Teasing pour ma prochaine fic !
Elle est bien entamée mais je sais pas quand je posterais la suite puisque je veux d'abord la finir entièrement.

Bonne lecture et oubliez pas les commentaires, ça fait très plaisir !





Maxime est nu, attaché par un entrelacs complexe de chaines passant par des poulies et ayant pour effet de lui maintenir les bras tendus dans le dos et de l'empêcher de rapprocher ses membres. De l'autre côté de la pièce est attachée une jeune fille à un poteau grâce à une paire de menotte. Entre eux est assis un homme à la peau pâle, le visage caché par un masque blanc inexpressif. Lui aussi est nu.
Il se lève et se dirige vers Maxime pour lui tendre la main devant le visage. Maxime crache sur cette main tendue, cette main qui le gifle et éclate sa lèvre inférieure. L'homme masqué se penche à son oreille et lui murmure quelques mots auxquels Maxime réplique par un gargouillement faisant penser à « Fils de pute ! ». Après quelques secondes, le masqué se redresse et assène un magnifique coup de genoux dans les noix de Maxime. Ce dernier grogne et glisse mais les chaines le gardent suspendu par les bras. Nouveau grognement. Il a mal, très mal. Messieurs, je pense que vous comprendrez sa douleur, on l'a déjà tous vécue et on sait tous quelle sensation en résulte.
Mais revenons en à Maxime et son tortionnaire: ce dernier est de nouveau penché sur Maxime et lui murmure de nouveaux quelques mots incompréhensibles auxquels une fois de plus Maxime répond par une insulte incluant la mère du bourreau. Celui-ci se redresse en souriant et se tourne vers la jeune fille:
-Il est têtu ton copain !
Puis il s'écarte de Maxime et saisis un revolver qu'il pointe sur le crâne de Maxime:
-Envie de revenir sur tes paroles ?
-Ouais. Vas te faire foutre, ça passe aussi...
Un éclat de rire lui fait écho.
-Je t'aime bien Maxime. C'est vraiment dommage...
Le canon du Glock se stabilise, un doigt fin se place sur la détente et la presse doucement. Une détonation puis plus rien. Le calme.