Note de la fic :
Publié le 25/02/2012 à 22:40:00 par GodeHatesUs
Quand je dis différents, je veux dire... bizarres quoi. Chelous t'as vu.
La première personn... chose que je vis fut un vieux mec tout fripé et légèrement défiguré qui jouait de la guitare en hurlant des paroles incompréhensibles, dont le gobelet des recettes trônant à ses pieds semblait bidesquement vide
Trois kikoo-putes étouffant sous leur maquillage "discutaient" (pour ne pas dire "hurlaient")de quelques aventures à base de baize avec leurs trois copains tout aussi wesheux. Depuis que j'étais entrée, elles me regardaient furtivement en pouffant de rire, j'avais tendance à pas trop apprécier
Mais au fond du wagon, c'était le pire : quatre types en costume, propres et soignés (ces adjectifs sont là pour faire le contraste avec les autres pouilleux du wagon ), qui se faisaient des messes basses. Ils semblaient regarder vers moi, mais ils portaient des lunettes alors j'en étais pas sûr, allez comment ils trichent lÃ
On est où là ? Matrix ? Men in Black ?
Anyway, c'était un peu flippant, alors je me suis calé loin de tous, tout devant, comme un assoc'
Alors que je posais mon sac pour me mettre à l'aise, un wesh s'approcha de moi en rigolant comme un triso (avec tout le respect que je dois aux trisomiques bien entendu ) :
- zyva pelo ta pa 1 fe?
- Nan désolé je fume pas, avais-je dit en posant mes affaires au sol.
- azy rgard moi kan jte parl ckoi ton probleme?!
Putain, voilà pourquoi j'aime pas la ville
J'ai senti un de ses deux potes se ramener en riant, alors je serrai le manche d'un des outils que j'avais, sans trop savoir ce que c'était, mais prêt à le dégainer
Je ne dis rien et le pote du macaque me prit par les cheveux, ce qui sonnait pour moi comme son glas (c'est joli ça ).
Je sortis ce que je tenais en main, ce qui s'avéra être le tournevis, et je balançais un poing dans laggle du premier wesh, qui ne vit rien venir et tomba au sol. Son pote gros et gras n'eut pas le temps de réagir et je fis un joli trou dans sa carotide à l'aide du tournevis.
Ce mec étant éliminé, j'allai pour finir l'autre à terre, mais le troisième enfoiré s'empara de mon arme Qu'à cela ne tienne, je me ruai vers le clodo qui continuait de chanter comme un imbécile pour donner une mandale et lui emprunter sa guitare
Ma partie de Left 4 Dead de cet après-midi m'avait inspiré, car je défonçai le crâne du connard qui avait volé mon cher tournevis ainsi que du premier malingre qui tentait de se relever.
Petite analyse pratique de la situation à cet instant : le gros baignait dans son sang, les deux autres étaient complètement assomés et le vieux SDF s'était caché dans un coin. Pas mal
Il restait les trois filles, j'aurais pu forcer le V d'une d'entre elles si elle était seule, mais les trois en même temps elles me laisseront jamais faire
Si les sous-fifres de Morsay étaient hors d'état de nuire, les quatre mystérieux hommes du fond me regardaient calmement et ça me mettait foutrement mal à l'aise, mais mon côté badass ressurgit.
- Un problème, les quatre du fond ? criai-je en les pointant du doigt en mode beau gosse.
Toujours pas de réponse, qu'est-ce que ça peut être frustrant Au lieu de ça, l'un deux sortit un carnet de notes et commença à écrire pas mal de choses dessus.
Le métro s'arrêta, ils sortirent un par un devant moi, suivis des trois grognasses en larmes qui récupérèrent leurs petits potes. Les quelques personnes qui voulaient entrer sont reparties aussitôt en voyant les corps ensanglantés au sol
Le métro repartit. Je rangeai soigneusement mon tournevis, rendis sa guitare au vieil alcoolo blotti dans le coin, et me rassis en mettant ma musique dans les oreilles.
