Note de la fic :
La fic pas drôle et absurde
Par : Sipro
Genre : Nawak, No-Fake
Statut : Abandonnée
Chapitre 14 : K46XJG (C le kod 2 konphirmacion olol)
Publié le 26/04/2011 à 21:32:50 par Sipro
Bonsoir lecteurs ! Je pense aujourd’hui faire 2 chapitres (C’est faux ! Ne me croyez pas ! Y aura pas deux chapitres aujourd’hui !), parce que j’ai rien d’autres à foutre, et que j’aime ça, vomir sur mon clavier. Enfin, vomir des mots sur word, pour qu’ils puissent former des phrases que personne ne comprendra. Alors pour tous ceux qui se prennent la tête, mais pas que la tête, sachez que cette fic est a portée humoristique, ET ne nécessite pas une compréhension du scénario. Pour deux raisons : Déjà, les mots sont vomis, comme je l’ai mis plus haut, et ensuite, seconde raison, accrochez vous, c’est mon esprit torturé qui fait ce « scénario », et donc vouloir en comprendre les recoins sombres serait comme me faire une psychanalyse. Vous avez plus de chance de devenir taré en me fréquentant, et en voulant donc comprendre ce que j’écris, qu’en regardant Cthulhu de face, en plein jour. Lisez simplement, comme ça vient, riez quand il faut rire, ne vous posez pas trop de questions, mais si vous en avez vraiment, envoyez les moi. Je me ferais un plaisir d’y répondre dans un chapitre « Hors-Sujet ».
Suite à cette parenthèse, reprenons notre histoire où ils s’étaient arrêtés. Je parle ici des différents membres du groupe. Donc, ils avançaient dans la forêt. Et après toutes leurs conneries, ils tombèrent face à un ours. (Putain, ils en font de ces rencontres, un truc de ouf quoi).
-*Cri d’ours* (Oui, je ne sais pas ce que ça fait un ours, j’en ai jamais rencontré, vous voyez. Peut être que ça à grossomodo le même cri qu’un wookie. Ouais, c’est possible, après tout.)
-Un ours ! Courrez !
Et ils coururent. (Personnellement, et ça n’engage que moi, mais je trouve que mettre du passé dans une fic, ça relève l’ensemble. Ça fait vachement classe, et les gens aiment. Alors mettez du passé, le passé c’est bon, mangez en. Même si vous ne pouvez pas mettre du passé, mettez-en quand même. On ne vous pénalisera pas pour ça. Bon, dans de rares cas, peut être).
C’est ainsi qu’ils continuèrent de progresser dans cette forêt dense, qui faisait grossomodo la taille du stade de foot d’Olive et Tom, vu que ça fait déjà quelques chapitres que je parle de cette putain de forêt de merde ! Ah mais moi je vous dis, un coup de débroussailleuse, et de tronçonneuse, de taille bordure et de tondeuse à gazon, elle est plus là votre forêt. Amenez les bulldozers ! Rasez-moi cette forêt à la con ! Les personnages doivent avancer, bordel de crotte de zut de flute !
*VRRRROOUM* (ça c’est les bulldozers qui avancent) *CRAAAAAAAAAAAAARCK* (ça c’est les arbres qui se déracines) *SPROTCH* (ça c’est un oiseau qui a fait caca car il avait peur, mais on lui pardonne) *SSSSSSSSHHHHHHHHHHHHAR…GLEARGH !* (ça c’est le gars qui criait SSSSSSSSHHHHHHHARLES, qui s’appelle Jean car je viens de me souvenir de son nom, qui meurt écrasé par un bulldozer).
Vous savez, c’est cool d’écrire ça. On marque de la merde, les gens vous lisent, ça occupe leur vie et ça les fait rire. C’est génial, c’est pour ça que des gens gagnent bien leur vie, même en faisant de la merde. Les gens sont scatophiles. La merde c’est bon, mangez-en.
Et ils venaient de sortir de la forêt. Mais ils n’avaient, malgré tout ce qui s’était passé, encore aucune trace de SSSSSSSSSSSSSSSSHHHHHHHHHHHHHHHARLES. Où était-il ? Peut être avait-il été écrasé par ces bulldozers. Mais non, pas possible. Alors quoi ? On regarda sur le sol, et vit pas mal de plumes. Les salauds avaient tué les oiseaux. Je venais, par ma simple imagination foireuse, et que j’ai limité parce que sinon vous devenez tarés, de raser une forêt entière. Flippant, n’est-ce pas ?
Mais bon, moi je dis toujours que l’imagination est l’un des meilleurs trucs que l’homme possède. Parce que grâce à ça, on fait ce qu’on veut. Alors, soyez imaginatif.
Quoi ? Putain, ça s’arrête comme ça ? Mais non, vite, balancez des blagues à la con, faut pas que le public soit dégoûté ! Vite ! Les bounty c’est vicieux ! Lol l’escargot qui mange du pop-corn ! Eh, virez moi ce mec qui essaye de faire de l’humour débile, ce n’est même pas drôle, et il a écrit « Lol » ! Comment ? C’est moi ? Alors cette fic est belle et bien perdue. Oh, mais… Attendez. Qu’est-ce dans le ciel ? Un oiseau ? Ah non, ils sont tous crevés. Un avion ? Mouais, hypothèse plausible. Un panier dans lequel un paquet de mouchoir dans la rumba avec des chiens en osier ? Heu… Mais non ! C’est…
TATATA ! (Vous voyez, comment faire de la musique même quand on n’a pas d’argent). Révélation, au prochain chapitre, qui arrivera demain surement, et non pas ce soir, comme dit en début. Désolé les fans, mais là j’ai une baisse de régime. Ça arrive, c’est dommage.
