Vers 23h35, l'alcool aidant, tout le monde dansait, chantait, papotait ou jouait. J'avais beaucoup bu. Les gars jouaient à un jeux avec leur bouteilles de bière. Cela consistait à se mettre assis, jambes écartées, pieds collé les uns aux autres, une bouteille pleine devant soit, avec sa capsule à l'envers dessus. Une capsule était pliée en deux et servait de projectile pour décocher les capsules des autres. Si on touchait, l'autre buvait. Ben et trois des gars s'amusaient bien. Ils parlaient fort et se marraient. L'autre gars était sur un fauteuil avec Chloé, en train de la caresser dans le dos et sur les cuisses. Et les autres filles discutaient chiffon autour de la table du salon. La musique menait toujours l'ambiance. Anto profita de ce moment suspendu pour me tirer devant la porte d'entrée dans le couloir.
"- Ca va ma douce? Tu passes une bonne soirée?
- Oui merci.
Ma tête tournait un peu, mais j'étais détendue... j'étais vraiment bourrée! Il pris mon visage entre ses mains, et m'embrassa. Carole nous voyait dans le coin de la porte. Alors je me collais encore plus à lui.
- Emmènes moi loin d'ici, soufflais-je dans son oreille.
- T'es sûr?
Je ne répondis pas. Et commençait à aller vers les escaliers en lui tendant la main. Il me suivit. J'espérais que cette connasse nous avait vu et qu'elle serait bien verte. Je montais la première marche. A ce niveau, nous étions cachés des autres, et Anto était tout près de moi.
"- Je veux voir ce que tu m'as promis maintenant."
Il me regardait, excité. Je l'embrassais. Mes mains se posèrent sur son torse, caressant de tout son long jusqu'à son ventre. Puis glissèrent dans son dos et effleuraient sa chemise fine, puis ses fesses sur son jean. Je me collais à lui. Je sentais son cœur battre plus fort. Je sentais mon corps le désirer encore et encore. La musique résonnait dans ma tête.
Nous sommes montés à l'étage. Je passais devant la chambre de Julie... Non, pas là. La chambre de Ben... Non, pas là non plus. La chambre des parents... mmm... pourquoi pas. Une fois dedans, je fermais le loquet de la porte. Le petit bruit m'envoya des frissons, car je réalisais que j'étais là, avec Anto, prête à découvrir ce que j'avais toujours voulu....
La musique nous provenait en bruit sourd. Anto me regardait intensément. Mais il me laissait faire. Je m'approchais de lui, doucement. Ma langue humecta mes lèvres et mes mains allèrent sous sa chemise. Il était doux. Le contact de sa peau me faisait frémir. Je commençais à être vraiment fébrile! Ses mains caressaient mon visage, il ne me quittait pas des yeux. Puis, je sortie mes mains et commença à défaire sa chemise. Ma chatte picotait, j'avais envie qu'il me caresse. Quand j'eus fini de défaire les boutons, il m'embrassa. J'aimais trop le contact de sa langue. Il était doux et puissant à la fois... c'était un délice. Je dénudais ses épaules et embrassais son torse nu. Je léchais ses mamelons, embrassais le bas de son ventre, à la frontière avec son jean. Il commençait à respirer un peu plus fort. Ses mains caressaient mon dos et se crispaient un peu. Puis il pris les choses en main. Il se recula et se mis dans mon dos. Il attrapait mes mains, et se collait à moi. Je sentais quelque chose de dur au niveau de mes fesses.... "Je le fais bander", pensais-je. Cela m'excita encore plus et je commençais à être vraiment trempée entre les jambes. Il me caressa les seins, et les tenait fermement. En même temps il me poussait jusque devant le lit....