Note de la fic :
Journal d'un tueur en série
Par : ]HumourNoir[
Genre : Polar
Statut : C'est compliqué
Chapitre 5 : 29 Décembre 2012
Publié le 09/09/2012 à 19:55:48 par ]HumourNoir[
29 Décembre 2012.
Début de journée difficile, le lever du lit fut laborieux. La douche brulante qui suivit ce lever fut par contre magique. Je suis à présent devant mon vieux bureau, à réceptionner des appels, et trier de vieux dossiers, et devant l’absence de travail ce matin, je peux m’accorder une légère pause pour écrire un peu.
Après une matinée de travail acharné, j’ai eu la joie d’entendre la voix du patron au microphone de notre étage nous libérer de notre après-midi le temps que les agents d’entretiens s’occupent de la climatisation. Ils auraient pu nous prévenir hier soir, ça nous aurait épargné une matinée de travail dans le froid glacial.
J’ai donc décidé de passer mon temps libre dans un bar aux alentours du centre-ville. Je préfèrerai ne pas rentrer à la maison directement pour une fois que j’ai un petit moment pour moi.
J’écris d’ailleurs accoudé à la table du « Tous à l’unisson ». Un établissement relativement bon marché, ou je sirote un grand café au lait. Les clients me regardent comme si j’étais un écrivain un peu farfelu qui aime pondre ses œuvres en se mêlant au public, ou en s’insérant dans une atmosphère typiquement parisienne. L’un d’entre eux est carrément venu me parler d’un air passionné, en me demandant si j’étais quelqu’un de connu. Je viens de lui marmonner que j’écrivais seulement mes mémoires, et il a souri d’un air entendu, puis il a insisté pour payer ma consommation. Je ne sais pas trop ce qu’il veut mais il est aimable.
Nous nous sommes quittés après une bonne demi-heure à bavarder. C’est un homme que je trouve très cultivé, et vraiment intéressant. Je suppose que j’aurai le plaisir de le revoir en retournant dans ce bar, car il m’a confié être un habitué.
Je suis retourné me coucher à la maison à l’heure où je rentre habituellement. J’ai préféré taire ma rencontre à Lucy, mais je lui ai dit que le bureau nous avait libéré plus tôt à cause de problèmes de chauffage.
Début de journée difficile, le lever du lit fut laborieux. La douche brulante qui suivit ce lever fut par contre magique. Je suis à présent devant mon vieux bureau, à réceptionner des appels, et trier de vieux dossiers, et devant l’absence de travail ce matin, je peux m’accorder une légère pause pour écrire un peu.
Après une matinée de travail acharné, j’ai eu la joie d’entendre la voix du patron au microphone de notre étage nous libérer de notre après-midi le temps que les agents d’entretiens s’occupent de la climatisation. Ils auraient pu nous prévenir hier soir, ça nous aurait épargné une matinée de travail dans le froid glacial.
J’ai donc décidé de passer mon temps libre dans un bar aux alentours du centre-ville. Je préfèrerai ne pas rentrer à la maison directement pour une fois que j’ai un petit moment pour moi.
J’écris d’ailleurs accoudé à la table du « Tous à l’unisson ». Un établissement relativement bon marché, ou je sirote un grand café au lait. Les clients me regardent comme si j’étais un écrivain un peu farfelu qui aime pondre ses œuvres en se mêlant au public, ou en s’insérant dans une atmosphère typiquement parisienne. L’un d’entre eux est carrément venu me parler d’un air passionné, en me demandant si j’étais quelqu’un de connu. Je viens de lui marmonner que j’écrivais seulement mes mémoires, et il a souri d’un air entendu, puis il a insisté pour payer ma consommation. Je ne sais pas trop ce qu’il veut mais il est aimable.
Nous nous sommes quittés après une bonne demi-heure à bavarder. C’est un homme que je trouve très cultivé, et vraiment intéressant. Je suppose que j’aurai le plaisir de le revoir en retournant dans ce bar, car il m’a confié être un habitué.
Je suis retourné me coucher à la maison à l’heure où je rentre habituellement. J’ai préféré taire ma rencontre à Lucy, mais je lui ai dit que le bureau nous avait libéré plus tôt à cause de problèmes de chauffage.