Note de la fic :
Publié le 20/07/2011 à 21:29:12 par Skines
June avait toujours été ce que les gens du village appelait un « monstre ». Tout petit, il se battait déjà avec la majorité de ses camarades et n’avait jamais eut un seul ami. Il avait toujours vu les autres enfants être retenus par leurs mères qui leur chuchotaient « ne traine pas avec ce gamin, c’est une mauvaise graine. » Peut-être que le fait qu’il n’avait jamais eut de parents avait influé son comportement. La mère de June est morte a l’accouchement et le père disparu peu de temps après. On avait raconté tant de fausse histoires pour qu’il se fasse détesté que tout le monde a commencé a y croire. Ce fut d’abord les parents des enfants qui avait subit les coups de June qui commencèrent a lancer des rumeurs puis tout le monde commença a y croire. Le village tout entier s’était mis a mépriser June et a souhaiter sa disparition. Même s’il n’était pas franchement un ange, il aurait pu bénéficier de moins de cruauté. C’était un ange a sa façon, un ange des ténèbres car il donnait aux gens ce qu’il méritait. Les autres enfants le narguaient encore plus suite aux rumeurs propagés alors June cognait encore plus fort et encore plus souvent.
Vers ses dix ans, June trainait souvent dans des bars afin de se servir un verre payé par l’argent que lui avait donné de force les autres enfants qui avaient osé l’insulter. Au fond de lui, il était sûr d’être juste. Mais un jour, une fois, le maire débarqua dans l’endroit où il passait le plus clair de son temps. Il s’approcha du gamin et examina le verre qu’il tenait a la main. Le barman qui nettoyait une bouteille de whisky s’avança vers eux.
-Comment as-tu pu te payer ce verre ? Demanda le maire
-Avec l’argent que j’ai trouvé. Répondit simplement June
-Tu n’a pas d’amis, pas de parents, qui aurait bien pu te donner l’argent nécessaire ?
-Des amis.
-Moi, on me paie, je sers. Ajouta le barman qui ne voulait pas y être pour quelque chose
Le maire lui lança un bref regard avant de reporter sans attention sur June qui le fixait avec un soutient d’arrogance et de mépris.
-Tu n’a que 10 ans. Le vol est mal.
-Sauf quand il est mérité répondit June.
Par la suite, le maire baffa le pauvre enfant qui laissa tomber son verre au sol. L’objet s’éclata au sol renversant l’eau sous le tabouret sur lequel June était assis. Ensuite, le maire attrapa son interlocuteur par l’oreille et l’emmena au porte du village. Tout le monde les suivait derrière eux a moins de 10 mètres. Un par un, les gens se joignait a la foule. Il y avait un garde a ce moment là qui aperçut le maire et l’enfant venir vers lui. Il ouvrit tout de suite les portes du village et se rangea sur le coté admirant la futur scène. Le maire serra les dents et jeta June au sol.
-Je te laisse avec ta conscience
Le maire regarda le garde et lui fit un signe de la tête. Les portes se refermèrent derrière June qui vit le monde auquel il appartenait disparaître. La bouche grand ouverte, les yeux écarquillés, les mains tremblantes, les gens le regardaient sans regret. June Whibley quittait enfin leur vie et n’embêtera plus jamais leur gosses.
Par la suite, la vie fit grandir June. La nature l’entraina, l’endurcit. Le village n’avait été qu’un entrainement pour lui. En dehors, il détroussait tout ceux qui passaient sur les routes, les mendiants, les voyageurs, les marchands.. Il se construisit une maison en bois loin de son village natal, perché sur une colline, a l’abri de tout danger. Au fil du temps, il avait amassé une telle richesse. Mais quelqu’un le manquait et il manquait lui aussi a quelqu’un. La fille du maire avait été la seule qui n’avait jamais voulu le départ de June. Depuis toute petite, elle l’aimait dans le plus grand des secrets. June également mais jamais il ne s’était avoué leur sentiments. Elisabeth pensait chaque jours a lui, espérant le revoir un jour. Quand un bruit commença a courir comme quoi un jeune bandit du nom de June Whibley trainait dans les environs, le village se terra dans la peur sauf Elisabeth qui considéra June comme un héros et qui ne lâcha plus ses sentiments. Mais douze années passèrent depuis son départ et il s’effaça peu a peu des mémoires. Jusqu’à ce jour où il décida de se venger et de revenir.
Vers ses dix ans, June trainait souvent dans des bars afin de se servir un verre payé par l’argent que lui avait donné de force les autres enfants qui avaient osé l’insulter. Au fond de lui, il était sûr d’être juste. Mais un jour, une fois, le maire débarqua dans l’endroit où il passait le plus clair de son temps. Il s’approcha du gamin et examina le verre qu’il tenait a la main. Le barman qui nettoyait une bouteille de whisky s’avança vers eux.
-Comment as-tu pu te payer ce verre ? Demanda le maire
-Avec l’argent que j’ai trouvé. Répondit simplement June
-Tu n’a pas d’amis, pas de parents, qui aurait bien pu te donner l’argent nécessaire ?
-Des amis.
-Moi, on me paie, je sers. Ajouta le barman qui ne voulait pas y être pour quelque chose
Le maire lui lança un bref regard avant de reporter sans attention sur June qui le fixait avec un soutient d’arrogance et de mépris.
-Tu n’a que 10 ans. Le vol est mal.
-Sauf quand il est mérité répondit June.
Par la suite, le maire baffa le pauvre enfant qui laissa tomber son verre au sol. L’objet s’éclata au sol renversant l’eau sous le tabouret sur lequel June était assis. Ensuite, le maire attrapa son interlocuteur par l’oreille et l’emmena au porte du village. Tout le monde les suivait derrière eux a moins de 10 mètres. Un par un, les gens se joignait a la foule. Il y avait un garde a ce moment là qui aperçut le maire et l’enfant venir vers lui. Il ouvrit tout de suite les portes du village et se rangea sur le coté admirant la futur scène. Le maire serra les dents et jeta June au sol.
-Je te laisse avec ta conscience
Le maire regarda le garde et lui fit un signe de la tête. Les portes se refermèrent derrière June qui vit le monde auquel il appartenait disparaître. La bouche grand ouverte, les yeux écarquillés, les mains tremblantes, les gens le regardaient sans regret. June Whibley quittait enfin leur vie et n’embêtera plus jamais leur gosses.
Par la suite, la vie fit grandir June. La nature l’entraina, l’endurcit. Le village n’avait été qu’un entrainement pour lui. En dehors, il détroussait tout ceux qui passaient sur les routes, les mendiants, les voyageurs, les marchands.. Il se construisit une maison en bois loin de son village natal, perché sur une colline, a l’abri de tout danger. Au fil du temps, il avait amassé une telle richesse. Mais quelqu’un le manquait et il manquait lui aussi a quelqu’un. La fille du maire avait été la seule qui n’avait jamais voulu le départ de June. Depuis toute petite, elle l’aimait dans le plus grand des secrets. June également mais jamais il ne s’était avoué leur sentiments. Elisabeth pensait chaque jours a lui, espérant le revoir un jour. Quand un bruit commença a courir comme quoi un jeune bandit du nom de June Whibley trainait dans les environs, le village se terra dans la peur sauf Elisabeth qui considéra June comme un héros et qui ne lâcha plus ses sentiments. Mais douze années passèrent depuis son départ et il s’effaça peu a peu des mémoires. Jusqu’à ce jour où il décida de se venger et de revenir.