Note de la fic :
Cours (très) particulier
Par : mintoi
Genre : Sayks, Sentimental
Statut : C'est compliqué
Chapitre 14 : Jeux de mains, jeux de vilains
Publié le 16/10/2011 à 20:04:13 par mintoi
Chapitre 14 : Jeux de mains, jeux de vilains...
Je me glisse derrière lui. Il est toujours assis sur le sol, le regard fixé droit devant lui pour marquer son mécontentement. J’approche tout doucement mes mains de ses côtes…
Plus que quelques centimètres séparent mes doigts de son corps et je sens qu’il a du mal à contenir son envie de se retourner pour savoir ce que je lui réserve.
Et tout à coup, je pose mes doigts sur ses flancs et commence à le chatouiller. Il se tord instantanément sur le côté mais tente de résister en restant assis et en se débattant le moins possible.
Je fais alors glisser mes mains sur son ventre et touche enfin ses abdos fermes. Je ne suis pas déçu. A travers sa chemise toute fine, je sens ses muscles se contracter sous l’effet de mes chatouilles.
J : Ha non ! Pas là ! Arrête !
Il ne peut plus résister et s’allonge sur le ventre pour m’empêcher de lui chatouiller le ventre. Je me mets à genoux au-dessus de ses fesses et glisse mes mains entre le sol et son corps pour pouvoir atteindre la zone qui lui fait tant d’effet. Sous ses soubresauts, ses fesses viennent se coller par moment à mon entrejambe.
Puis il se retourne et se retrouve allongé sur le dos. Mes mains ont alors un accès direct à son ventre et ne se privent pas de le chatouiller. Il se débat, pousse de petits cris, rit à ne plus pouvoir reprendre sa respiration. Je suis toujours juste au-dessus de lui, assis sur le haut de ses cuisses pour l’empêcher de s’enfuir.
Par moment, sa chemise se soulève et mes doigts entrent directement en contact avec sa peau douce qui m’électrise…
Je cesse ma torture quelques instants pour le laisser reprendre son souffle.
L : Alors ? C’est qui qui va obéir à son prof ? C’est Juuuules !
J : Plutôt crever !
Je me jette alors à nouveau sur son ventre et même au-delà. En effet, par moment, je teste d’autres zones de son corps pour voir s’il n’a pas d’autres points sensibles. Je remonte tout d’abord mes doigts le long de son torse, touche au passage ses petits pectoraux bien durs et arrive sous ses aisselles. Je redescends ensuite le long de ses côtes jusqu’à ses hanches et suis la limite de son pantalon en appuyant ça et là pour tester sa réactivité (et aussi pour le plaisir de toucher son corps…).
Il se tord en tous sens, essayant de se dégager, mais mon poids et ma force l’en empêchent une fois de plus. Il tente alors une autre technique et vient lui aussi poser ses mains sur mon corps.
J’arrive à faire comme si ses chatouilles étaient sans effet pendant quelques instants mais finis par craquer et viens me coucher sur lui pour qu’il ne puisse plus atteindre mon ventre…
Nos deux corps sont alors vraiment l’un contre l’autre et j’imagine que la scène, vue de l’extérieur, pourrait prêter à confusion alors qu’il ne s’agit que d’une « innocente » ( ?) joute amicale…
Je sens son torse me soulever à chacune de ses respirations et ni lui ni moi ne bougeons plus désormais. Nos visages sont à quelques centimètres l’un de l’autre et nous nous regardons dans les yeux…
Jules soulève alors tout doucement sa tête et vient poser ses lèvres sur les miennes un très court instant.
J : Oh putain Lucas, j’suis désolé, je sais pas c’qui m’a pris…
Pour le faire taire, j’approche mon visage du sien et nos lèvres entrent à nouveau en contact une fois, puis, deux, puis trois. Je vois le sourire de Jules qui se dessine à nouveau sur son visage et son regard plein d’envie.
Il me bascule alors sur le dos, je me laisse faire. Et il vient mettre sa main sur ma joue pour m'embrasser à nouveau. De ma langue, je caresse ses lèvres pour lui demander d’ouvrir sa bouche. Ses lèvres sont douces et quand ma langue arrive enfin à les franchir, des frissons parcourent mon corps lors du premier contact de nos deux langues.
Nous restons ainsi de longues minutes, mais il finit par relever la tête et sourit déjà en pensant à ce qu’il va me dire.
J : C’est pas tout ça, mais faut bosser mon anglais !
