Note de la fic :
Publié le 12/06/2012 à 16:43:38 par alcolol
Cela faisait neuf ans que la terre avec craquée et que l’air s’était enflammé. Les pertes humaines et matérielles ont été considérables. Aujourd’hui ne subsistait que quelques groupes de survivants ici ou là . Certains disparaissaient au gré des conflits entre les clans ou encore à cause des épidémies d’automnes. La nature s’était rebellée contre celui qui l’avait mise dans un carcan de métal et de béton.
Aujourd’hui, dans ce monde de ruine et de poussières, combattait deux idéologies. Ces idéologies âprement défendues par les deux clans, souvent dans de terribles bains de sang, étaient d’une absurdité propre à l’humain.
Le clan des Nos défendait la survie et la vie après les évènements, mais en gardant des racines dans le passé. Une entente cordiale entre les groupes, un partage des taches, une volonté de garder le peu d’humanité qu’il restait dans chacun, pour monter une sorte de mini civilisation pacifique, une démocratie. Et défendant les valeurs de l'autarcie, cultiver sa terre, chasser, glaner les minces ressources non périssables dans les ruines...
L’autre clan, celui des Neo, défend une vie tournée vers l’avenir. Un avenir où l’homme fort prime. Un chef, un gourou, un dictateur... Appelez ça comme vous le voulez. Ces hommes et femmes sont comme redevenus à l’état sauvage. Leur faim justifie leur moyen. Trouvant la chair humaine à leur goût, et sa chasse plus facile et plus amusante qu’un maigre gibier. Le rapport de force dans ce clan est plus important que chez les Nos. Pour pouvoir avancer, les membres de Neo, ont besoin des directives et des accords de leur chef du moment. Chaque chef est désigner lors d'un combat a mort, une homme ou une femme provoque en duel le chef de clan puis se battent jusqu'à ce que mort s'en suive.
D'autres survivants, ont préféré vivre seul, en Hermite. Selon eux, la clé de la survie dans un monde pareil était la solitude. Ces petits groupes indépendants se raréfiaient, chassé par les Néo, ils ont préférés (pour une grande majorité d'entres eux) intégrer la sécurité d’un groupe plutôt que de finir en plat, servi avec une bouillie de maïs.
Ce fut lors de la 2 années après les évènements que tout changea. Les derniers militaires n’ayant plus d’ordre décrétèrent que Kohdar était perdue. Il n’y avait plus de gouvernement, plus de police, plus d’armée. Maintenant, c’était chacun pour soi. Alors commença pour les survivant une course à l’armement. Une arme ? Pour défendre sa famille et soi-même mais aussi défendre ses biens et sa nourriture. De véritables bains de sang s’en suivirent. Des camps de réfugiés complément détruits, pillés et incendiés. Des morts à la pelle. Voilà comment le clan des néo s’est formé. Les Nos étant leurs victimes.
Kohdar la grande, n’est plus. Les ruines témoignent de ce qu’elle était, puissante, hautaine, audacieuse, à l’épreuve de la nature. Aujourd’hui, les plantes et les animaux sauvages commençaient à recoloniser la ville. Mais ces plantes avaient changé. Auparavant, souffrant de pénurie d’eau, elles ne poussaient guères, les mutations qu’elles ont subies lors des événements les ont transformé en de gigantesques plantes vivaces, carnivores pour certaines.
Il est donc peu prudent de sen approcher sauf si on connaît ses dangers. La disparation de millions voir de milliards d’habitant avait permis à la terre de se reposer et de se régénérer. Là où peinait les agriculteurs du gouvernement à faire pousser quelques plants se dressait aujourd’hui des fourrés luxuriants.
L’air ambiant était redevenu sain depuis 2 ans seulement. Les derniers brasiers avaient fini de se consumer. Les fumées et autres pollutions atmosphériques avaient étés chassés par les grands vents d’hiver au large. Une forêt imposante s’était recréée à une vitesse folle tout autour de l’ancienne mégapole. Ce fut une aubaine pour les survivants, ce bois leurs a permis de survivre en braconnant et en cueillant des fruits sauvages.
