Note de la fic : Non notée
Publié le 25/06/2011 à 03:13:33 par NoneSadique
Folies 1 : Un jeu mortel partie 1
Je tenais à vous prévenir que le dialogue au début est long et niant niant mais j'en avais besoin...
"Ce n'est pas avec ton boulot de caissière que l'on arrivera à joindre les deux bouts à trois, commença un homme, l'air triste.
- Surtout avec le bébé qui arrive... Je ne vois vraiment pas d'autres solutions... Mais... Il nous faut vraiment de l'argent pour élever notre fils.
-Tu crois que je ne le sais pas ? Ces gens pourront m'aider.
-Tu es sûr qu'il n'y a pas d'autre choix ?
-On a déjà eut cette discussion... Mais réveille toi bon sang ! Ouvres les yeux ! Regarde le monde dans lequel on vit. Les gens comme nous n'ont aucune chance... -L'homme regarda sa femme qui baissait la tête et fixait le sol sans rien dire. Elle laissa toutefois couler une larme de son œil gauche.- Marie... Je dois le faire. On ne pourra pas tenir longtemps avant que les...
-Arrête ! Tu n'as pas le droit de nous abandonner, le coupa-t-elle, les yeux en larmes. Patrick ! Je t'aime... Nous t'aimons. Tu n'assisteras à rien de la vie de ton fils.
-Je lui préfère une vie avec un seul de ses parents, plutôt qu'avec aucun. Si je ne le fais pas, tu sais parfaitement que l'on nous retirera tôt ou tard sa garde"
Il ne la laissa pas finir.
Patrick attrapa son manteau et sorti du piteux appartement qu'est le leur, sans se retourner. Un homme avec une valise l'attendait en bas :
"Mr Patrick Derange, je présume ?
-C'est exact !
-Hmmm... Veuillez me suivre Mr."
Il indiqua un taxi, non loin devant l'immeuble délabré.
Quelle purée de pois ! Il y avait tellement de fumée dans l'appartement du jeune Andy Stix qui lui était impossible de distinguer quelque chose. La fumée avait quand même un bon côté, elle cachait la crasse et la vétusté de l'appartement. Mais qu'importe ? Il ne recevait jamais de visite. L'odeur de cannabis, cigarette, et autres mélanges douteux, couplé à la fumée, masquait l'odeur infecte que dégageait Andy lui-même.
Je coupe le récit pour vous proposer une petite anecdote à propos du 'fameux' Andy Stix : il fut un jour (très lointain) où Andy Stix rencontra une femme (qui ne fuyait pas en le voyant ce qui était assez rare même à l'époque où il prenait encore un bain par mois !). Pour lui plaire, il augmenta sa consommation d'eau : un bain par semaine. Un exploit jamais vu dans sa vie. Mais, malheureusement pour Andy, la femme en question ne s'en contentait pas, et, petit à petit, elle tentait de changer Andy. Elle voulu rendre visite à Andy. Ce dernier ne pouvait qu'accepter, pris au dépourvu lorsqu'elle lui avait demandé, lors de leur quatrième rendez-vous. Il n'avait pas pensé à l'état de son logis. Il décida alors de se débarrasser définitivement de sa crasse, de sa puanteur, de la fumée qui détruit elle aussi les murs. Finalement, de renier sa vraie nature. C'est drôle la manière dont une femme peut changer un homme. Même le pire porc peut devenir un gentleman (ou approchant).
La première étape pour notre Andy, était de virer la fumée. Il ouvrit les fenêtre (une première encore une fois). Cela fit comme un souffle d'air qui aspira toute la fumée d'un coup. Les voisins, voyant la fumée sortir de son appartement, crurent à un incendie qui aurait pris dans l'appartement du 'jeune toxico'. Un vieux avait même déclaré, avant de cracher par terre : "Oh ! Il a dû s'endormir, la clope au bec. Depuis qu'il est là l'immeuble est invivable. Qu'il crève !"
( Vous devez vous demander comment je sais cela : je suis narrateur omniscient, ne l'oubliez pas ! Je suis maître du récit et je peux même voyager dans le temps).
Une vieille fit toutefois ce qu'elle nommait elle-même sa 'BA de la journée qui lui assurera une place au côté de DDIIIEUUUU' et appela les pompiers. Il vinrent très vite sur les lieux. L'évènement attroupa du monde. Les pompier comprirent vite de quoi il s'agissait. La police avait été prévenue elle aussi et s'empressa d'arrêter Andy. Celui-ci aurait dû passer une bonne partie de sa vie en prison mais "Un Homme" vint un beau jour le voir, lui proposant un travail en échange de quoi il le ferait sortir de prison et lui verserait un léger salaire.
Andy accepta sans même lire exactement de quoi il s'agissait (à vrai dire il ne pouvait pas lire dans l'était dans lequel il se trouvait). Il apprit bien vite qu'il devait éliminer des gens pour le compte de "L'Homme".
Ca m'a pris du temps mais je m'empresse d'écrire le reste j'ai beaucoup changé le texte de départ donc s'il y a des incohérences pourriez-vous m'en faire part ? Merci de m'avoir lu en tout cas. C'est un réel plaisir d'inventer un monde toujours plus déjanté (bien que cela ne se voit pas encore). Si vous voulez me prendre pour un fou je vous conseille de lire le 1er compte de nonesadique que j'ai dédié au 15-18 et qui m'a beaucoup inspiré. J'espère que vous avez pris du plaisir à me lire.
Je tenais à vous prévenir que le dialogue au début est long et niant niant mais j'en avais besoin...
