Note de la fic :
Les Zombies n'existent pas : Partie I
Par : 17XX
Genre : Horreur
Statut : C'est compliqué
Chapitre 24 : Film Mortuaire.
Publié le 29/05/2011 à 00:01:09 par 17XX
Les autres membres du groupe arrivent, éffarés.
Capitaine : - Faut pas trainer ici, on a du ameuter tout le coin. Youssef t'en es ou ?
Youssef : -Je remplis le dernier jerricane capitaine, et on est parés.
Capitaine : - Ok, prochaine étape, Clermont-Ferrand.
-Il faudrait éviter les villes...
Capitaine : - Mon objectif est d'atteindre Paris avec un maxium de survivants, donc on passe par Clermont-Ferrand, mais je ne vous oblige pas à nous accompagner.
Nathan: - Vous rigolez ? Vous êtes l'armée, et qui plus est, spécialisés dans ce genre de conneries, si on se sépare on est foutus.
Capitaine : - Alors en route pour Clermont.
Il doit rester une bonne heure avant d'arriver à Clermont.
Je pose une question à Nathan qui me brûle les lèvres depuis quelques minutes :
-Tu crois que ces trucs là sont répandus ? Parce que si en plus ils commencent à résister aux balles, ça sert à rien de continuer …
Nathan : - Je sais pas, il nous faudrait des témoignages, ou quelque chose du genre.
Mika : - Hé mais, j'ai le film que j'ai tourné à Montpellier ?
-Qu'est-ce que tu veux dire ?
Mika : - Le massacre de l'armée, à la Comédie. Je peux pas le revoir mais tiens, dit-il en me passant sa caméra, regarde de quoi ils ont l'air.
dialogues entre guillemets = voix du film
Je presse le bouton Play. Avec l'envie d'en savoir plus, mais aussi la culpabilité de me servir de la mort de ces gens pour pouvoir survivre à mon tour.
« Ca tourne !»
(journaliste) « Ici Maryline Bisea, nous sommes à Montpellier sur la place de la Comédie pour un reportage exclusif sur la mystérieuse Epidemie qui touche l'Europe, derrière moi vous pouvez voir l'armée française qui essayent de calmer la foule apeurée, les gens demande si un vaccin existe et si une évacuation est prévue. »
En arrière plan j'apercois effectivement l'armée française qui essaye de calmer les gens, mais quelque chose qu'un soldat semble remarquer aussi m'interpelle, un homme se jette sur un autre en essayant de le dévorer, cet homme, bizarrement n'a pas encore l'apparence des choses que nous avons vu jusqu'à maintenant, il est tout ce qu'il y a de plus normal.
(militaire) « Stop ! Monsieur lachez cet homme ou nous emploirons la force ! »
Rien à faire, la victime commence à saigner, les militaires font feu. Apparemment l'armée était dejà sous tension. Très vite les créatures foncent sur la foule et les militaires, qui essayent tant bien que mal de contenir la foule et ces choses. Les tirs fusent et les civils ainsi que les militaires tombent par dizaines.
Je crois reconnaître le Caporal qui nous avait bloqué à la sortie de Montpellier, il crie « Repliez vous ! Repliez vous ! »
(journaliste) « Oh mon dieu oh mon dieu ! Mika coupe cette caméra ! Coupe cette putain de caméra ! »
Mais Mika ne coupe pas, le massacre continue, la journaliste se fait elle aussi avoir, Mika pousse un cri de peur et s'enfuit par une petite rue, le film s'arrête là.
-Aucune trace du truc qui m'a attaqué.
Mika: - Fais chier. Et en plus de ça on va dans une grande ville, sans savoir si ces trucs sont nombreux...
Nathan: - Je te le fais pas dire.
Je reste silencieux, attendant de voir à quoi ressemble Clermont, avec le bête et vague espoir qu'elle n'a a été que partiellement touchée.
