Note de la fic :
Publié le 08/08/2011 à 22:36:52 par Happy-Noel
12 Avril 1994 ma naissance. Un nouvel enfant vois le jour dans ce
monde à ce moment on est fragile je ne savais pas encore ce qui
m’attendais quand ma mère me pris dans ces bras je ne savais pas encore
qu’elle me ferait tant souffrir au point d’en prier sa mort. Je n’ai pas
grand choses à dire sur mes années de 1à4 ans je démarrais la vie je
n’en étais pas encore conscient c’est seulement à partir de maintenant
que je suis prêt à ouvrir les yeux sur le monde. J’avais tout pour être
heureux j’étais assez mignon j’avais des capacités, une famille unie
j’étais destiner à une vie heureuse il n’y avait aucun barrage en vue.
Mon plus lointain souvenir remonte aux alentours de juillet 1998 je me
revois encore marcher en couche je vois un chat rouquin et ma mère la
debout dans la cuisine me regarder, elle me sourit, je n’oublierais
malgré tout jamais son sourire une expression qu’on n’a l’impression
qu’elle ne l’a pratiquement jamais connu je pense qu’elle n’a pas eu de
chance malgré tout famille d’alcoolique notoire entre ses deux sœurs
c’était la fille du milieux la fille qui n’avait pas été choisi la fille
qui été une erreur et donc la fille que personne n’aime elle en a connu
des soirées alcoolisés avec des voisins pervers et pédophiles une mère
qui débordera un nombre de fois incalculable et un père mixte, un homme
magnifique un vrai homme avec des vrai valeurs le bon monsieur gâché par
une femme horrible marqué aux burin par l’alcool, une femme sans cœur et
sans aucune morale, égoïste et malveillante à souhait . A ça oui ma mère
n’a pas eu de chance quant à sa famille, comme quoi nous ne sommes pas
tous égaux devant la nature c’est bien dommage je reste persuadé que ma
mère aurait pu être une femme géniale une magnifique fleur si seulement
c’est racine n’étais pas aussi pourri.
monde à ce moment on est fragile je ne savais pas encore ce qui
m’attendais quand ma mère me pris dans ces bras je ne savais pas encore
qu’elle me ferait tant souffrir au point d’en prier sa mort. Je n’ai pas
grand choses à dire sur mes années de 1à4 ans je démarrais la vie je
n’en étais pas encore conscient c’est seulement à partir de maintenant
que je suis prêt à ouvrir les yeux sur le monde. J’avais tout pour être
heureux j’étais assez mignon j’avais des capacités, une famille unie
j’étais destiner à une vie heureuse il n’y avait aucun barrage en vue.
Mon plus lointain souvenir remonte aux alentours de juillet 1998 je me
revois encore marcher en couche je vois un chat rouquin et ma mère la
debout dans la cuisine me regarder, elle me sourit, je n’oublierais
malgré tout jamais son sourire une expression qu’on n’a l’impression
qu’elle ne l’a pratiquement jamais connu je pense qu’elle n’a pas eu de
chance malgré tout famille d’alcoolique notoire entre ses deux sœurs
c’était la fille du milieux la fille qui n’avait pas été choisi la fille
qui été une erreur et donc la fille que personne n’aime elle en a connu
des soirées alcoolisés avec des voisins pervers et pédophiles une mère
qui débordera un nombre de fois incalculable et un père mixte, un homme
magnifique un vrai homme avec des vrai valeurs le bon monsieur gâché par
une femme horrible marqué aux burin par l’alcool, une femme sans cœur et
sans aucune morale, égoïste et malveillante à souhait . A ça oui ma mère
n’a pas eu de chance quant à sa famille, comme quoi nous ne sommes pas
tous égaux devant la nature c’est bien dommage je reste persuadé que ma
mère aurait pu être une femme géniale une magnifique fleur si seulement
c’est racine n’étais pas aussi pourri.