Note de la fic :
Publié le 04/10/2008 à 19:59:55 par Ptite_Princess
Nous étions redescendu à la fête. J'avais recommencé à boire et à discuter avec les filles. J'étais triste au fond, mais je voulais pas le montrer. Quand nous étions retournés dans le salon, Carole nous avait fixé avec un sourire narquois... AH! Je la détestais !!! Les gars jouaient encore à des jeux débiles où celui qui perd boit. Ben m'avait à peine regarder du coin de l'oeuil. Puis la soirée s'avança. Anto était distant. Il me donnait toujours des petits sourires au loin, et passait se main sur ma nuque quand il me croisait. Mais je sentais que c'était plus par tendresse que par désir. Il était presque 2h quand je le perdis de vue. Carole non plus n'était plus là...
Je compris alors ce qu'il entendait par "vivre l'instant". Oui ça me faisait de la peine d'être remplacé au pied levé... surtout par cette conne! Mais en même temps je le comprenais. J'avais pas assuré... Je ne reverrais peut etre plus jamais sa grosse queue si excitante. Je ne pourrais plus jamais le sentir bander dans mes mains ou dans ma bouche... Je m'en voulais de l'avoir déçu au point qu'il devait se taper une autre meuf dans la même soirée. Mais je ne voulais pas affronter le regard de Carole une fois qu'elle se serait faite sauter. Elle m'avait assez humilier. Alors je décidais qu'il était temps que je parte. Je dit "au revoir" aux filles. Puis me dirigea vers la porte d'entrée. La musique était assourdissante. J'ouvris la porte. Sortie. Et, au moment de refermer, je sentais une résistance. Ben se tenait là.
"- Sophie....
J'avais les larmes aux yeux. Je me sentais mal et mal à l'aise. Je voulais rentrer chez moi! Je ne répondis pas, laissant la porte à son bon vouloir, et je partis de chez lui. Je marchais lentement. La tête me tournait un peu. Il faut dire que j'avais jamais autant bu de ma vie! La porte se ferma et la musique était enfin un simple bruit sourd... Ça faisait du bien. Je traversais dans mon jardin et failli trébucher sur le tuyau d'arrosage de mon père.... Ben me rattrapa.
"- Sophie...
- Laisses moi!
- Arrêtes. Tu as trop bu, me dit-il d'un ton fraternel.
- En quoi ça te regarde?! Hein?! J'ai pas besoin d'un chaperon ! Laisse moi! Je criais presque.
Des larmes coulaient sur mon visage. Je ne savais plus où j'en étais avec lui, Julie, Anto...?! Tout ça se chamboulait dans ma tête jusqu'à ne faire qu'un gros nœud. J'atteignais les marches de mon palier. Je m'assis, trop fatiguée pour aller plus loin.
Ben vint s'assoir à côté de moi. Il ne disait rien. Moi je pleurais. Cette soirée avait été éprouvante: d'un coté excitante et jouissive, j'avais enfin vu et sentis dans ma bouche un pénis bien tendu; de l'autre très pénible, niveau sentiments et amour propre. Je pleurais toujours. Pas de gros sanglots. Mais les larmes coulaient toutes seules.
Je compris alors ce qu'il entendait par "vivre l'instant". Oui ça me faisait de la peine d'être remplacé au pied levé... surtout par cette conne! Mais en même temps je le comprenais. J'avais pas assuré... Je ne reverrais peut etre plus jamais sa grosse queue si excitante. Je ne pourrais plus jamais le sentir bander dans mes mains ou dans ma bouche... Je m'en voulais de l'avoir déçu au point qu'il devait se taper une autre meuf dans la même soirée. Mais je ne voulais pas affronter le regard de Carole une fois qu'elle se serait faite sauter. Elle m'avait assez humilier. Alors je décidais qu'il était temps que je parte. Je dit "au revoir" aux filles. Puis me dirigea vers la porte d'entrée. La musique était assourdissante. J'ouvris la porte. Sortie. Et, au moment de refermer, je sentais une résistance. Ben se tenait là.
"- Sophie....
J'avais les larmes aux yeux. Je me sentais mal et mal à l'aise. Je voulais rentrer chez moi! Je ne répondis pas, laissant la porte à son bon vouloir, et je partis de chez lui. Je marchais lentement. La tête me tournait un peu. Il faut dire que j'avais jamais autant bu de ma vie! La porte se ferma et la musique était enfin un simple bruit sourd... Ça faisait du bien. Je traversais dans mon jardin et failli trébucher sur le tuyau d'arrosage de mon père.... Ben me rattrapa.
"- Sophie...
- Laisses moi!
- Arrêtes. Tu as trop bu, me dit-il d'un ton fraternel.
- En quoi ça te regarde?! Hein?! J'ai pas besoin d'un chaperon ! Laisse moi! Je criais presque.
Des larmes coulaient sur mon visage. Je ne savais plus où j'en étais avec lui, Julie, Anto...?! Tout ça se chamboulait dans ma tête jusqu'à ne faire qu'un gros nœud. J'atteignais les marches de mon palier. Je m'assis, trop fatiguée pour aller plus loin.
Ben vint s'assoir à côté de moi. Il ne disait rien. Moi je pleurais. Cette soirée avait été éprouvante: d'un coté excitante et jouissive, j'avais enfin vu et sentis dans ma bouche un pénis bien tendu; de l'autre très pénible, niveau sentiments et amour propre. Je pleurais toujours. Pas de gros sanglots. Mais les larmes coulaient toutes seules.