Même pas une heure plus tard, je découvre sans surprise que j'ai tort. De loin j'aperçois les immeubles d'une grande agglomération, sans nul doute Clermont. De longues colones de fumées s'élève à l'horizon, je peux même voir des flammes... Notre excursion ne va pas être très de tout repos.
Capitaine : - Faut pas trainer ici, on a du ameuter tout le coin. Youssef t'en es ou ?
Youssef : -Je remplis le dernier jerricane capitaine, et on est parés.
Capitaine : - Ok, prochaine étape, Clermont-Ferrand.
-Il faudrait éviter les villes...
Capitaine : - Mon objectif est d'atteindre Paris avec un maxium de survivants, donc on passe par Clermont-Ferrand, mais je ne vous oblige pas à nous accompagner.
Nathan: - Vous rigolez ? Vous êtes l'armée, et qui plus est, spécialisés dans ce genre de conneries, si on se sépare on est foutus.
Capitaine : - Alors en route pour Clermont.
Il doit rester une bonne heure avant d'arriver à Clermont.
Je pose une question à Nathan qui me brûle les lèvres depuis quelques minutes :
-Tu crois que ces trucs là sont répandus ? Parce que si en plus ils commencent à résister aux balles, ça sert à rien de continuer …
Nathan : - Je sais pas, il nous faudrait des témoignages, ou quelque chose du genre.
Mika : - Hé mais, j'ai le film que j'ai tourné à Montpellier ?
-Qu'est-ce que tu veux dire ?
Mika : - Le massacre de l'armée, à la Comédie. Je peux pas le revoir mais tiens, dit-il en me passant sa caméra, regarde de quoi ils ont l'air.
dialogues entre guillemets = voix du film
Je presse le bouton Play. Avec l'envie d'en savoir plus, mais aussi la culpabilité de me servir de la mort de ces gens pour pouvoir survivre à mon tour.
« Ca tourne !»
(journaliste) « Ici Maryline Bisea, nous sommes à Montpellier sur la place de la Comédie pour un reportage exclusif sur la mystérieuse Epidemie qui touche l'Europe, derrière moi vous pouvez voir l'armée française qui essayent de calmer la foule apeurée, les gens demande si un vaccin existe et si une évacuation est prévue. »
En arrière plan j'apercois effectivement l'armée française qui essaye de calmer les gens, mais quelque chose qu'un soldat semble remarquer aussi m'interpelle, un homme se jette sur un autre en essayant de le dévorer, cet homme, bizarrement n'a pas encore l'apparence des choses que nous avons vu jusqu'à maintenant, il est tout ce qu'il y a de plus normal.
(militaire) « Stop ! Monsieur lachez cet homme ou nous emploirons la force ! »
Rien à faire, la victime commence à saigner, les militaires font feu. Apparemment l'armée était dejà sous tension. Très vite les créatures foncent sur la foule et les militaires, qui essayent tant bien que mal de contenir la foule et ces choses. Les tirs fusent et les civils ainsi que les militaires tombent par dizaines.
Je crois reconnaître le Caporal qui nous avait bloqué à la sortie de Montpellier, il crie « Repliez vous ! Repliez vous ! »
(journaliste) « Oh mon dieu oh mon dieu ! Mika coupe cette caméra ! Coupe cette putain de caméra ! »
Mais Mika ne coupe pas, le massacre continue, la journaliste se fait elle aussi avoir, Mika pousse un cri de peur et s'enfuit par une petite rue, le film s'arrête là.
-Aucune trace du truc qui m'a attaqué.
Mika: - Fais chier. Et en plus de ça on va dans une grande ville, sans savoir si ces trucs sont nombreux...
Nathan: - Je te le fais pas dire.
Je reste silencieux, attendant de voir à quoi ressemble Clermont, avec le bête et vague espoir qu'elle n'a a été que partiellement touchée.
Même pas une heure plus tard, je découvre sans surprise que j'ai tort. De loin j'aperçois les immeubles d'une grande agglomération, sans nul doute Clermont. De longues colones de fumées s'élève à l'horizon, je peux même voir des flammes... Notre excursion ne va pas être très de tout repos.