Aujourd’hui, dans ce monde de ruine et de poussières, combattait deux idéologies. Ces idéologies âprement défendues par les deux clans, souvent dans de terribles bains de sang, étaient d’une absurdité propre à l’humain.
Le clan des Nos défendait la survie et la vie après les évènements, mais en gardant des racines dans le passé. Une entente cordiale entre les groupes, un partage des taches, une volonté de garder le peu d’humanité qu’il restait dans chacun, pour monter une sorte de mini civilisation pacifique, une démocratie. Et défendant les valeurs de l'autarcie, cultiver sa terre, chasser, glaner les minces ressources non périssables dans les ruines...
L’autre clan, celui des Neo, défend une vie tournée vers l’avenir. Un avenir où l’homme fort prime. Un chef, un gourou, un dictateur... Appelez ça comme vous le voulez. Ces hommes et femmes sont comme redevenus à l’état sauvage. Leur faim justifie leur moyen. Trouvant la chair humaine à leur goût, et sa chasse plus facile et plus amusante qu’un maigre gibier. Le rapport de force dans ce clan est plus important que chez les Nos. Pour pouvoir avancer, les membres de Neo, ont besoin des directives et des accords de leur chef du moment. Chaque chef est désigner lors d'un combat a mort, une homme ou une femme provoque en duel le chef de clan puis se battent jusqu'à ce que mort s'en suive.
D'autres survivants, ont préféré vivre seul, en Hermite. Selon eux, la clé de la survie dans un monde pareil était la solitude. Ces petits groupes indépendants se raréfiaient, chassé par les Néo, ils ont préférés (pour une grande majorité d'entres eux) intégrer la sécurité d’un groupe plutôt que de finir en plat, servi avec une bouillie de maïs.
Ce fut lors de la 2 années après les évènements que tout changea. Les derniers militaires n’ayant plus d’ordre décrétèrent que Kohdar était perdue. Il n’y avait plus de gouvernement, plus de police, plus d’armée. Maintenant, c’était chacun pour soi. Alors commença pour les survivant une course à l’armement. Une arme ? Pour défendre sa famille et soi-même mais aussi défendre ses biens et sa nourriture. De véritables bains de sang s’en suivirent. Des camps de réfugiés complément détruits, pillés et incendiés. Des morts à la pelle. Voilà comment le clan des néo s’est formé. Les Nos étant leurs victimes.
Kohdar la grande, n’est plus. Les ruines témoignent de ce qu’elle était, puissante, hautaine, audacieuse, à l’épreuve de la nature. Aujourd’hui, les plantes et les animaux sauvages commençaient à recoloniser la ville. Mais ces plantes avaient changé. Auparavant, souffrant de pénurie d’eau, elles ne poussaient guères, les mutations qu’elles ont subies lors des événements les ont transformé en de gigantesques plantes vivaces, carnivores pour certaines.
Il est donc peu prudent de sen approcher sauf si on connaît ses dangers. La disparation de millions voir de milliards d’habitant avait permis à la terre de se reposer et de se régénérer. Là où peinait les agriculteurs du gouvernement à faire pousser quelques plants se dressait aujourd’hui des fourrés luxuriants.
L’air ambiant était redevenu sain depuis 2 ans seulement. Les derniers brasiers avaient fini de se consumer. Les fumées et autres pollutions atmosphériques avaient étés chassés par les grands vents d’hiver au large. Une forêt imposante s’était recréée à une vitesse folle tout autour de l’ancienne mégapole. Ce fut une aubaine pour les survivants, ce bois leurs a permis de survivre en braconnant et en cueillant des fruits sauvages.
Commentaires
- BaliBalo
04/07/2012 Ã 19:40:58
J'aime beaucoup l'idée et l'histoire pour l'instant mais je pense que tu devrais te relire un peu parce qu'il y a plein de fautes de syntaxe, des phrases mal formulées et quelques fautes de temps (mais ça c'est rare).
J'veux la suite quand même - Droran
12/06/2012 Ã 19:27:08
Cool Et j'imagine que cela va se complexifier par la suite :sweet: