Note de la fic :
Publié le 18/07/2012 à 11:18:03 par para-neuski
Le jour de mes dix-huit ans, je me rendis compte que je ne m’étais pas rasé depuis trois ans … Chacun de ces poils qui composaient ma barbe hirsute me rappelaient à quel point ces trois années de souffrance sont passées vite … Je me rasai proprement, et je descendis prendre un peu l’air … En bas, je croisai monsieur et madame, monsieur massant le dos douloureux de madame … Quand ils me virent sortir, avec mon colt glissé dans mon pantalon, ils me regardèrent, inquiets, puis madame me demanda ce que je comptais faire … Sans répondre, et même sans leur accorder un regard, je sortis donc, mon sac sur le dos, la photo de ma sœur dans la main …
Ma première étape fut d’aller retirer de l’argent a la banque … Le portique de sécurité sonna, bien sûr, et je laissai mon arme au vigile, avant de me diriger vers un guichet ou je retirai 500€ … Puis j’allai dans un bar … Le genre de bar poisseux et dégueulasse ou devaient trainer une bonne partie des truands de la capitale … Je commandai une bière … Une fille, au comptoir, me regardait avec insistance, mais détournait le regard quand je la regardai à mon tour … En fait, elle était plutôt jolie, ses cheveux châtains coulaient comme l’eau d’une cascade jusqu’au milieu de son dos, le débardeur qu’elle portait sous son blouson en cuir laissait bien admirer sa poitrine généreuse …
Mais ma soirée paisible et mal tournée fut rapidement troublée par l’arrivée d’une bande de mecs bruyants, visiblement ivres morts, qui semblaient vouloir frapper quelqu’un … Ou simplement vider leurs grosses et horribles couilles trop velues, à en juger par la manière dont ils regardaient la jeune fille au comptoir … Un d’entre eux s’approcha d’elle, lui fit des avances, qu’elle refusa … Elle semblait inquiète … Les deux autres vinrent à leur tour, et ils la saisirent par les bras, pour la trainer hors du bar, dans une ruelle sombre … Enfin, pas si sombre que ça …
Les cris qui venaient au bar étaient immondes … Atroces … Ils me rappelaient ceux de ma sœur … Je me levai brutalement, je saisis mon pistolet, toujours glissé dans mon pantalon, insérais le chargeur dedans, et fonçais dans cette ruelle … Au peu de lumière qui se dégageait, je distinguais les trois cons, tous en train de s’adonner à cet acte ignoble sur cette jeune fille … N’ayant pas chambré mon arme, je reculais la culasse avec le plus de bruit possible … Les trois se retournèrent, et la jeune fille me regardait, terrorisée … Je dis aux hommes de partir, et de ne jamais refaire ça, parce que je serais toujours dans les rues de la capitale, à marcher et a rôder, traquant les criminels comme eux … Ils ne se firent pas prier, et la jeune fille se cacha derrière un carton, comme si elle craignait que je la viole à mon tour … La seule raison pour laquelle j’avançais vers elle était pour savoir si elle allait bien … Le barman ayant alerté la police, ceux-ci déboulèrent dans la ruelle, et, étant un fugitif, je m’enfuis de cette ruelle, comme si j’avais la mort aux trousses, sans même prendre le temps de m’enquérir de la santé de cette jeune fille …
Ma première étape fut d’aller retirer de l’argent a la banque … Le portique de sécurité sonna, bien sûr, et je laissai mon arme au vigile, avant de me diriger vers un guichet ou je retirai 500€ … Puis j’allai dans un bar … Le genre de bar poisseux et dégueulasse ou devaient trainer une bonne partie des truands de la capitale … Je commandai une bière … Une fille, au comptoir, me regardait avec insistance, mais détournait le regard quand je la regardai à mon tour … En fait, elle était plutôt jolie, ses cheveux châtains coulaient comme l’eau d’une cascade jusqu’au milieu de son dos, le débardeur qu’elle portait sous son blouson en cuir laissait bien admirer sa poitrine généreuse …
Mais ma soirée paisible et mal tournée fut rapidement troublée par l’arrivée d’une bande de mecs bruyants, visiblement ivres morts, qui semblaient vouloir frapper quelqu’un … Ou simplement vider leurs grosses et horribles couilles trop velues, à en juger par la manière dont ils regardaient la jeune fille au comptoir … Un d’entre eux s’approcha d’elle, lui fit des avances, qu’elle refusa … Elle semblait inquiète … Les deux autres vinrent à leur tour, et ils la saisirent par les bras, pour la trainer hors du bar, dans une ruelle sombre … Enfin, pas si sombre que ça …
Les cris qui venaient au bar étaient immondes … Atroces … Ils me rappelaient ceux de ma sœur … Je me levai brutalement, je saisis mon pistolet, toujours glissé dans mon pantalon, insérais le chargeur dedans, et fonçais dans cette ruelle … Au peu de lumière qui se dégageait, je distinguais les trois cons, tous en train de s’adonner à cet acte ignoble sur cette jeune fille … N’ayant pas chambré mon arme, je reculais la culasse avec le plus de bruit possible … Les trois se retournèrent, et la jeune fille me regardait, terrorisée … Je dis aux hommes de partir, et de ne jamais refaire ça, parce que je serais toujours dans les rues de la capitale, à marcher et a rôder, traquant les criminels comme eux … Ils ne se firent pas prier, et la jeune fille se cacha derrière un carton, comme si elle craignait que je la viole à mon tour … La seule raison pour laquelle j’avançais vers elle était pour savoir si elle allait bien … Le barman ayant alerté la police, ceux-ci déboulèrent dans la ruelle, et, étant un fugitif, je m’enfuis de cette ruelle, comme si j’avais la mort aux trousses, sans même prendre le temps de m’enquérir de la santé de cette jeune fille …