L : Rapproche ta tête et tu vas voir que je donne d’excellents cours de langue(s)…
Allongés sur le plancher du salon, nous nous embrassons et nous nous embrasons…
Je me glisse derrière lui. Il est toujours assis sur le sol, le regard fixé droit devant lui pour marquer son mécontentement. J’approche tout doucement mes mains de ses côtes…
Plus que quelques centimètres séparent mes doigts de son corps et je sens qu’il a du mal à contenir son envie de se retourner pour savoir ce que je lui réserve.
Et tout à coup, je pose mes doigts sur ses flancs et commence à le chatouiller. Il se tord instantanément sur le côté mais tente de résister en restant assis et en se débattant le moins possible.
Je fais alors glisser mes mains sur son ventre et touche enfin ses abdos fermes. Je ne suis pas déçu. A travers sa chemise toute fine, je sens ses muscles se contracter sous l’effet de mes chatouilles.
J : Ha non ! Pas là ! Arrête !
Il ne peut plus résister et s’allonge sur le ventre pour m’empêcher de lui chatouiller le ventre. Je me mets à genoux au-dessus de ses fesses et glisse mes mains entre le sol et son corps pour pouvoir atteindre la zone qui lui fait tant d’effet. Sous ses soubresauts, ses fesses viennent se coller par moment à mon entrejambe.
Puis il se retourne et se retrouve allongé sur le dos. Mes mains ont alors un accès direct à son ventre et ne se privent pas de le chatouiller. Il se débat, pousse de petits cris, rit à ne plus pouvoir reprendre sa respiration. Je suis toujours juste au-dessus de lui, assis sur le haut de ses cuisses pour l’empêcher de s’enfuir.
Par moment, sa chemise se soulève et mes doigts entrent directement en contact avec sa peau douce qui m’électrise…
Je cesse ma torture quelques instants pour le laisser reprendre son souffle.
L : Alors ? C’est qui qui va obéir à son prof ? C’est Juuuules !
J : Plutôt crever !
Je me jette alors à nouveau sur son ventre et même au-delà. En effet, par moment, je teste d’autres zones de son corps pour voir s’il n’a pas d’autres points sensibles. Je remonte tout d’abord mes doigts le long de son torse, touche au passage ses petits pectoraux bien durs et arrive sous ses aisselles. Je redescends ensuite le long de ses côtes jusqu’à ses hanches et suis la limite de son pantalon en appuyant ça et là pour tester sa réactivité (et aussi pour le plaisir de toucher son corps…).
Il se tord en tous sens, essayant de se dégager, mais mon poids et ma force l’en empêchent une fois de plus. Il tente alors une autre technique et vient lui aussi poser ses mains sur mon corps.
J’arrive à faire comme si ses chatouilles étaient sans effet pendant quelques instants mais finis par craquer et viens me coucher sur lui pour qu’il ne puisse plus atteindre mon ventre…
Nos deux corps sont alors vraiment l’un contre l’autre et j’imagine que la scène, vue de l’extérieur, pourrait prêter à confusion alors qu’il ne s’agit que d’une « innocente » ( ?) joute amicale…
Je sens son torse me soulever à chacune de ses respirations et ni lui ni moi ne bougeons plus désormais. Nos visages sont à quelques centimètres l’un de l’autre et nous nous regardons dans les yeux…
Jules soulève alors tout doucement sa tête et vient poser ses lèvres sur les miennes un très court instant.
J : Oh putain Lucas, j’suis désolé, je sais pas c’qui m’a pris…
Pour le faire taire, j’approche mon visage du sien et nos lèvres entrent à nouveau en contact une fois, puis, deux, puis trois. Je vois le sourire de Jules qui se dessine à nouveau sur son visage et son regard plein d’envie.
Il me bascule alors sur le dos, je me laisse faire. Et il vient mettre sa main sur ma joue pour m'embrasser à nouveau. De ma langue, je caresse ses lèvres pour lui demander d’ouvrir sa bouche. Ses lèvres sont douces et quand ma langue arrive enfin à les franchir, des frissons parcourent mon corps lors du premier contact de nos deux langues.
Nous restons ainsi de longues minutes, mais il finit par relever la tête et sourit déjà en pensant à ce qu’il va me dire.
J : C’est pas tout ça, mais faut bosser mon anglais !
L : Rapproche ta tête et tu vas voir que je donne d’excellents cours de langue(s)…
Allongés sur le plancher du salon, nous nous embrassons et nous nous embrasons…