Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

L'année qui changea ma vie


Par : Niels
Genre : No-Fake
Statut : C'est compliqué



Chapitre 4


Publié le 24/04/2011 à 11:02:41 par Niels

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Je me réveille en sursaut. Faut dire que j'ai mis le volume au max :peur:
Bref, je prends mon portable et je l'éteins. Le mois de Novembre était presque fini, la fin du trimestre approchait à grand pas, ainsi que la sortie de Cataclysm! :banzai:

Comme d'habitude je prends ma douche, je bouffe et go lycée. On est Mardi, j'ai deux heures de permanence de 8 à 10H. Ca tombe bien, je dois réviser mon japonais. Oui, car je fais du japonais :cool:. Bon, je crois que je vais passer les deux heures (surtout que c'est pas intéressant ce qui s'y passe :hap:)

C'est la récréation. Je me dirige vers les ateliers pour attendre mes potes qui faisaient CIT (Conception et Innovation Technologique). Ces glandus sortent comme d'habitude les derniers :honte:.

Dans le hall, un petit stand s'est installé: ils vendent des viennoiseries pour reverser l'argent à des causes écologiques. J'ai faim tiens, donc je prend un pain au chocolat, comme ça j'aurai pas faim durant les 3 prochaines heures de cours. Maintenant, on a français. Commentaire composé :mort: Mais je vais quand même essayer de pondre un truc potable.

Je vais pour monter les escaliers lorsque j'aperçois la fille inconnue qui m'a tapé dans l'oeil. Je m'en lasse jamais de l'admirer. M'enfin, y'a plus urgent: je vais être en retard. Je monte les escaliers 3 par 3, j'entre en salle et je m?assoies devant. (Bah oui, au dernier rang, y'a un pote avec son PC portable pour "taper le cours" (sur GTA :hap:), donc impossible de me concentrer. Ensuite, il y a trois putes qui parlent tout le temps, impossible de me concentrer. Enfin, les deux rangs du milieu sont toujours occupé en premier, car ils sont pas devant, mais assez pour pouvoir écouter un peur (ou faire semblant :hap:))

M'enfin. J'essaie tant bien que mal de faire mon commentaire argumenté sur L'assomoir de Zola :mort:
Je savais pas qu'on pouvait dire autant de trucs sur 20 lignes d'un bouquin.

Après deux heures passées en écrivant, je sors, avec le coeur qui bat. En effet, j'ai remarqué que la belle inconnue avait cours dans la salle juste à côté de la mienne, et ça me rend toujours heureux de la voir, juste la voir. Maintenant, on a maths, on traverse le couloir, et c'est bon. Faut juste attendre le prof. Quelques minutes passent et j'aperçois la classe de l'inconnue arriver. Même si je ne laisse rien apparaître et que je continue ma discussion, je suis en réalité content, très content. Puis, elle passe enfin. Déjà, je la vois arriver au bout du couloir, et mon coeur s'emballe. Toujours aussi bien habillée dis donc :coeur:. Avec ses beaux cheveux bruns qui dessinent de légères bouclettes avant de tomber sur ses épaules. Elle passe devant moi. Je peux enfin sentir son parfum. Que de bonheur et de bien-être avant de commencer les maths. :rire:

D'ailleurs, je viens d'y penser, je l'ai vu plein de fois en train de me regarder. J'ai peut-être une chance avec elle :( Ou alors elle me regarde parce que je la regarde :-( Enfin, c'est décidé, je lui parlerai un de ces jours.

On sort du cours de maths pour se précipiter vers la cantine. Faut dire que si on est pas des bêtes enragés qui bousculent tout le monde, on mange jamais :peur: Aujourd'hui: du blé avec du veau. Bof, repas assez banal quand même. On trouve tant bien que mal une table, et on s'assoie (Noooon, c'est vrai? :hap:). Après quelques minutes passées en train de manger et discuter (et se disputer, car avec A., il y a toujours des débats houleux :hap:), je vois des gens, plus précisément un groupe de filles s'installer à côté de nous. Je jette un oeil pour voir qui c'est et surprise! La belle inconnue, juste à côté de moi! :coeur: Mon coeur bat la chamade. J'ai d'ailleurs cru un moment qu'elle allait l'entendre frapper contre ma poitrine :rire: Bien sûr, timide comme je suis, je ne tente rien à la cantine. Et gêné comme je suis, je ne tente aucun regard sur ma droite. Franchement cette journée avait bien commencé. Et elle allait bien continuer, jusqu'au moment où une dispute entre plusieurs potes éclate, et qu'un verre soit renversé sur la table :honte:. Non mais je vous jure, ils en ratent pas une ceux-là.:honte: Et bien entendu, à côté, elles jettent des regards méprisants avec quelques petites remarques désagréables. <img src=("> La prochaine fois je leur arrache la tête avec les dents, je leur fait bouffer leurs yeux par l'anus, je leur fait fondre les phalanges des doigts une à une avec un allume cigare, je leur arrache les cils, je leur casse les dents contre du béton! <img src=(">

Enfin bref, elles s'en vont un peu avant nous. Maintenant on doit aller au gymnase qui se trouve tout en bas du bahut. On passe d'abord au casier,pour récupérer des affaires de sport. Je rentre à peine dans le hall que je remarque la belle inconnue, près des casiers. Et à peine je rentre dans le hall, qu'elle me regarde. Faut qu'elle arrête sinon je vais me faire des idées :coeur:. Et j'ai pas envie d'être déçu si je lui adresse la parole un de ces jours :-( On commence à se diriger vers le gymnase que je la voit prendre le même chemin que nous. Et ben dis donc, on pourra pas dire qu'on se sera pas croisé aujourd'hui :hap:
Tout en marchant, je l'observe discrètement. Je la trouve vraiment parfaite :coeur: Les deux heures de sport passent tant bien que mal :mort:
Je déteste vraiment l'effort physique :( (ce qui expliquerai ma corpulence :hap: )

Maintenant j'ai cours de japonais pendant 1h30. Faut aller au dernier étage. Donc il faut monter, monter et encore monter. A mi-chemin, devinez qui je croise. La belle inconnue qui sort d'un bungalow et qui monte. (Comme le lycée est en travaux, on a des bungalow préfabriqués pour faire cours).

A 18h, le cours se termine, je monte dans le bus, direction maison!
A peine arrivé, je me met sur le PC (no-life spotted :hap:).

Le soir en me couchant, j'écoute de la musique avant de dormir, et je pense à elle, en espérant qu'un jour j'arrive à l'aborder :coeur:

Cette nuit j'ai rêvé d'elle, que nous nous promenions dans la ville tous les deux (bien ma maîtrise de la conjugaison française? :hap: )


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