Note de la fic :
Le prix de l'honneur
Par : para-neuski
Genre : Action, Réaliste
Statut : C'est compliqué
Chapitre 9 : Dachau
Publié le 26/05/2012 à 20:51:48 par para-neuski
Tandis que je flânais tranquillement dans la banlieue nord de Munich, j’aperçus deux officiers SS, en uniforme noir, qui marchaient paisiblement, en discutant nerveusement a propos de personnes s’étant échappées d’une prison, ou quelque chose du genre … Je décidais de les aborder pour demander la direction du QG de la SS dans le coin. Ils me répondent que le premier poste SS est à cinquante kilomètres au sud, afin d’éviter les bombardements sur Munich … Ils m’apprirent également la présence d’un foyer pour officiers SS, à quelques kilomètres, et que c’est justement la bas qu’ils allaient … Alors ils me proposèrent de venir y passer mon congé, afin de pouvoir me reposer dans de bonnes conditions. Arrivé à la porte de ce « foyer pour SS en transit », je vis un écriteau indiquant « camp de concentration de Dachau, entrée interdite ! » … accueillant, me dis-je. Le plus haut gradé des deux officiers, un Sturmbannführer, demanda à un garde de prendre une voiture et de m’accompagner, que j’aille chercher mes affaires … Ce Sturmmann était vraiment un bon conducteur, et il connaissait la ville comme sa poche, si bien qu’en un rien de temps, nous étions arrivés dans cette auberge, et quand le patron me vit, il me hurla dessus de prendre mes affaires, de partir, et surtout de ne jamais revenir … Il semblait avoir eu une petite conversation avec sa fille … Tandis que mon Sturmmann pointa sa MP44 (nouveau modèle, ça fait toujours plus d’effet …) sur le patron, je sortis mon Luger, je le pointais sur son cou graisseux, et je montais dans la chambre, tandis que le Sturmmann (qui, d’ailleurs, s’appelait Hermann Dirlewanger) montait la garde devant ma porte, le temps que je rassemble le peu d’affaires que j’avais ! Au moment de sortir, je vis le patron, adossé contre un mur, un agent de la Gestapo, en civil, reconnaissable avec son imperméable en cuir noir, le tenait en joue avec son Walther modèle PPK pointé entre ses deux yeux … Un autre agent se tient près de la porte, tandis qu’un dernier se servait un verre de Schnaps. Celui près de la porte se mit au garde-à-vous, et ses collègues l’imitèrent également. La fille du patron, elle, était tétanisée de peur, adossée à un mur. Je posai ma valise par terre, et sortis mon Luger de son étui. En pointant mon arme entre ses yeux, je vis non plus de la peur, ni même de la terreur, mais franchement de la haine dans ses yeux. Elle pensait venir la mort, et ressentait de la haine pour cet officier Berlinois qui allait lui apporter le repos éternel … Puis j’appuyais sur la gâchette, et un simple cliquetis se fit entendre … et pour cause, j’avais chargé mon arme à vide ! A ce moment, je sortis en souriant, tandis que Dirlewanger reprenait sa place au volant de l’Opel, et les agents de la Gestapo qui remontent dans leur voiture en riant aux éclats.
De retour au camp, je pris la route de la SS-Haus. Malheureusement, pour cela, il fallait passer près de bâtiments desquels se dégageait une odeur putride de chair brûlée, âcre et insupportable … Après avoir passé ce point, je me demandais ce qui pouvait bien causer une telle odeur répugnante ! En entrant dans la Haus, je compris à moitié ce qui se passait … Des SS, hommes et femmes, qui s’adonnaient à une étrange orgie … Tandis que gardes et Aufseherinen ripaillaient, baisaient, vomissaient ou se battaient entre eux, des femmes en pyjama rayé blanc et bleu se trouvaient pendues par les mains a des crochets, tandis que des coups de feu claquaient … Pour un peu, je me serais cru dans un western américains des années 1920 ! Au moment où un des gardes, qui était en train de s’enfiler joyeusement une jeune Aufseherin blonde, me vit, il me proposa de prendre l’autre place (sous-entendu qu’il voulait que je sodomise sa partenaire …) …
Au lieu de faire cela, j’allai voir le Rottenführer a la réception, qui me donna une chambre … A peine ais-je posé ma valise que je me déshabillai pour me laver. Après cette brève détente, je mis mon uniforme de service d’officier, impeccablement lavé, impeccablement repassé, les bottes cirées. En effet, je décidai d’aller voir le commandant du camp, le SS-Hauptsturmführer Eduard Weiter. En descendant, je tombais sur la même orgie, mais en pire, car les SS qui étaient calmement accoudés au comptoir s’étaient maintenant mêlés à la fête … Mais au lieu de ripailler ou de s’envoyer en l’air, ils frappaient les prisonnières pendues … Je sortis en allumant une cigarette, et je marchais tranquillement vers le poste de commandement du camp. J’arrivais alors devant une belle secrétaire, qui sourit en me voyant … Son visage me disait quelque chose, et quand je reconnus ce visage magnifique et radieux, je me dis que cet asile de mort pouvait aussi être le refuge des anges …
De retour au camp, je pris la route de la SS-Haus. Malheureusement, pour cela, il fallait passer près de bâtiments desquels se dégageait une odeur putride de chair brûlée, âcre et insupportable … Après avoir passé ce point, je me demandais ce qui pouvait bien causer une telle odeur répugnante ! En entrant dans la Haus, je compris à moitié ce qui se passait … Des SS, hommes et femmes, qui s’adonnaient à une étrange orgie … Tandis que gardes et Aufseherinen ripaillaient, baisaient, vomissaient ou se battaient entre eux, des femmes en pyjama rayé blanc et bleu se trouvaient pendues par les mains a des crochets, tandis que des coups de feu claquaient … Pour un peu, je me serais cru dans un western américains des années 1920 ! Au moment où un des gardes, qui était en train de s’enfiler joyeusement une jeune Aufseherin blonde, me vit, il me proposa de prendre l’autre place (sous-entendu qu’il voulait que je sodomise sa partenaire …) …
Au lieu de faire cela, j’allai voir le Rottenführer a la réception, qui me donna une chambre … A peine ais-je posé ma valise que je me déshabillai pour me laver. Après cette brève détente, je mis mon uniforme de service d’officier, impeccablement lavé, impeccablement repassé, les bottes cirées. En effet, je décidai d’aller voir le commandant du camp, le SS-Hauptsturmführer Eduard Weiter. En descendant, je tombais sur la même orgie, mais en pire, car les SS qui étaient calmement accoudés au comptoir s’étaient maintenant mêlés à la fête … Mais au lieu de ripailler ou de s’envoyer en l’air, ils frappaient les prisonnières pendues … Je sortis en allumant une cigarette, et je marchais tranquillement vers le poste de commandement du camp. J’arrivais alors devant une belle secrétaire, qui sourit en me voyant … Son visage me disait quelque chose, et quand je reconnus ce visage magnifique et radieux, je me dis que cet asile de mort pouvait aussi être le refuge des anges …