"Ce n'est pas avec ton boulot de caissière que l'on arrivera à joindre les deux bouts à trois, commença un homme, l'air triste.
- Surtout avec le bébé qui arrive... Je ne vois vraiment pas d'autres solutions... Mais... Il nous faut vraiment de l'argent pour élever notre fils.
-Tu crois que je ne le sais pas ? Ces gens pourront m'aider.
-Tu es sûr qu'il n'y a pas d'autre choix ?
-On a déjà eut cette discussion... Mais réveille toi bon sang ! Ouvres les yeux ! Regarde le monde dans lequel on vit. Les gens comme nous n'ont aucune chance... -L'homme regarda sa femme qui baissait la tête et fixait le sol sans rien dire. Elle laissa toutefois couler une larme de son œil gauche.- Marie... Je dois le faire. On ne pourra pas tenir longtemps avant que les...
-Arrête ! Tu n'as pas le droit de nous abandonner, le coupa-t-elle, les yeux en larmes. Patrick ! Je t'aime... Nous t'aimons. Tu n'assisteras à rien de la vie de ton fils.
-Je lui préfère une vie avec un seul de ses parents, plutôt qu'avec aucun. Si je ne le fais pas, tu sais parfaitement que l'on nous retirera tôt ou tard sa garde"
Il ne la laissa pas finir.
Patrick attrapa son manteau et sorti du piteux appartement qu'est le leur, sans se retourner. Un homme avec une valise l'attendait en bas :
"Mr Patrick Derange, je présume ?
-C'est exact !
-Hmmm... Veuillez me suivre Mr."
Il indiqua un taxi, non loin devant l'immeuble délabré.
Quelle purée de pois ! Il y avait tellement de fumée dans l'appartement du jeune Andy Stix qui lui était impossible de distinguer quelque chose. La fumée avait quand même un bon côté, elle cachait la crasse et la vétusté de l'appartement. Mais qu'importe ? Il ne recevait jamais de visite. L'odeur de cannabis, cigarette, et autres mélanges douteux, couplé à la fumée, masquait l'odeur infecte que dégageait Andy lui-même.
Je coupe le récit pour vous proposer une petite anecdote à propos du 'fameux' Andy Stix : il fut un jour (très lointain) où Andy Stix rencontra une femme (qui ne fuyait pas en le voyant ce qui était assez rare même à l'époque où il prenait encore un bain par mois !). Pour lui plaire, il augmenta sa consommation d'eau : un bain par semaine. Un exploit jamais vu dans sa vie. Mais, malheureusement pour Andy, la femme en question ne s'en contentait pas, et, petit à petit, elle tentait de changer Andy. Elle voulu rendre visite à Andy. Ce dernier ne pouvait qu'accepter, pris au dépourvu lorsqu'elle lui avait demandé, lors de leur quatrième rendez-vous. Il n'avait pas pensé à l'état de son logis. Il décida alors de se débarrasser définitivement de sa crasse, de sa puanteur, de la fumée qui détruit elle aussi les murs. Finalement, de renier sa vraie nature. C'est drôle la manière dont une femme peut changer un homme. Même le pire porc peut devenir un gentleman (ou approchant).
La première étape pour notre Andy, était de virer la fumée. Il ouvrit les fenêtre (une première encore une fois). Cela fit comme un souffle d'air qui aspira toute la fumée d'un coup. Les voisins, voyant la fumée sortir de son appartement, crurent à un incendie qui aurait pris dans l'appartement du 'jeune toxico'. Un vieux avait même déclaré, avant de cracher par terre : "Oh ! Il a dû s'endormir, la clope au bec. Depuis qu'il est là l'immeuble est invivable. Qu'il crève !"
( Vous devez vous demander comment je sais cela : je suis narrateur omniscient, ne l'oubliez pas ! Je suis maître du récit et je peux même voyager dans le temps).
Une vieille fit toutefois ce qu'elle nommait elle-même sa 'BA de la journée qui lui assurera une place au côté de DDIIIEUUUU' et appela les pompiers. Il vinrent très vite sur les lieux. L'évènement attroupa du monde. Les pompier comprirent vite de quoi il s'agissait. La police avait été prévenue elle aussi et s'empressa d'arrêter Andy. Celui-ci aurait dû passer une bonne partie de sa vie en prison mais "Un Homme" vint un beau jour le voir, lui proposant un travail en échange de quoi il le ferait sortir de prison et lui verserait un léger salaire.
Andy accepta sans même lire exactement de quoi il s'agissait (à vrai dire il ne pouvait pas lire dans l'était dans lequel il se trouvait). Il apprit bien vite qu'il devait éliminer des gens pour le compte de "L'Homme".
Ca m'a pris du temps mais je m'empresse d'écrire le reste j'ai beaucoup changé le texte de départ donc s'il y a des incohérences pourriez-vous m'en faire part ? Merci de m'avoir lu en tout cas. C'est un réel plaisir d'inventer un monde toujours plus déjanté (bien que cela ne se voit pas encore). Si vous voulez me prendre pour un fou je vous conseille de lire le 1er compte de nonesadique que j'ai dédié au 15-18 et qui m'a beaucoup inspiré. J'espère que vous avez pris du plaisir à me lire.
Commentaires
- NoneSadique
26/06/2011 à 21:48:29
Faut apprendre a ecire megacool
- NoneSadique
26/06/2011 à 21:47:14
Boulot
- NoneSadique
26/06/2011 à 21:47:07
Bah c'est du travail
- Pseudo supprimé
26/06/2011 à 11:27:39
Bouleau de caissière