Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

La Peur de survivre


Par : zombiesman
Genre : Horreur, Fantastique
Statut : C'est compliqué



Chapitre 8 : La haine


Publié le 18/12/2011 à 19:20:36 par zombiesman

"Mais soudain un homme ( Oui, un homme pas un mutant)
arrivait vers moi. Il s'arrêtait net devant moi. Il me disait: « C'est ta voiture ça? Elle est belle... Tu me la prête?» Je sentais son poing dans ma gueule. ..

Je me réveillais... J'avais un de ces mal de crâne... Mais... Mais la voiture! Où elle était? Et ma bouffe? Et mon sac? Mon fusil aussi avait disparu! C'était cet homme... Qui m'avait tout pris! L'enfoiré!! Je n'avais plus rien, et il faisait nuit noire..."


J'étais dans la merde... Il faisait nuit, je ne voyais rien et il faisait horriblement froid. La seule façon de dormir sans gelé, c'était d'aller dans cette foutue pompe a essence. Mais il y en avait pour au moins 4 heures, avec le froid qu'il faisait... Bon il fallait que je commence a marcher... En espérant qu'il n'y est pas un mutant dans les parages... Ce connard m'avais prit TOUTES mes armes. En plus j'avais faim et la douleur aux genoux était de plus en plus forte.
Bon pour ne pas tombé dans le vapes, je devais ne plus penser a ce froid réfrigérant. Mais a quoi penser...
J'étais a bout de force. Je n'allais pas survivre...
J'étais trop mal en point pour continué. C'était fini...

Je m'arrêtais. Je m'asseyais, puis je pensais a ma petite vie normale. Je voyais mon nom sur la tombe "mort en s'étant prit un pain dans la gueule, et est mort de froid ensuite" Je riais... A quoi bon? C'était peut être mieux de mourir maintenant... Qui voudrait d'une vie comme celle-ci? Qui voudrait avoir tout le temps peur? Peur de tout... Peur de mourir et je dirais même... La peur de survivre.

Je fermais les yeux. J'allais peut être rêver... Peut être la revoir...
Sa y est je la voyais...

Elle était dans une tante avec moi. Elle me disait combien elle m'aimait...
Ont sortaient de la tante. Ont étaient encore dans cet endroit, ce campement. Le genre d'endroit que je déteste, je déteste les gens... Je les haies, je les haies tous...
J'étais heureux... Bizarre... Ce mot ne ma jamais beaucoup parlé... Ont étaient tous les deux dans une chambre. Elle pleurait, comme la dernière fois. Elle disait qu'elle en avait mare, mare de moi, mare de ce que j'étais, un fantôme. Elle me disait qu'au début elle pouvait supporter... Mais que maintenant ce n'était plus possible. Elle n'en pouvait plus, de vivre avec quelqu'un qui n'existe pas... Qu'est-ce qu'elle voulait dire par "un fantôme"...

Elle me mettais des claques... Moi je m'énervais... Je prit un marteau, qui était juste a côté de nous. Je la poussait... J'avais péter un câble... Elle me rappelais ma mère... Je prenais le marteau et je la frappais. Très fort... Son visage n'avais plus de forme... Son sang... Je prit un plaisir quasi démoniaque a lui déformer son petit visage... J'avais une telle haine...

Tout devenait flou, a nouveau. J'ouvrais les yeux...
Une femme se tenais juste devant moi. Elle disait:
« Enfin réveillé! J'avoue que j'ai eu un peu peur quand je vous ai vu. Vous étiez tous bleu! Enfin vous revoilà parmi nous, et vous pouvez dire merci a Nico, l'homme là-bas c'est lui qui vous a trouvé au bord de la route.»
L'homme relatait: « Mais c'est tout a fait normal, c'est vraiment une chance que je soit passer par là, sinon tu serais mort depuis longtemps.»
Comme il était horrible ce type! Il était roux ( :hap:) il n'avait qu'une oreille, et il était borgne!!

La fille répliquait: « Je vois comme tu le dévisage hein... C'est pas très gentil, il ta sauver la vie ce mec, sans lui tu n'existerais plus! Il a fait la guerre petit connard arrogant!»

Par la fenêtre, je voyait qu'il y avait une voiture. Et a l'intérieur, j'observais qu'il y avait de la bouffe. Ces abrutis, avaient laissé une arme juste a côté de moi, c'était une Famas. Je la prenais, je la pointais sur l'homme roux, et je lui tirait dans la tête. La femme qui n'avait pas encore capté ce qu'il ce passait, ne bougeait pas, elle était choqué, je prit un couteau(qui était a côté du famas) Elle m'avait dit quoi déjà? "petit connard arrogant" c'est ça? Elle allais payer pour ce qu'elle avait dit...

Je la poussait sur le lit, elle criait de terreur...
Je prit le couteau... Je disait, pour la première fois: « Tu m'a dit quoi tout a l'heure hein? Dit moi où sont les clefs de la caisse là-bas, ou je te tranche la gorge, est-ce que tu comprend?»

La femme disait en hurlant: « Elles sont dans sa poche! Dans la poche du mec que tu vient de descendre!
Pitié ne me tue pas!»

Je lui disait tout doucement pour qu'elle comprenne: « Tu avais l'air de bien l'aimer ton pote que je vien de buter, hein? J'ai changé d'avis... Ce soir tu va mourir, mais avant je vais te défiguré... Comme ton ami que tu admire tant...»

La femme répliquait: « Mais tu avait dit que...»

Moi en lui coupant la parole je lui disait avec un petit sourire sadique: « J'ai menti...»

Je la prenais, je l'attachais sur une chaise. Je prenais le couteau... Je lui arrachais délicatement l'oreille.
Comme elle criais... Sa giclait partout. Je mit le couteau dans sa bouche, et je lui arrachais la langue. Je riais... Bon je croit que sa suffisait, elle avait eu son compte... Je prenais le Famas et je lui tirais une balle dans le ventre, pour qu'elle meure plus lentement.

Je chopais les clefs de la caisse... Et je prit le Famas ainsi que quelques autres armes qui était là.

Je rentrais dans la voiture. Il y avait plein de bouffe, surement la bouffe qu'il allait cherché quand il ma trouvé sur le bord de la route. C'était une citröen C4. Je regardais l'essence. C'était bon il avait fait le plein. De là j'entendais encore les cris de la femme en détresse. Comme je riais fort...

Je démarrais... Ce bruit aussi je l'aimais. Bon aller, je vais retrouver ma mère. Cette petite idiote.


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