la fille que j'aime
Par : jajanji
Genre : Fantastique, Sentimental
Statut : C'est compliqué
Chapitre 7 : ...
Publié le 26/03/2012 à 20:29:15 par jajanji
-Ah je vois que tu es réveillé me dit l?infirmière
-Les vôtres aussi...euh ouais, répondis-je.
-
-Depuis combien de temps suis-je ici 2 3 mois ?
-Pour tout tout te dire t'es là depuis 2 jours.
-Mayrde
-Bah c'est bien non ?
-Hein ... heu ouais
-Bon ta mère est arrivée...
-Mathieu qu'est-ce qui s'est passé, hurla ma mère, qui t'as fait ça ???
Je lui racontai tout...
-Blabla... la fille... blabla... le ciné... blabla les wesh... blabla... le coup de couteau...
- on va te changer de lycée tu iras au lycée Descartes.
-C'est tout ce que tu trouve à dire ?
-Parles mieux a ta mère ok !
-On changera pas putain !
-Ta gueule, dit-elle en me mettant une gifle .
-Pu...Putain tu veux que je crève sale conne ?!?
-(">
-Fais la gueule mais barre toi je veux plus te voir INFIRMIEEEEEEEERRRRRRRRRREEEEEEEEE
-Oui, dit l'infirmière au gros boobs, qu'y a t'il ?
-Cette femme n'est pas ma mère et elle m'a tapé
-Tu vas voir à la maison ! (">
-Je ne vous connais pas madame
-Grrr
-SECURITEEEEEEEE SECURITEEEEEEE, hurla l?infirmière.
Deux hommes d'environ 1m90 et très musclés arrivaient et attrapaient ma mère pour la conduire hors de ma chambre...
-
-Allez je te laisse te reposer hihi
-Merci
L'infirmière sortait de la salle ... Je sortait par la fenêtre en prenant de la morphine et des scalpels j'allais commencer un périple inimaginable ...
Bien entendu je suis rentré chez moi j'ai mis mon jogging mes Nike air force one, mon tee-shirt TM (Tonny Montana pour les groteux )je prenais mon sac j'y mettais des couteaux de cuisines et mon flingue à bille et sur mon dos mon épée en acier aiguisé de ichigo (héros de bleach) je l'accrochai a mon dos.
Mais avant tout il était 17heures donc j'accourus devant le collège ça venait de sonner Manon sortait avec ses amies et me vit et accourut vers moi ...
-Mathieu ça va
-Ouais et toi, dis-je en la prenant dans mes bras, mais t'as pas vu le c*n qui m'a planté :stp:
-Fabien ? Il est là-bas...
-Je reviens, dis-je en empoignant mon épée ...
Commentaires
- snake-of-fire
27/03/2012 à 15:04:57
L'absurdité du dialogue avec la mère, ça pourrait le faire si c'était un parti pris de la fic, or, depuis le début tu fais une fic censé être réaliste, je trouve donc que c'est pas vraiment en adéquation avec le thème... mais bon, pourquoi pas, c'est ptet parce que tu veux changer de style.
Deja, le coup de service de sécurité dans l'hopital... j'suis pas convaincu hein
ce chapitre est en deux partie, le dialogue absurde, et la confection de l'arsenal.
Pour la première partie, j'ai deja dis ce que j'en pensais, quant à la deuxième, c'est bourré de chose illogique.
Un peu de perfectionnisme ne fait pas de mal, il faut s'attarder un peu sur les details :
La morphine, c'est un opiacé utilisé à but médical. C'est cher, c'est dangereux, et c'est réservé à des cas précis de malades qui souffrent. Ton héros, avec sa balafre, n'est pas concerné par ce traitement.
Or, la morphine est toujours scellé, pour éviter justement le vol par d'éventuelle toxico (que ça soit dans les hopitaux ou les pharmacies), ça a rien a foutre dans la chambre du héros, donc le coup du vol de morphine, c'est totalement absurde
Pour le coup du scalpel, peut être que je me trompe, mais étant donné que c'est utilisé pour inciser les malades, cet outils est contraint à des critères d'asceptisation draconien.
Du coup, je les imagine mal laisser trainer des scalpel dans n'importe quelle chambre, vu qu'il faut préparer toujours ces outils avec soin
Pour terminer, il est techniquement interdit de se balader en ville avec un tel arsenal d'armes blanches, j'imagine donc très mal que le perso soit assez con pour amené autant de lames, dont une épée bien visible sur son dos, et qu'il se trimballe ainsi jusqu'a son école
Et enfin, j'imagine que t'as voulu te donner un genre style gros guerrier rambo avec la fin du chapitre, mais à y reflechir 2 sec, se trimballer avec autant d'armes blanches est plusd encombrant qu'autre chose, une unique lamearait largmeent suffit, car il peut pas se servir de tout à la fois, donc quel interet d'en avoir autant...
Bref, au final, ça s'éloigne un peu des clichés, qu'on voit fréquement, mais en detriment de la cohérence du texte - Pseudo supprimé
27/03/2012 à 11:36:57
Bon la c'est sur on peut plus rien faire pour toi