Ouais, vraiment, c'est toujours spécial de prendre le métro
La première personn... chose que je vis fut un vieux mec tout fripé et légèrement défiguré qui jouait de la guitare en hurlant des paroles incompréhensibles, dont le gobelet des recettes trônant à ses pieds semblait bidesquement vide
Trois kikoo-putes étouffant sous leur maquillage "discutaient" (pour ne pas dire "hurlaient")de quelques aventures à base de baize avec leurs trois copains tout aussi wesheux. Depuis que j'étais entrée, elles me regardaient furtivement en pouffant de rire, j'avais tendance à pas trop apprécier
Mais au fond du wagon, c'était le pire : quatre types en costume, propres et soignés (ces adjectifs sont là pour faire le contraste avec les autres pouilleux du wagon ), qui se faisaient des messes basses. Ils semblaient regarder vers moi, mais ils portaient des lunettes alors j'en étais pas sûr, allez comment ils trichent lÃ
On est où là ? Matrix ? Men in Black ?
Anyway, c'était un peu flippant, alors je me suis calé loin de tous, tout devant, comme un assoc'
Alors que je posais mon sac pour me mettre à l'aise, un wesh s'approcha de moi en rigolant comme un triso (avec tout le respect que je dois aux trisomiques bien entendu ) :
- zyva pelo ta pa 1 fe?
- Nan désolé je fume pas, avais-je dit en posant mes affaires au sol.
- azy rgard moi kan jte parl ckoi ton probleme?!
Putain, voilà pourquoi j'aime pas la ville
J'ai senti un de ses deux potes se ramener en riant, alors je serrai le manche d'un des outils que j'avais, sans trop savoir ce que c'était, mais prêt à le dégainer
Je ne dis rien et le pote du macaque me prit par les cheveux, ce qui sonnait pour moi comme son glas (c'est joli ça ).
Je sortis ce que je tenais en main, ce qui s'avéra être le tournevis, et je balançais un poing dans laggle du premier wesh, qui ne vit rien venir et tomba au sol. Son pote gros et gras n'eut pas le temps de réagir et je fis un joli trou dans sa carotide à l'aide du tournevis.
Ce mec étant éliminé, j'allai pour finir l'autre à terre, mais le troisième enfoiré s'empara de mon arme Qu'à cela ne tienne, je me ruai vers le clodo qui continuait de chanter comme un imbécile pour donner une mandale et lui emprunter sa guitare
Ma partie de Left 4 Dead de cet après-midi m'avait inspiré, car je défonçai le crâne du connard qui avait volé mon cher tournevis ainsi que du premier malingre qui tentait de se relever.
Petite analyse pratique de la situation à cet instant : le gros baignait dans son sang, les deux autres étaient complètement assomés et le vieux SDF s'était caché dans un coin. Pas mal
Il restait les trois filles, j'aurais pu forcer le V d'une d'entre elles si elle était seule, mais les trois en même temps elles me laisseront jamais faire
Si les sous-fifres de Morsay étaient hors d'état de nuire, les quatre mystérieux hommes du fond me regardaient calmement et ça me mettait foutrement mal à l'aise, mais mon côté badass ressurgit.
- Un problème, les quatre du fond ? criai-je en les pointant du doigt en mode beau gosse.
Toujours pas de réponse, qu'est-ce que ça peut être frustrant Au lieu de ça, l'un deux sortit un carnet de notes et commença à écrire pas mal de choses dessus.
Le métro s'arrêta, ils sortirent un par un devant moi, suivis des trois grognasses en larmes qui récupérèrent leurs petits potes. Les quelques personnes qui voulaient entrer sont reparties aussitôt en voyant les corps ensanglantés au sol
Le métro repartit. Je rangeai soigneusement mon tournevis, rendis sa guitare au vieil alcoolo blotti dans le coin, et me rassis en mettant ma musique dans les oreilles.
Ouais, vraiment, c'est toujours spécial de prendre le métro