Note de la fic :
Publié le 15/04/2011 à 20:28:23 par CaronTimothe
"Réveil"
Jour 15: 21 mai 1947-18h53
???: James? James? Ecoute, je sais que quelque part tu m'entends, et je voulais te dire: c'est moi qui a tué ta femme...
Je suis désolé... Mais y fallait que tu paies espèce de sale petit enfoir*! Tu m'entends? T'as pas voulu cracher le morceau!!! Alors j'ai fait ce que je t'ai promis de faire!!! J'ai dit que t'allais payer... et tu a payé...
Je me réveille en sursaut. J'étais sûr et certain d'avoir entendu quelqu'un me parler, mais il n'y avait personne dans la pièce... cette raclure était venue jusqu'à moi... mais c'était qui? Cette voix, si familière...
L'infirmière vint dans ma chambre. D'ailleurs, je venais juste de remarquer que j'étais dans un lit d'hôpital.
INFIRMIERE: Monsieur Hennigan, votre repas.
Je la pris par le col de sa chemise et fit par ailleurs tomber mon plateau repas par terre, par inadvertance.
HENNIGAN: QU'est-ce que je fais ici?!?
INFIRMIERE: Je ne sais pas... Je ne suis jamais au courant d'ailleurs, je suis juste une infirmière.
Une autre infirmière arriva, l'air vexée:
INFIRMIERE 2: Quelqu'un veut vous voir, Mr Hennigan!!!
Une femme arriva à mon chevet. Autant vous dire que ce n'était pas le genre de femme à qui on voulait parler. Elle avait un regard imposant, presque méprisant. Un chignon très serré, un tailleur noir (comme son esprit, pensai-je).
FEMME: Inspecteur Ashley Bradbury, et je viens vous poser quelques questions. Vous devez répondre dans le cas d'une affaire judiciaire, et vous devrez dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité.
HENNIGAN: D'abord c'est moi qui vais vous poser la question : Qu'est-ce que je FOUS ICI???
BRADBURY: Vous êtes tombé dans un sommeil léthal suite à la découverte du corps de votre femme sur la scène du crime le 15 mai. Vous étiez tellement faible que vous avez failli en mourir...
HENNIGAN: Ok, qu'est-ce que vous me voulez?
BRADBURY: Pendant votre sommeil, un groupe de mafieux a pénétré dans les locaux du FBI. Personne, je dis bien personne n'a survécu...
HENNIGAN: C'est une blague ou quoi? BARNS, COLLINS...
BRADBURY: Pers-onne! Vous allez devoir me raconter ce qui s'est passé ces derniers jours, depuis le début de l'enquête sur le dépôt d'armes, le 6 mai.
HENNIGAN: Et pourquoi je devrais vous raconter ça?
BRADBURY: Nous pensons que ça à un lien avec l'attentat et tous les meurtres commis après cette date.
HENNIGAN: Ok, alors écoutez-moi bien, ma petite dame, je veux bien faire avancer la justice mais je ne veux aucun jugement outre. Vous ne m'interromperez pas!
C'est alors que je me suis lancé dans mon récit...
Tout est fatal
Jour 15: 21 mai 1947-18h53
???: James? James? Ecoute, je sais que quelque part tu m'entends, et je voulais te dire: c'est moi qui a tué ta femme...
Je suis désolé... Mais y fallait que tu paies espèce de sale petit enfoir*! Tu m'entends? T'as pas voulu cracher le morceau!!! Alors j'ai fait ce que je t'ai promis de faire!!! J'ai dit que t'allais payer... et tu a payé...
Je me réveille en sursaut. J'étais sûr et certain d'avoir entendu quelqu'un me parler, mais il n'y avait personne dans la pièce... cette raclure était venue jusqu'à moi... mais c'était qui? Cette voix, si familière...
L'infirmière vint dans ma chambre. D'ailleurs, je venais juste de remarquer que j'étais dans un lit d'hôpital.
INFIRMIERE: Monsieur Hennigan, votre repas.
Je la pris par le col de sa chemise et fit par ailleurs tomber mon plateau repas par terre, par inadvertance.
HENNIGAN: QU'est-ce que je fais ici?!?
INFIRMIERE: Je ne sais pas... Je ne suis jamais au courant d'ailleurs, je suis juste une infirmière.
Une autre infirmière arriva, l'air vexée:
INFIRMIERE 2: Quelqu'un veut vous voir, Mr Hennigan!!!
Une femme arriva à mon chevet. Autant vous dire que ce n'était pas le genre de femme à qui on voulait parler. Elle avait un regard imposant, presque méprisant. Un chignon très serré, un tailleur noir (comme son esprit, pensai-je).
FEMME: Inspecteur Ashley Bradbury, et je viens vous poser quelques questions. Vous devez répondre dans le cas d'une affaire judiciaire, et vous devrez dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité.
HENNIGAN: D'abord c'est moi qui vais vous poser la question : Qu'est-ce que je FOUS ICI???
BRADBURY: Vous êtes tombé dans un sommeil léthal suite à la découverte du corps de votre femme sur la scène du crime le 15 mai. Vous étiez tellement faible que vous avez failli en mourir...
HENNIGAN: Ok, qu'est-ce que vous me voulez?
BRADBURY: Pendant votre sommeil, un groupe de mafieux a pénétré dans les locaux du FBI. Personne, je dis bien personne n'a survécu...
HENNIGAN: C'est une blague ou quoi? BARNS, COLLINS...
BRADBURY: Pers-onne! Vous allez devoir me raconter ce qui s'est passé ces derniers jours, depuis le début de l'enquête sur le dépôt d'armes, le 6 mai.
HENNIGAN: Et pourquoi je devrais vous raconter ça?
BRADBURY: Nous pensons que ça à un lien avec l'attentat et tous les meurtres commis après cette date.
HENNIGAN: Ok, alors écoutez-moi bien, ma petite dame, je veux bien faire avancer la justice mais je ne veux aucun jugement outre. Vous ne m'interromperez pas!
C'est alors que je me suis lancé dans mon récit...
Tout est fatal
Commentaires
- Cartman
15/04/2011 à 22:43:29
c'est vraiment pas bien
- CrazyMarty
15/04/2011 à 22:30:58
Style théatral à éviter. De même que les noms en ???, les fautes, les clichés ...
Dis-moi, pourquoi écris-tu ? Hormis de détendre .... - CaronTimothe
15/04/2011 à 20:42:30
oui, je sais, mais c'est un choix de facilité^^. Si jamais plus de personnes se manifestent de même façon que toi, je voudrais bien faire un texte normal
- Pseudo supprimé
15/04/2011 à 20:38:13
Le style théâtral est a éviter.