Note de la fic :
Publié le 13/03/2012 à 22:50:00 par Liberty
Je fus réveillé par le froid. Le banc me faisait mal au dos. J'avais absolument aucune idée d'où j'étais. En extérieur, c'était sûr. Je me redressai et ouvris les yeux. Bon dieu, j'étais crevé. J'allumai une cigarette que j'avais coincée entre mon oreille et mon crâne et fouillai mes poches en quête de souvenirs. J'étais dans un parc. Pas à l'entrée du parc non, bien paumé au milieu. Ma veste était déchirée et j'avais un trou au niveau du genou de mon pantalon. Devant moi ce dressaient pas mal de sapins. Il avait neigé et je caillais, je me demandais même comment j'avais survécu une nuit dehors. Je crevais de faim aussi. Ça allait être une belle journée de merde. Je me demandais comment j'allais expliquer ça à ma femme, Liz. On vivait tous les trois à Los Angeles, vers Venice, avec Patrick, mon fils de 3 ans. Je finis par ne plus y penser et me leva. Un mec qui promenait son chien passa. Je lui demandai de loin l'heure, mais il pressa le pas, sans doute intimidé par ma dégaine de clodo. Je fis quelques pas autour du banc et retrouvai une vieille flasque que j'avais du faire tombé ainsi que mon portefeuille, qui contenait 3$. Derrière le banc se dressait un grand lac, et, sur la rive, pas mal de buildings. J'étais dans une grande mégalopole visiblement. Sûrement plus grande que L.A. Un clodo passa sur le chemin de terre qui visiblement servait de terrain de course aux joggeurs. Il était visiblement fin soul, et je décidai de l'éviter et de partir en sens inverse. Le parc devait être immense, ce qui était plutôt bizarre pour une grande ville. Peut-être que j'étais à Central Park. Mais comment j'aurais pu arriver à Central Park alors que je vivais en Californie ? Je recroisai un autre clodo. Je me permis de lui demander un renseignement.
-Excusez-moi ? Monsieur ?
Il grommela un truc dans sa barbe et continua son chemin. Bordel. Je décidai de continuer sur le chemin. J'avais l'impression d'être dans un parc national. Depuis le chemin, on ne voyait absolument aucun building, c'est comme si on était perdu en pleine forêt. Après environs 5 minutes de marche sans croiser âme qui vive, je finis par arriver devant une grille qui menait visiblement en dehors du parc. Je sortis et constata que je sortais de "Green Parc", un nom qui me rassura et me déconcerta dans le fait que j'étais maintenant sur que je n'étais pas à New York, mais que je n'étais pas non plus en Californie. Il n'y avait pas beaucoup de monde dans la rue alors qu'il était environs 10h du matin à en juger le temps. Quelques voitures passaient, mais aucun piéton. Quant à l'architecture de la ville, elle était très banale, très New-Yorkaise, ce qui m'effraya un peu. En face, un Starbucks avait l'air ouvert. Je décidai de traverser la rue et de voir si je pouvais trouver un téléphone.
-Excusez-moi ? Monsieur ?
Il grommela un truc dans sa barbe et continua son chemin. Bordel. Je décidai de continuer sur le chemin. J'avais l'impression d'être dans un parc national. Depuis le chemin, on ne voyait absolument aucun building, c'est comme si on était perdu en pleine forêt. Après environs 5 minutes de marche sans croiser âme qui vive, je finis par arriver devant une grille qui menait visiblement en dehors du parc. Je sortis et constata que je sortais de "Green Parc", un nom qui me rassura et me déconcerta dans le fait que j'étais maintenant sur que je n'étais pas à New York, mais que je n'étais pas non plus en Californie. Il n'y avait pas beaucoup de monde dans la rue alors qu'il était environs 10h du matin à en juger le temps. Quelques voitures passaient, mais aucun piéton. Quant à l'architecture de la ville, elle était très banale, très New-Yorkaise, ce qui m'effraya un peu. En face, un Starbucks avait l'air ouvert. Je décidai de traverser la rue et de voir si je pouvais trouver un téléphone.
Commentaires
- Droran
14/03/2012 Ã 12:34:41
SuiteÂ
Par contre pour un chapitre aussi court, le minimum serait de te relire et de te corriger  (ce qui ne prendrait pas beaucoup de ton temps) On voit qu'en cours d'écriture tu as appris que «je» conjugué au passé simple donnait la terminaison -ai, sans avoir corrigé tout le début du texte. Fait presque semblable avec la troisième personne du singulier conjuguée à l'imparfait, que tu termines parfois par -ait et d'autres fois par -ais  (-ait est la bonne terminaison)
Tu devrais t'aider de sites comme la-conjugaison.fr ou leconjugueur.lefigaro.fr, qui peuvent être bien utiles.