Dans le bureau d?indépendant de la L.A.P.D, Larry raconta tous ce qui c?était passer.
David semblait endormi et pas intéresser par ce qu?il disait, alors Elizabetha gêner par son comportement regarda le sol, les mains sur sa chemise rouge.
-Elle a un ½il de lynx ! Exulta Larry, plutôt ravie au contraire de l?autre. C?est une vraie génie cette fille !
David fronça les sourcils et soupira.
-Je crois qui faut que cette gamine aille voir Derreck, dit ce dernier.
-C?est la porte juste a coté de la plaque « détective », indiqua-t-il en regardant la jeune femme.
-Bon bah?je crois que je vais y aller.
Elle sortit et inspecta les alentours pour enfin trouver la bonne porte. Oubliant de frapper, elle rentra et admira un homme au cheveux noir charbon. Quand il se retourna pour la regarder, le visage de l?inconnu, mat, afficha un sourire neutre mais beau qui ne venait pas des Amérique. Et ces yeux, tellement marron qu?ils en étaient par moment sombre. Sauf que le tout se brouillait à cause d?une fumer, celle d?une cigarette d?un homme qui fixa ses yeux vers la fenêtre du fond.
-Elizabetha Mario, dit soudainement l?homme au fond, je me présente, Inspecteur John Tentout.
-Comment savez vous mon nom ? S?intrigua la jeune femme.
Il ria et se tourna vers elle.
-On ma informer de votre arriver, répondit-il.
Soudainement, un autre homme tout en bleu vêtu, ouvra brusquement la porte le visage en sueur, c?était un policier effrayer.
-Derreck ! Cria le force de l?ordre. Un cadavre a été retrouver !
-Calmez-vous, dit l?homme a la cigarette qui s?appelait Derreck. Va avec Elizabetha sur les lieux, pointa-t-il le brun qui sembla neutre.
Ce dernier approuva et fit signe à la jeune fille de le suivre dans une voiture noire qui reflétait leur double. Un bruit de moteur et elle démarra, conduit par l?homme.
Elle qui avait été si emballé par son visage n?avait pas remarquer son style de vêtement ; une chemise blanche classique noué d?une cravate jaune clair. Par dessus, un gilet sous une veste de costume de la même couleurs, avec des traits nobles et fins dont un coq. Son insigne brillait, il avait du bien l?astiqué. Un pantalon assortie complétait le tous et ces chaussures noirs qui appuyait sur les pédales n?était guère épargner par la propreté. Le regard de l?italienne visa avec peur l?arme qui s?accrochait sur le coté de son magnifique gilet.
-Vous m?avez oublié de me dire votre nom, Rétorqua-t-elle sensiblement.
-Je m?appelle Jean-Charles Faille, dit l?homme sans quitter la route des yeux.
Elle reposa une question qui le fit réagir.
-Comment sa, vous savez pas ou nous allons ? S?énerva-t-il, pour aucune raison quelle qu?on que. Il a dit a proximité du bar « Minuit » de Santa Monica, quand tu sais le nom tu sais aussi a quelle heure il ouvre?Vous n?écoutez jamais ?
Elle ne répondit pas, ne comprenant pas sa réaction elle posa des questions sur la victime.
-On verra tous sa sur place, dit-il, plus calme. Merde !
Elizabetha regarda autour d?elle ; devant le bar, un petit groupe d?hommes tiraient sur les policier qui ripostaient derrière leurs voitures garées devant. Jean-Charles sortit et s?approcha accroupit suivit de près par la jeune femme vers un policier.
-Mais bordel, qu?est-ce qui ce passe ici ? Lui demanda-t-il, contrarier.
-Ils nous ont attaqués quand ont allaient rentrer, répondit le policier.
Les balles fusèrent, les cris retentèrent et des hommes hurlèrent comme J.C qui reçus une balle dans l?épaule. C?est après des minutes interminable pour l?italienne que les hommes furent arrêter et menés au poste de police.
Au milieu du bar gisait un cadavre d?une personne assez âgé, cela devait être le patron. Il s?agenouilla et examina le corps sous le regard attentif d?Elizabetha. Bizarrement la victime n?était pas maculer de sang, mais il vit une trace de balle sur le torse et la conclusion tomba : il avait été assassiner depuis des jours.
-On vous a jamais dit que vous ressemblez a l?inspecteur gadget ? Dit-elle, sans le savoir.
Il sortit un rire ironique.
-Pensez-vous vraiment a ce que vous dite ?
-Les seuls traces trouver sont le trou dans la poitrine, elle lui a été mortel. Regarde un peut sa, gamine, expliqua-t-il avec supériorité, il n?y a pas de trace de sang donc il aurai été tuer il y a de sa plusieurs jours.
Jean-Charles se retourna vers un policier et lui dit :
-Combien de temps ce bar était fermer ?
-D?après des habitués des lieux, depuis 5 jours. Pendant cette période personne n?y est entrer sauf un certain Mike Choffère.
Le détective leva la main, fit une grimace pour indiquer a Elizabetha de renter dans la voiture avec lui.
La pluie commença a tomber. Il l?informa que le service de la jeune femme était terminer et cette dernière indiqua l?hôtel ou elle avait passer la nuit.
En rentrant dans la chambre, celle-ci vit Ray endormi et en sueur dans son lit. Ne voulant pas le réveillé l?italienne décida de lui poser les questions sur sa journée demain.