Note de la fic :
Au lendemain de mes jours passés.
Par : KomicForce
Genre : Réaliste, Sentimental
Statut : C'est compliqué
Chapitre 3 : "Je l'emmerde"
Publié le 25/05/2011 à 07:25:22 par KomicForce
J'habite dans un quartier de vieux séniles qui s'approchent de toi avec une démarche de zombie pour te dire bonjour, et accessoirement te recouvrir de bave mêlée à de la colle à dentier, et ce même si le sénile doit traverser on quartier pour le faire.
En sortant de chez moi, toujours à regrets, je manque d'écraser la Titine de ma voisine, une antiquité qui passe son temps à bougonner contre tout et n'importe quoi. Parlons de Titine tiens. Je ne vous ferai pas un cours d'anatomie, vous savez tous à quoi ressemble un chien. Eh bien avec ce foutu clebs, on pourrait croire à un rat haut-perché, à ceci près que le rongeur ne passe pas son temps à hurler à la lune, tout en urinant dans mon jardin, que JE manipule par la suite avec mes petites minimes et mon amour pour mon jardin. Mais passons, la vieille folle va me faire un procès si jamais une enclume tombait malencontreusement sur ce sale chien.
Bref. Je manque donc d'écraser Titine (quel nom idiot au passage), attrape mon vélo qui tente de m’aplatir en sautant du grenier et file chez Max.
Je prends les petits chemins de traverse et arrive finalement chez lui 35 minutes après l'heure convenue. Il m'engueule gentillement et allume sa XBox.
Il pers pas de temps, le Max. On dispute 2 ou 3 parties puis il comprend que je ne suis pas avec lui.
Il commença par un classique :
“-Eh Che [Un surnom débile qu'il me donne. Et pourtant Shea c'est pas long à prononcer...], t'es sur que ça va ?"
Je ne réponds pas et envoie le ballon virtuel en touche. Il insiste.
"-Tu peux tout me dire tu sais."
-Max bordel t'es lourd là !
-Che, tu ne vas PAS bien. C'est ma face ou la tienne que tu te voile ?
-Ni l'un ni l'autre gars. J'en ai juste marre de toutes ces conneries.
-Ah. On progresse. Raconte !“
Je le regardais d'un air excédé quand il m'acheva.
“-Allez ! Me force pas à appeler Gils.“ dit-il avec un sourire narquois
Là, la coupe est pleine.
“-Écoute moi bien Max. Quand ton Gils sera là, tu lui dira que je l'emmerde. Salut.“
Et je suis parti sans rien ajouter, en claquant la porte.
On dirait pas comme ça mais avant j'étais amical et tolérant. Comme quoi les mentalités changent avec les actes...
En sortant de chez moi, toujours à regrets, je manque d'écraser la Titine de ma voisine, une antiquité qui passe son temps à bougonner contre tout et n'importe quoi. Parlons de Titine tiens. Je ne vous ferai pas un cours d'anatomie, vous savez tous à quoi ressemble un chien. Eh bien avec ce foutu clebs, on pourrait croire à un rat haut-perché, à ceci près que le rongeur ne passe pas son temps à hurler à la lune, tout en urinant dans mon jardin, que JE manipule par la suite avec mes petites minimes et mon amour pour mon jardin. Mais passons, la vieille folle va me faire un procès si jamais une enclume tombait malencontreusement sur ce sale chien.
Bref. Je manque donc d'écraser Titine (quel nom idiot au passage), attrape mon vélo qui tente de m’aplatir en sautant du grenier et file chez Max.
Je prends les petits chemins de traverse et arrive finalement chez lui 35 minutes après l'heure convenue. Il m'engueule gentillement et allume sa XBox.
Il pers pas de temps, le Max. On dispute 2 ou 3 parties puis il comprend que je ne suis pas avec lui.
Il commença par un classique :
“-Eh Che [Un surnom débile qu'il me donne. Et pourtant Shea c'est pas long à prononcer...], t'es sur que ça va ?"
Je ne réponds pas et envoie le ballon virtuel en touche. Il insiste.
"-Tu peux tout me dire tu sais."
-Max bordel t'es lourd là !
-Che, tu ne vas PAS bien. C'est ma face ou la tienne que tu te voile ?
-Ni l'un ni l'autre gars. J'en ai juste marre de toutes ces conneries.
-Ah. On progresse. Raconte !“
Je le regardais d'un air excédé quand il m'acheva.
“-Allez ! Me force pas à appeler Gils.“ dit-il avec un sourire narquois
Là, la coupe est pleine.
“-Écoute moi bien Max. Quand ton Gils sera là, tu lui dira que je l'emmerde. Salut.“
Et je suis parti sans rien ajouter, en claquant la porte.
On dirait pas comme ça mais avant j'étais amical et tolérant. Comme quoi les mentalités changent avec les actes...