Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Un monde de sable et de métal.


Par : Swire
Genre : Science-Fiction
Statut : C'est compliqué



Chapitre 5 : La Guerre.


Publié le 22/05/2012 à 23:10:27 par Swire

Loik regarda la tempête de sable, grande, majestueuse, reine du désert. Tout sur son passage semblait minuscule. Il eu alors une idée. Une grande idée. Il ne pouvait pas gagner. Ils étaient trop nombreux, et la fatigue commençait a se faire ressentir. Dans un effort inespéré, il couru vers la tempète, bousculant quelques robots sur le chemin. Une Jeep sortit alors de la tempète, prête a l’écraser, il sauta par-dessus et en profita pour retirer avec son arme, la voiture explosa a quelque mètre de lui, le propulsant dans la tempète.
Il eu du mal a se relever, mais l’adrénaline l’aidait a aller plus vite, il se mit a courrir, vite, tel un lièvre, des jambes étant encore humaine, il ne pouvais pas aller bien loin. Il continua sa course, il n’entendait plus les robots, c’était bon signe. Après une bonne heure de marche, il sortit enfin de la tempète, le désert s’étendais a des kilomêtres. Il s’asseya prêt d’une dune. Il repensa donc a sa vie avant tout sa.


-Loik ! Vient ici !
-J’arrive maman !
-C’est bien mon fils ! On va voir papa ?
- Oui maman !
Loik avait 8 ans. Il se souvenait de cette ville, une des dernières non assiégées par les robots. C’était une petite ville normale, avec son boulanger, son boucher.. Si on oublie les remparts de fortification permettant à chacun de se sentir protégé. L’enfant marchais prêt de sa mêre, une grande femme très élégante. Il s’arrèterent devant un large batiment, un panneau indiquait « Hopital de Grenoble. »
Cette ville était donc Grenoble, il avait oublié ce détail. Il repensa alors au moment ou il vis son père allongé dans un lit d’hopital.
-Papa ! Papa ? C’est quoi que tu as au bras ?
-Mon fils.. C’est une prothèse mécanique. Elle a été modifiée à partir du bras du robot qui m’as fait ça.
-Mais Papa ? Tu n’es pas un robot tout de même ?
Son père eu un petit sourit et pointa du doigt l’endroit où se situait le cœur de l’enfant.
-Tu connais la différence entre nous et eux ?
-Non..
-Et bien toi, tu as un cœur, et tu es capable d’aimer. On aura beau transformer mon corps, je n’oublirais jamais mon fils formidable.
-… Je t’aime Papa.
-Moi aussi Fiston.
Loik prit alors son père dans ses bras. Il ferma les yeux. Durant cette étreinte, il se souvenait avoir été heureux au moins une fois, à ce moment-là. Pouvait-il vraiment se douter que ce moment allait tout chambouler dans sa vie ? Non. Il retrouva d’autres souvenirs.. Heureux, Triste, juste des sensations, pas d’images fixes.
Mais une image restait, une image de désolation, de colère, de froideur.
Il avait 16 ans. Une attaque de robot menaçait la ville. Son père se tenait devant lui et lui dit ses mots :
-Mon fils..Tu es la fierté de la famille, aujourd’hui seras notre première bataille ensemble. Soit fort, fiston.
-D’accord Papa, je les crèverais tous, ses fils de p*tes.
-J’aime cet état d’esprit.
Les portes de la villes d’ouvrèrent, 2 grandes portes. Des robots se tenaient la, prêt a donner l’assaut. Un homme se mit devant ses compagnons et cria :
-Pour la liberté ! Montrons leurs ce que nous sommes ! Nous sommes des guerriers, nous sommes des resistants. Nous sommes ..
Et la troupe finit sa phrase en cœur avant de charger sur l’ennemi.
-Des hommes !
Loik était au 2ème rang, a coté de son père. Le champs de bataille n’était qu’une vaste plaine. Plus rien ne restait de la grand ère. Il se souvenait de la collision. Un moment de force et de bravoure..
Voué a l’échec.
Les robots avaient bien sur plus de force que lui, mais son père le protégeais de son bras robotique, l’autre, tenait une arme et tirait sur toute les cibles qu’il pouvait atteindre. Le jeune homme se faufila derrière un robot et lui mit un gros coup de crosse dans la nuque. Son arme était une arme assez moderne, surmonté d’un viseur et équipé d’une crosse en bois.
Il vit alors un robot sauté sur son père, qui se décala un peu un gauche avant de donner un énorme coup de poing dans le Thorax du robot. Une lame sortit de son poignet et, en un mouvement de bras circulaire, déchira le robot en 2.
-Fils, garde tes meilleures armes, pour le plus dangeureux des ennemis.
Mais a peine avait t’il prononcer ses mots qu’un homme l’avait assassiné. C’était un caporal. Loik se rua sur lui et le mit a terre, il mit 2 coup de poing dans la machoire.
-Pourquoi vous avez fait sa ? POURQUOI ?
-Pour.. devenir..Colonel.
La guerre faisait rage autour d’eux, mais le seul ennemi de Loik était cette homme. Cette homme qui méritait de mourir. Il le prit a la gorge, et avant de lui donner le coup fatal, se fit propulser par un robot. L’homme se tenait maintenant devant lui, revolver a la main.
-Maintenant, crève.
Il lui tira dans l’épaule droite, le sang gicla sur le sol, et Loik se tordit de douleur. Ou était passé le robot ? Il l’avait tué ? Loik rentra vers la ville en rampant, se cachant au milieu des cadavres ou une tranché toutes fraichement creusées. Une fois arrivé au porte, le garde lui refusa l’entrée.
-Tu ne rentres pas dans cette ville tant que tu n’as pas gagné.
-J’ai besoin d’aide.. AIDER MOI !
Le gardien s’alluma une cigarette et lui souffla la fumer dans le visage de l’adolescent en pleurs.
-Va t’faire enc*ler. Maintenant soit tu fuis en rampant et on te retrouveras plus tard, sois tu crève. Bye bye
-Nooon.. Papa.. Viens m’aider..
Le garde lui mit alors un énorme coup de Rangers sur la tête. Quand il se réveilla, il se trouvait au milieu de réfugié. Il se releva et marcha dans l’espoir de trouver une tente. Il se souvenait de tout. Les enfants jouait au Basket, Les hommes réparait armes et véhicules. Les femmes elle, était au fond, soit elle aussi réparait des voitures, sois elle faisait de la nourriture. Il se souvint aussi du moment ou il vit enfin le chef du camp, un homme de type afro américain en uniforme de l’US Army.
-Enfin debout ? Je me présente. Je m’appelle Jackson. Chef de ce camp de réfugié et de résistants.
-Merci pour votre acceuil monsieur, mais.. Comment suis-je arrivé ici ?
-Et bien assis toi, c’est une assez longue histoire..


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