Ps : Si vous voulez m’insulter, m’envoyer des menaces de mort ou me spammer comme un furieux, voir même les trois à la fois, vous n’aurez pas mon adresse. En revanche, pour ce qui est demande de copulation, ou remerciements si vous souhaitez rester soft, je veux bien vous la filer. Laissez juste un commentaire. (Chaud ma tentative désespérée pour avoir des amis).
Suite à cette parenthèse, reprenons notre histoire où ils s’étaient arrêtés. Je parle ici des différents membres du groupe. Donc, ils avançaient dans la forêt. Et après toutes leurs conneries, ils tombèrent face à un ours. (Putain, ils en font de ces rencontres, un truc de ouf quoi).
-*Cri d’ours* (Oui, je ne sais pas ce que ça fait un ours, j’en ai jamais rencontré, vous voyez. Peut être que ça à grossomodo le même cri qu’un wookie. Ouais, c’est possible, après tout.)
-Un ours ! Courrez !
Et ils coururent. (Personnellement, et ça n’engage que moi, mais je trouve que mettre du passé dans une fic, ça relève l’ensemble. Ça fait vachement classe, et les gens aiment. Alors mettez du passé, le passé c’est bon, mangez en. Même si vous ne pouvez pas mettre du passé, mettez-en quand même. On ne vous pénalisera pas pour ça. Bon, dans de rares cas, peut être).
C’est ainsi qu’ils continuèrent de progresser dans cette forêt dense, qui faisait grossomodo la taille du stade de foot d’Olive et Tom, vu que ça fait déjà quelques chapitres que je parle de cette putain de forêt de merde ! Ah mais moi je vous dis, un coup de débroussailleuse, et de tronçonneuse, de taille bordure et de tondeuse à gazon, elle est plus là votre forêt. Amenez les bulldozers ! Rasez-moi cette forêt à la con ! Les personnages doivent avancer, bordel de crotte de zut de flute !
*VRRRROOUM* (ça c’est les bulldozers qui avancent) *CRAAAAAAAAAAAAARCK* (ça c’est les arbres qui se déracines) *SPROTCH* (ça c’est un oiseau qui a fait caca car il avait peur, mais on lui pardonne) *SSSSSSSSHHHHHHHHHHHHAR…GLEARGH !* (ça c’est le gars qui criait SSSSSSSSHHHHHHHARLES, qui s’appelle Jean car je viens de me souvenir de son nom, qui meurt écrasé par un bulldozer).
Vous savez, c’est cool d’écrire ça. On marque de la merde, les gens vous lisent, ça occupe leur vie et ça les fait rire. C’est génial, c’est pour ça que des gens gagnent bien leur vie, même en faisant de la merde. Les gens sont scatophiles. La merde c’est bon, mangez-en.
Et ils venaient de sortir de la forêt. Mais ils n’avaient, malgré tout ce qui s’était passé, encore aucune trace de SSSSSSSSSSSSSSSSHHHHHHHHHHHHHHHARLES. Où était-il ? Peut être avait-il été écrasé par ces bulldozers. Mais non, pas possible. Alors quoi ? On regarda sur le sol, et vit pas mal de plumes. Les salauds avaient tué les oiseaux. Je venais, par ma simple imagination foireuse, et que j’ai limité parce que sinon vous devenez tarés, de raser une forêt entière. Flippant, n’est-ce pas ?
Mais bon, moi je dis toujours que l’imagination est l’un des meilleurs trucs que l’homme possède. Parce que grâce à ça, on fait ce qu’on veut. Alors, soyez imaginatif.
Quoi ? Putain, ça s’arrête comme ça ? Mais non, vite, balancez des blagues à la con, faut pas que le public soit dégoûté ! Vite ! Les bounty c’est vicieux ! Lol l’escargot qui mange du pop-corn ! Eh, virez moi ce mec qui essaye de faire de l’humour débile, ce n’est même pas drôle, et il a écrit « Lol » ! Comment ? C’est moi ? Alors cette fic est belle et bien perdue. Oh, mais… Attendez. Qu’est-ce dans le ciel ? Un oiseau ? Ah non, ils sont tous crevés. Un avion ? Mouais, hypothèse plausible. Un panier dans lequel un paquet de mouchoir dans la rumba avec des chiens en osier ? Heu… Mais non ! C’est…
TATATA ! (Vous voyez, comment faire de la musique même quand on n’a pas d’argent). Révélation, au prochain chapitre, qui arrivera demain surement, et non pas ce soir, comme dit en début. Désolé les fans, mais là j’ai une baisse de régime. Ça arrive, c’est dommage.
Ps : Si vous voulez m’insulter, m’envoyer des menaces de mort ou me spammer comme un furieux, voir même les trois à la fois, vous n’aurez pas mon adresse. En revanche, pour ce qui est demande de copulation, ou remerciements si vous souhaitez rester soft, je veux bien vous la filer. Laissez juste un commentaire. (Chaud ma tentative désespérée pour avoir des amis).
Commentaires
- Pseudo supprimé
26/04/2011 à 23:07:22
Onch, t'en fais pas, tu en as, des amis.
(Nofake ! ) - Snake-suicide
26/04/2011 à 22:38:38
Putain mais je rigole
- GreenStatik
26/04/2011 à 21:39:19
C'EST UN...
Ah, non. En fait, c'est un chapitre ce coup-ci. Comme c'est rigolo. ~~