Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

E.V.N.I (êtres vivants non-identifiés)


Par : Ssk
Genre : Action, Horreur
Statut : C'est compliqué



Chapitre 11


Publié le 31/03/2012 à 13:31:53 par Ssk

Ca nous est tous déjà arriver de faire ce rêve, ce fameux rêve dans lequel vous faites une chute, une chute longue, vous attendez la chute, qui se rapproche puis vous vous réveillez juste avant l’impact, c’est ce que j’espérais en ce moment même, que tout ceci n’était rien de plus qu’un putain de rêve. Mais je savais au fond de moi que ce n’en étais pas un, c’était trop réel, beaucoup trop même. Je vis l’impact arriver, qui serait brutal j’en suis sûr, je survivrais peut être si je tombais dans les buissons. Mais non, les buissons n’était pas ici, je tombais sur le gravier de ma cour.
L’impact fut horrible et j’hurlais de douleur. Ma jambe…
Je pouvais à peine la bouger. Mes amis sortirent de la tente et se mettent à courir vers moi.

-NON ! PARTEZ IL VA VOUS TUER !

-On s’en fout on ne partira pas sans toi et Aitor dit Thibault.
Il était ou d’ailleurs Aitor ? Ou avait-il atterrit ?
J’essayais de me relever, mais je n’arrivais pas. C’était trop douloureux. Côme et Raphaël m’ont porté.

-On va ou maintenant ? dit Morgan.

-On cherche Aitor dis-je.

-Pas la peine je suis là.
Je rêve pas, Aitor n’avait rien il était debout comme si rien ne c’était passé.

-Comment… ?

-J’ai eu plus de chance que toi je suis tombé dans les buissons.
Il fallait agir et vite.

-Tiens vous êtes tous réunis… les documents tout de suite.

C’était encore ce connard. Il était à la fenêtre de la maison et nous regardait en souriant. Sans réfléchir je criait.

-COUREZ ON SE CASSE VERS LA VILLE !
On avait plus de chance ce survire en ville, il fallait pour cela courir vite, plus vite que lui en tout cas.
Nous nous mettions tous à courir, sauf moi bien sûr qui était sur l’épaule de Raphaël, c’était le plus musclé d’entre nous. Il pourrait me porter et courir en même temps. Moins vite que si il me portait pas mais bon, c’était déjà ça.
Je regardais l’homme à la fenêtre qui nous laissait partir.

-Je vous laisse 1 minute pour partir, annonça le criminel avec un grand sourire.

-Enfoiré.
Aitor était très énervé, comme moi et sortit un gun de sa poche, et tira sur l’homme, headshot.
L’homme tituba en arrière en se tenant le front, puis il dit

- Vous n’auriez jamais du faire ça.


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