Note de la fic : :noel: :noel:

1 vie


Par : Happy-Noel
Genre : Réaliste, Sentimental
Statut : C'est compliqué



Chapitre 3


Publié le 08/08/2011 à 22:47:33 par Happy-Noel

Après on passe directement au années 2000.
Je me revois dans la cuisine à moitié en train de sauter sur la table

ah oui enfant colérique quelque peu soulant pour sur j?avais déjà mon

caractère même si d?un sens il est totalement parallèle à celui que je

possède aujourd?hui. Avec ma s½ur enfance difficile, nous deux toujours

en train de se chercher, se chamailler, se disputer parfois même surpris

à se taper on ne savait pas encore qu?un an plus tard nous serions tout

l?un pour l?autre, dépendant l?un de l?autre et plus fusionnel qu?un

frère et qu?une s½ur ne pourront jamais l?être autant.

Noël 2001 le dernier noël d?insouciance c?est après tout ça que tout

s?est accéléré quelques images me resterons gravé à jamais dans ma tête

mon grand-père aux milieux de ses trois filles ma mère plus souriante

que jamais son père malade, cancer général n?en avait plus que pour

quelque mois elle ne le savait pas encore même si quelque doutes

commencé à s?immiscer je revois encore la scène mon grand-père pourtant

si dur à prendre en photo avais accepté ce coup si, il avait vu venir la

fin s'approcher. Il savait très bien que ce noël serait sont dernier et

il ne voulait en aucun cas priver ces filles d?un tel moment un homme au

grand c½ur il aurait tout fais pour elles je ne peux pas en faire un

éloge je en l?ai malheureusement pas assez connu et les peux de moment

que j?ai eu en sa compagnie je n?en est pas assez profité c?est l?un des

plus grands regrets de ma jeunesse. J?étais son petit enfant qui avait

le moins profité de lui hormis Axelle ma petite cousine qui elle été

bébé mais moi je ne savais pas encore que 2mois après il partirait. Oui

j?ai des souvenir avec lui quelque un je le revois encore jouez au carte

sur le bout de la table à la place du chef de famille, je vois encore

ses chemises les bras d?un homme frêle mais courageux l?odeur des

gitanes qu?il fumait sauf quand j?étais prêt de lui, son sourire franc

quand il nous voyait arrivé et quand je franchi le seuil de la porte le

surnom que personne d?autre que moi n?avais «rasibus zou zou».

Tant de moments si difficile à oublier


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