enfin, à jamais, je pense que je resterais en état de conserver une mémoire, environ 2 secondes après mon premier tir...

Le problème qui s'impose est:

-Tirer sur la créature de gauche
-Tirer sur la créature de droite
-Retourner l'arme contre moi pour ne pas finir dévoré.

La solution semblait clair.
J'attrape le fusil, l'éloigne de mon corps ...
Une seule détonation.

Une seule vie en moins.
Mais...

... laquelle ?


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